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  • Régulation démographique

    Régulation démographique

    À défaut d’une régulation démographique urgente de portée planétaire, la prolifération de l’espèce humaine conduira inéluctablement à des réactions sociétales d’une ampleur et d’une violence sans précédents.

    Les crises qui se succèdent, les évènements actuels, la poussée islamique, comme les revendications les plus contradictoires exprimées par la foule partout dans le monde n’en sont que les prémices.

    Démonstration s’il en est que la révolte, pour aussi justifiable qu'elle soit, n’apporte de changement qu’en haut de la pyramide, où se joue une partie de chaises musicales, un pouvoir chassant l’autre.

    Mouvante mais impérissable, la pyramide sociale demeure la même et la masse qui l’habite et croît sans cesse ne fait, à quelques exceptions près, que changer de maîtres ou s’en donne l’impression fugace.

    À défaut de sciences humaines défaillantes, par aveuglement ou calcul, le bon sens et l’observation suffisent pour aboutir à un tel constat.
    La question du comment de cette régulation se pose…il y a des réponses et elles ne peuvent être, dans le contexte actuel, que locales.
    Commençons par sortir de L’UE !

    Francis-Claude Neri
    www.facebook.com/groups/horizon2022/

    http://www.cygnenoir.ovh/

  • SOS racisme

    Ou la « shoatisation » fantasmatique permanente d’un nouveau peuple.

    Philippe de Villiers : « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu », extrait: Chapitre XIII – B.H.L. et la petite main jaune

    C’est l’histoire d’une formidable imposture intellectuelle.Sans doute l’une des plus accomplies de toute notre histoire politique.

    Une gigantesque manipulation des consciences qui dure encore aujourd’hui et a pris tout un peuple en otage. On a voulu faire croire aux Français qu’ils avaient hérité, de la dernière guerre, au fond d’eux-mêmes, d’un relent de racisme intolérable : hier, ils ont persécuté les Juifs, aujourd’hui, ils traquent les immigrés. C’est en 1984 que la gauche invente ce nouveau paradigme.

    Mitterrand et son communicant, Jacques Pilhan, sont à la manoeuvre, avec Julien Dray. L’inquisition commence. Le nouveau Torquemada est un ancien trotskiste.

    L’Élysée donne son feu vert ; l’opération va coûter cher. Qu’importe! Le secrétaire général de la Présidence, Jean Louis Bianco, apporte le plus haut des concours pour « trouver le financement dans les ministères». Il ouvrira les portes et les caisses. On va faire épingler des petites mains jaunes à la boutonnière de toutes les étoiles médiatiques : Yves Montand, Simone Signoret, Marek Halter. Puis à toute la jeunesse.

    L’historien Max Gallo, porte-parole de François Mitterrand, a mis à nu les ressorts de l’opération : «Il y a eu Vichy et l’étoile jaune ? On créa de toutes pièces, d’en haut, parmi les idéologues qui savaient ce qu’ils faisaient, la petite main jaune de SOS Racisme, pour faire comprendre que les citoyens de souche récente étaient en somme les Juifs d’aujourd’hui … De l’étoile jaune à la petite main jaune de SOS Racisme, on générait la première de ces confusions historiques qui allaient empoisonner les débats français. »

    Avec cette nouvelle association, SOS Racisme, on franchit, en ce 15 octobre 1984, une nouvelle étape dans la haine de soi et le dénigrement de la France.

    Ce moment correspond, historiquement, à la captation de la Shoah par les lobbies immigrés, sous l’égide de la gauche mitterrandienne. Le migrant remplace le prolétaire, que les socialistes vont abandonner à la mondialisation sauvage.

    Le peuple migrant va devenir le nouveau « peuple élu ». Ce discours victimaire vitrifie les esprits critiques pétrifiés par la peur. Il prône le «droit à la différence». C’est un multiculturalisme militant qui veut en finir avec la tradition assimilatrice de la France.

    Par leur jeunesse, les dirigeants médiatiques de SOS Racisme bénéficient aussi d’une présomption d ‘innocence : ils sont censés incarner une «génération morale», rafraîchissant ainsi le débat politique en y infusant la générosité. François Mitterrand les utilise pour élever une digue morale autour du Front national dans le seul but de tétaniser la droite classique qui travaille bientôt à sa propre décontamination. Les régimes totalitaires ont toujours jeté les jeunes contre leurs aînés.

