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Le systémicien - Page 352

  • La loi et la force

    Un petit document de synthèse sur ce que je lis ici et là ! J'y ai bien sur mis ma petite griffe personnelle !
    Eh ! Eh ! nos idées progressent, à grands pas !

     

    §

    Que les politiciens se moquent de nous c'est une telle évidence qu'on finit presque par trouver ça normal. Que les journalistes fassent leurs choux gras de faits divers démontre, s’il en était encore besoin, que la presse française est l'une des plus pourries du monde (et quand je dis l'une c'est parce que je ne les connais pas toutes).

    Bref, on nous sert de l'Egypte mise à mal par les salafo-saoudiens jusqu'à la nausée pour nous convaincre du danger de l'islam, et de l'autre coté chez les musulmans on stigmatise un truc appelé "occident", comme si les USA et le Salafisme n'avaient pas partie liée et qu'ils voulaient du bien à quelqu'un, où que ce soit. Le tout avec la complicité des grands médias, de la gauche internationaliste et interculturelle, dont j'ai du mal à croire qu'ils ignorent à ce point les règles de base de la manipulation.

    La vraie question est : A qui profite tout cela ? Et la vraie réponse : ça profite à l'oligarchie islamo-gaucho-mondialiste.

    Ce qui est sûr c'est que les objectifs électoraux mesquins de nos dirigeants actuels n'aideront pas à résoudre le problème ; et pour cause ils SONT partie prenante du problème, ils ne peuvent faire partie de la solution. 

    C’est pourquoi je milite pour Marine Le Pen ! 

    Parce que comme moi, elle préfère ceux qui n’ont rien appris et tout compris à ceux qui ont tout appris et rien compris ! 

    Comme moi elle sent monter la colère autour de nous, la frustration de gens condamnés aux interdits, à la culpabilité, à l’humiliation, au dualisme, au chômage et au changement de peuple.

    Cette cocotte minute, chargée en émotions, explosera si Marine Le Pen ne parvient pas à les rassembler autour d’un projet politique qui donne sens à leur révolte. 

    Ce projet correspond à leurs attentes car ce qu’il exprime se situe dans un contexte de légitimité sociale. Il donne une réponse à ceux qui souffrent de vivre dans un monde dangereux, sans espoir et qu’ils ne comprennent plus. 

    Ils se retrouvent en danger, face à une forme d’extase religieuse propre à l’Islam, faite de misère, d’ignorance, de mysticisme dégénéré, de préjudices économiques, culturels et cultuels, infligés essentiellement par leur « élites », subis au fil des ans, et de l’urgent désir de revanche qui se retournera surement contre eux lorsque leurs « guides » les auront abandonnés une fois à l’abri en Occident.

    En attendant que la « Reconquista » élimine ces parasites, entrer en débat avec des gens dont le seul but est de coloniser et de rétablir la « Ouma » est inutile, une perte de temps et d’énergie.

    Nos valeurs existent même si nous les avons laissées mettre en sommeil par des traites au pays. Elles sont nôtres, nos ancêtres se sont battus pour elles, elles ne sont pas discutables. Elles ont été longtemps maintenues par des lois et par la force, il est temps d'y revenir.

    Elles sont certainement à revisiter dans leurs pratiques et leurs applications, mais il nous appartient de le faire en toute conscience et sans que ce nous soit le moins du monde imposé. Tout autre considération se voudra intello et débouchera, comme c'est le cas actuellement, sur l'idéologie et le laxisme.

    21 08 13

    Francis NERI. 

    Inspiré par : Gaspard Dunord, Gerard Merou et quelques autres !

     

  • Penser autrement

    Penser le monde autrement.

    Observer le monde pour le penser autrement.

    Ni droite ni gauche.

    « Aujourd’hui, notre tâche la plus urgente est peut-être d’apprendre à penser autrement »

    Gregory Bateson

    Actuellement le monde est bien trop orienté à « gauche », c’est à dire multiculturel dans l’idéologie et unipolaire dans la réalité.

    Cette orientation exclue de fait, l’approche cultuelle qui commence au delà du « rationnel » et du réel, évoqué par la gauche comme par la droite.

    Il faut donc, si l’on veut sortir de l’impasse, faire se rejoindre morale et éthique. C’est à dire se poser la question du « comment » la connaissance est fabriquée, en évitant le « pourquoi », ce qui permet d’approcher le grand système qu’est devenu le monde économique, financier, industriel, culturel et cultuel sans trop de conflits d’interprétation et un minimum d’objectivité.

    L’approche systémique est l’outil adapté pour cela !  Il permet d’explorer le tissu de liens, de relations et d’interactions du grand système dans lequel nous sommes imbriqués.

