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Crise systémique - Page 2

  • La bataille d’Angleterre

    Souvenons-nous du mois de septembre 1940.
    L’empire britannique sauvait dans son ciel la liberté du monde et commençait à arrêter la barbarie nazie (notamment celle des camps d’extermination).

    Cette barbarie voulue par les parents von der Leyen-Albrecht (Aldi) et leurs amis.

    L’Angleterre sacrifiait son empire colonial pour financer sa propre défense et sauver le monde entier, seule contre tous.
    Quelques aviateurs, même pas encore sortis de l’école et quelques poignées de vétérans, s’élançaient sans arrêt dans le ciel pour repousser les hordes de Teutons.

    Ils n’atterrissaient que pour ravitailler en carburant et en munitions et repartaient aussitôt. Pendant des jours et des nuits entières.
    Ces hommes furent plus que des héros.
    Ils étaient commandés par des militaires d’exception et par un premier ministre, Winston Churchill, qui était conservateur (ultra ? d’extrême droite ?) et qui était lui-même un vétéran et un invalide de guerre.

    A la libération, ils se sacrifièrent encore pour renflouer leurs caisses, faisant face pendant de longues années à des restrictions et des privations que les autres peuples ne connaissaient plus.
    Ils avaient dominé leur monde, tout en étant multiculturalistes. Aujourd’hui, ils sont à leur tour injustement dominés par ce monde, vengeur, qui veut leur asservissement, la perte de leur religion, de leurs lois et de leur culture.

    Personnellement, je continue à penser qu’ils ne le méritent pas et qu’il y avait mieux à faire.
    Biggles, Ginger, Algy et Bertie, quelques héros de la bataille d’Angleterre.

    Le monde avait été sauvé par une poignée de courageux aviateurs. N’oublions pas non plus le captain W.E. Johns et la littérature anglaise.

    Jean- Paul Delsaux

    La résistance anglaise actuelle fera t'elle école en France ?

  • Les droits de l'Homme !

    Les droits de l'Homme ! Ah! Ah !

    Voter ? Mais que reste t il des institutions de la Ve république ? l'usage du référendum ? mais celui de 2005, expressément contredit par le congrès en 2008, à l’initiative de Nicolas Sarkozy, a détruit le sens du suffrage populaire, sans compter la modification la même année de l'article 61 de la Constitution qui soumet au conseil constitutionnel et restreint l'usage initial de l'article 11..

    Et "çà" c'est la "droite" ? Elle veut à présent condamner l’exécutif à l'instabilité durable et certaine par l’instauration de la proportionnelle ?

    Et MLP dans cette affaire elle est où ? Elle veut quoi ?

    De Gaulle au secours ils sont devenus fous !

  • L’antisémitisme en France.

    Le volcan gronde, et personne ne veut l’entendre.
    En France, l’antisémitisme n’est plus un résidu du passé. Il n’est plus souterrain. Il n’est plus marginal. Il est là, à ciel ouvert, au grand jour, quotidien, visible, impuni. C'est un signe un avertissement puissant sur ce qu'il risque d'advenir à tous !
    Il est dans la rue, dans les écoles, dans les entreprises, dans les administrations, dans les médias, dans les stades, sur les bancs de l’université et même dans les assemblées élues. Il est même parfois à l’Élysée, quand le silence devient complicité.
    Et pourtant, rien. Ni sursaut, ni honte, ni mobilisation. Seulement le silence. Ce silence assourdissant qui trahit les démocraties fatiguées, vidées de leurs principes, livrées à la peur de nommer les choses, à la peur de déplaire, à la peur de perdre une voix ou une alliance électorale.
    Notre société est en état de pré-éruption.
    Le cratère fume. Les signes sont là. Mais comme toujours, les démocraties tardent à réagir. Elles attendent le sang, le drame absolu, la honte irréversible.
    Alors que déjà, la société s’érode. Le volcan ne gronde plus seulement : il menace d’entrer en éruption.
    Cette éruption, ce ne sera pas un pogrom à l’ancienne. Ce sera une normalisation de la haine. Une mise à l’écart acceptée. Une invisibilisation des juifs de France, contraints de cacher leur identité, de fuir leurs quartiers, voire leur pays. Un glissement sournois d’une démocratie vers l’injustice systémique.
    Nous ne sommes pas dans les années 30. Nous sommes peut-être déjà dans les années 40 sans nous en apercevoir. Les camps ne sont plus physiques, ils sont mentaux, sociaux, numériques. Mais l’enfermement est réel. Et la violence possible.
    Les Français, tous les Français sont concernés quelle que soit leur confession; ils devraient dire stop ! Pour dire non. Pour nommer. Pour alerter. Pour réveiller les consciences et prendre des mesures qui les rassemblent sur la base d'un puissant "Egregore".
    Philippe De Villiers est en compétence et capacité pour réaliser ce "rassemblement"
    Le temps presse. Chaque jour de silence est une défaite. Chaque hésitation est un cran de plus dans la montée de l’irrémédiable.
    Plus est en nous !
    Crédit à l'auteur !