    Bientôt, le magazine Globe, créé en 1983, va résumer la philosophie de SOS Racisme dans l’éditorial de son premier numéro, cosigné par Georges-Marc Benamou, Bernard-Henri Lévy et Pierre Bergé : « Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux.«

    Pierre Desproges s’amusera de ce serment asymétrique :

    « J’adhérerai à SOS-Racisme quand ils mettront un S à Racisme ! Il y a des racistes noirs arabes, juifs, chinois et même des ocre-crème et des anthracite-argenté. Mais à SOS-Machin, ils ne fustigent que le Berrichon de base ou le Parisien-baguette. C’est sectaire. »

    Je ferai d’ailleurs les frais de ce sectarisme tranquille des gardiens de la Vertu. Avec une hauteur insultante, Bernard-Henri Lévy me reprochera un jour … d’exister. Il considère que quiconque aime sa patrie constitue un danger et que tout devient alors permis quand il s’agit de pratiquer la salubrité publique. La France doit se taire, elle a mauvaise haleine, la tripe vilaine, le regard infesté, la bouche empuantie. Elle est le Mal absolu, le ventre fécond qui a enfanté la Bête immonde. […]

    La doctrine de B.H.L., si on l’examine bien, nous fait franchir un cran : puisque la France, à travers ses expressions les plus intimes, charrie des vomissures barbares, comme les diables brûlants crachent des laves rougeoyantes, il faut la condamner, la mettre au ban de la civilisation. Il faut qu’elle batte sa coulpe, qu’elle s’excuse d’exister. Un homme politique qui resterait juché sur son Aventin, soucieux d’une France en altitude, et que les Autorités morales surprendraient à cheminer sur la colline inspirée de Lorraine ou à chercher, dans l’horizon des blés d’or, les flèches de Chartres, ne serait pas digne d’accéder aux fonctions les plus élevées de la République. B.H.L. ne le tolérerait pas.

    Depuis que SOS Racisme a vu le jour, la haine raciale ne s’est jamais aussi bien portée et n’a jamais été aussi violente. Certains linguistes qui ont étudié l’intitulé du mouvement y ont détecté un lapsus révélateur : ces gens-là s’agitent pour secourir l’objet même de leur détestation. Quand on lance un SOS, c’est pour sauver les espèces qu’on juge menacées, les dauphins, le thon rouge, les libellules … SOS Animaux vise à sauver les bêtes abandonnées, SOS Grand Bleu à défendre la faune et la flore en Méditerranée.

    En fait, la confusion n’est que d’apparence. C’est presque un acte manqué. Sous couvert d’antiracisme, SOS Racisme sauve le racisme. Fabriquer des racistes pour pouvoir mieux les dénoncer. Provoquer et nourrir la haine pour s’en repaître. Dénoncer le Front national et le faire prospérer.

     

    David Duquesne

    19 04 21

  • Une justice indépendante ?

    Une justice indépendante ?pouvoir.jpg
    C’est inédit ! On n’a jamais vu un ministre de la justice mis en examen par des juges pour une affaire d’une telle gravité.

    Eric Dupond-Moretti a été mis en examen vendredi 16 juillet pour « prise illégale d’intérêts » par des juges d’instruction de la Cour de Justice de la République.
    La justice soupçonne aujourd’hui le ministre de la justice d’avoir utilisé les moyens de son ministère et ses attributions disciplinaires pour s’en prendre à des magistrats anti-corruption avec lesquels le garde des sceaux avait mail à partie quand il était avocat dans le passé.
    Il lui est reproché d’une part d’avoir ouvert des enquêtes administratives à dimension disciplinaire contre des magistrats du Parquet National Financier qui avaient enquêté sur une taupe possible de Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bismuth.
    Ce qui lui est reproché, c’est une prise illégale d’intérêts. A savoir qu’il a utilisé les moyens de la justice pour régler un compte personnel avec des magistrats anti - corruption qu’ils soient du PNF ou juge à Monaco.
    L’affaire va plus loin que le garde des sceaux et touche le premier ministre lui même Jean Castex qui, lui aussi, relance l’enquête contre les magistrats dans l’affaire pour laquelle Nicolas Sarkozy a été condamné.
    L’un des piliers de la République et de la démocratie, à savoir l’indépendance de la justice est en grave danger !

    https://www.youtube.com/watch?v=YV0npfYeKzQ