    Nous pouvons alors « penser » l’interdépendance, à mieux nous représenter ce qu’est ce méga-système, à distinguer les flux (d’énergie, de matière, d’information) à interroger sa structure, son organisation, ses rapports de force, ses hiérarchies de pouvoir.

    Nous pourrons ainsi nous positionner, à la fois comme observateur, mais aussi comme acteur/concepteur du système, développer des logiques à mettre en action, ce que nos élites semblent vouloir nous chicaner, car nous sommes alors en mesure de les contester.

    Nous positionner sur l’Histoire que nous racontons, nos mythes fondateurs, nos projets, la pierre angulaire de notre identité, les zones dangereuses à questionner : qu’est ce que le progrès ? Le développement ? La croissance ? L’immigration, la démocratie etc.

    A quoi çà sert et à quoi çà devrait servir ?

    Quelles sont les alternatives possibles ? Quel chemin pour une meilleure production et utilisation des richesses, une meilleure éducation, une meilleure socialisation ?

    Voilà les questions que nous pourrons alors poser et ainsi proposer des jalons pour  un projet de société respectueux de la vie dans toutes ses expressions.

     Nous pouvons y parvenir à partir d’un trajet préalablement décrit en y revenant en permanence, en approfondissant les éléments du passé déjà explorés, en faisant ressortir l’importance des causalités linéaires et mutuelles, de l’interdépendance et des dynamiques spécifiques aux systèmes complexes.

    Nous pouvons y parvenir, car le temps nous est compté, en nous appuyant sur un projet politique « construit ».

    Nous saurons très rapidement si ce projet existe quelque part. Dans le cas contraire, nous ferons sans lui, mais çà nous prendra plus de temps.

    Mais il faut bien commencer n’est pas ?

    Francis NERI

    18 08 13

  • Le changement, c'est maintenant

    Le changement, c'est maintenant me dit une amie qui nous engage à nous révolter! Oui bien sur ...mais quel changement et quelle forme de révolte ?

    Nous sommes à un tournant historique de notre histoire et, la plupart d’entre nous ne savons COMMENT le négocier, sinon en appliquant encore et toujours les mêmes recettes qui ne sont que des emplâtres sur jambe de bois.
    Nous devons changer, bien évidemment, et c’est d’abord sur le plan culturel et cultuel qu’il faut le faire ; mais ce sont nos pratiques qu’il faut faire évoluer, y compris les cultuelles et les culturelles, pas seulement les économiques ou les financières.
    C’est la raison pour laquelle, par exemple, contre le mariage gay, j’ai manifesté AVEC Civitas et non pas avec cette «comique » de Bargeot car ils font « évoluer » la religion catholique dans le sens d’une RESISTANCE à une autre qui veut nous envahir. C’est du moins comme cela qu’ils me l’ont présenté.
    Pour la même raison, je m’engage auprès de Marine Le Pen car elle me semble avoir l’énergie, la compétence, mais aussi un degré d’altruisme suffisant et assez exceptionnel à notre époque, pour FAIRE ce qu’elle nous promet qui consiste d’abord à remettre en ordre de marche la République, la Démocratie et…la France.
    Ce qu’elle propose n’est pas du « Jacobinisme » comme certains semblent le penser, mais un ETAT souverain qui ne se laisse pas dicter sa loi par une vague entité Bruxelloise fort éloignée de nos besoins et de nos problèmes : identitaires, sécuritaires, économiques, financiers etc..
    Vous conviendrez, en effet avec moi, que la « décentralisation » n’a pas été un succès, car en matière de « compétences subsidiaires, nous sommes loin du compte.
    Marine Le Pen veut donc rétablir la puissance REGALIENNE de l’ETAT (armée, justice, police, éducation, socialisation) et reprendre le contrôle sur les régions qui font, vous en conviendrez également, un peu n’importe quoi !
    Tout cela me séduit assez bien et de toute façon je ne vois rien d’autre en vue qui aille dans ce sens. J’ai déjà donné avec le sieur Sarkozy et l’on ne m’y reprendra plus.
    Pour la "révolte", je voudrais vous dire encore qu’ayant fait la guerre d’Algérie dans une Harka commando je sais ce qu’est la guerre civile, et je souhaite en épargner les horreurs à mon pays. C’est une raison supplémentaire de mon adhésion au projet de Marine, car comme son père, elle est la seule à pouvoir canaliser l’énorme colère qui monte et la réguler dans un projet politique

     « construit ». Alors j’espère qu’elle mettra ou qu’elle pourra mettre en œuvre ce projet.
    Au delà je ne vois que ruines et morts pour nous tous !