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eric zemmour président - Page 6

  • 01-Le Président Macron

    L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Elysée est décidément sans limite. Le voilà qui ose affirmer sans mesurer le grotesque de la formule qu’il voulait “redonner du sens au commandement des Armées”, en nommant Lecointre  après avoir humilié le Général de Villiers et l’avoir conduit à quitter son poste de Chef d’Etat-Major des Armées. Lors de la présentation de son livre “L’équilibre est un courage”, celui-ci avait dit, quant à lui,  “dans l’armée, on sait pourquoi on peut aller jusqu’au sacrifice suprême”. La comparaison entre les deux phrases disqualifie l’auteur de la première et il faut s’étonner que l’arrogance dénuée de la moindre légitimité de la formule macronienne ne soit pas davantage dénoncée. Voilà un homme qui a évité soigneusement d’effectuer son service national alors que celui-ci n’avait pas encore été suspendu, un homme qui n’a donc jamais été soldat, qui sans beaucoup d’expérience a été propulsé, à la suite d’un coup d’Etat médiatico-judiciaire à la Présidence de la République, un homme qui est ainsi devenu le “Chef” des Armées, un homme qui a fait de la repentance et donc de l’accusation de nos armées le fil rouge de sa politique de l’Algérie au Rwanda, et c’est cet homme qui prétend redonner du sens à leur commandement !

    https://www.christianvanneste.fr/2021/07/22/macron-voulait-redonner-du-sens-au-commandement-de-nos-armees-de-quel-droit/?utm_source=newsletter-28&utm_medium=email&utm_campaign=nlh

  • Etat providence la fin ?

    Photo Cygne Noir.jpgEn ce jour de 14 juillet je trouve illusoire de croire notre armée encore en mesure de faire face aux défis à venir.
    Le ridicule comportement du couple présidentiel en fin de parcours apparaît dans toute son indignité et souligne l’insignifiance de nos troupes sur tous les terrains d’opération…

    Le gouvernement de la France est placé face à un double dilemme.

    Le premier oppose la nécessité d’une impérieuse nécessité de la geon d’un argent public de plus en plus rare avec la frustration de plus en plus forte d’un corps social qui vit une croissance négative, un chômage persistant, une concurrence des bas salaires, l’accroissement des inégalités et « en même temps » la dérégulation des services publics, la crise du financement des systèmes de protection sociales débordés pas l’assaut migratoire.
    Le second oppose la France des grandes métropoles qui aspire à une ouverture sur le monde extérieur, à une compétition économique et culturelle au sein d’un rêve Européen à une France dite périphérique, qui serait conservatrice et repliée sur elle même dans un réflexe de repli craintif et corporatiste qui ne serait pas que celui de l’Union Européenne… qui est pourtant a bout de souffle et de crédibilité.
    Mais l’Union Européenne n’a aucun mandat pour faire face à ces défis, au contraire elle met toute son énergie à ce que les Etats membres soient paralysés dans leurs actions de préventions, de remédiation.

    L’adaptation des services publics, les choix budgétaires, les réformes du marché du travail, du système éducatif, de la protection sociale relèvent du champ d’intervention des Etats et donc des gouvernements de ces Etats.

    Seule l’Allemagne avec Gerhard fit le pari de mettre en œuvre un rythme de réforme que les pays du club med refusèrent et il obtient un redressement économique rapide dont les allemands profitent aujourd’hui et que la France de Macron envie !

    Après De Gaulle, tous les gouvernements de la France s’appuient sur l’UE pour légitimer leur reformes internes.
    Toutes seraient imposées par l’UE ! Ils accréditent ainsi l’idée que l’UE est une contrainte et non une opportunité.

    Il existe donc une large marge de manœuvre et les Français doivent comprendre une chose : dans le monde ouvert, turbulent et dangereux qui se met en place au XXI siècle, l’idéal des valeurs occidentale et européennes est menacé.

    Nous ne pouvons maintenir un haut degré de protection sociale, d’égalité des chances et de progrès technologique que si le principal levier de la société c’est à dire la puissance publique, s’adapte aux exigences du monde moderne en combinant au mieux l’individu et le collectif, l’intervention publique et le jeu du marché.

    D’ou l’exigence de trois leviers : une meilleure gestion de l’Etat, la modernisation du droit social et la priorité à l’éducation, l’enseignement et la recherche.

    C’est ce que nous attendons d’Eric Zemmour une fois aux commandes du navire France !

    14 07 21

    Francis-claude Neri

    Cygne Noir

    www.facebook.com/groups/horizon2022/

     

     

  • L’abandon de nos valeurs

    05 - L’abandon de nos valeurs
    La France est encore un pays « riche » mais qui consacre chaque années de moins en moins d’argent à ses fonctions régaliennes et de plus en plus dans l’assistanat. Et malgré cela il existe des français en très grande précarité qui ont peur de ne plus arriver à joindre les deux bouts.
    La France consacre près de 800 milliards d’euros par an à son état providence. Résultats d’une « politique de guichets » absurde pratiquée par Français Mitterrand et les suivants.
    A cela vient s’ajouter l’accroissement de la population mondiale faisant se lever la peur du manque de ressources à laquelle vient s’articuler « la peur pour la planète », en témoigne les suffrages qui se portent vers EELV ; une peur entretenue par une petite sphère médiatique qui fait de Greta Thunberg son porte drapeau.
    L’autre peur, qui est plus rationnelle est celle de l’épuisement des ressources de la planète liée à un gaspillage inconsidéré, à une consommation effrénée et surtout à une démographie incontrôlée.
    Et pourtant pas un seul discours écologique ne commence par un postulat démographique. Ce qui intéresse surtout les écologistes  c’est le conflit israélo-palestinien, l’immigration et la construction de mosquées salafistes comme à Strasbourg.
    Enfin, il y a la peur de l’autre et en particulier de l’étranger, de l’immigration de masse ! Mais si nous avons peur de l’autre c’est parce que nous avons renoncé à leur apprendre des valeurs auxquelles nous avons nous même renoncé.

    Nous avons renoncé à la vocation républicaine de l’assimilation. Le communautarisme est le résultat de notre abandon et de nos lâchetés.

    A part Jean Messiha, qui le fit volontairement, ils n’apprennent plus la Marseillaise, ils la sifflent.

    Après avoir renoncé à l’assimilation, nous renonçons à l’intégration et nous commençons à dire qu’il va nous falloir nous assimiler aux quartiers en déshérence ou migrer au sein de zones protégées par des vigiles armés jusqu’aux dents.
    La distanciation s’installe avec les appariements sélectifs. En 2050 ils seront chez eux chez nous !
    En 2022 NOTRE dernière chance c’est probablement Eric Zemmour !


    Le journal du Cygne Noir
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