Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ecologie radicale - Page 10

  • Cataclysme naturels

    La Nature, qui n'est pas notre amie ni notre ennemie, cause des inconvénients, parfois des bouleversements et plus rarement des morts. Certains événements comme l'infâme tsunami de 2004 qui a fait de 220,000 morts se produisent une fois par période de plusieurs siècles mais de telles catastrophes sont rarissimes.

    Plus une catastrophe naturelle cause des morts, moins elle est fréquente. Les probabilités de mourir dans un tel événement sont donc rarissimes. Il est donc irrationnel de baser son plan survivaliste sur une Grande Catastrophe Naturelle Soudaine appréhendée car à l'échelle humaine, les probabilités d'en connaître une de notre vivant et d'y mourir sont infinitésimales.

    Bien entendu, les gens qui vivent en zone inondable doivent se préparer à une inondation et ils ont des raisons pour cela. Par contre les autres qui ne vivent pas dans un secteur particulièrement sujet à de graves dérèglements de la Nature devraient consacrer leurs premiers efforts à autre chose que le cataclysme appréhendé.

    Facteurs humains

    S'il faut prendre les dangers de la Nature avec un grain de sel, en revanche les événements de nature humaine sont beaucoup plus sérieux.

    Deux guerres mondiales au XXè siècle ont fait 120 millions de morts. Le total de la mortalité due à des guerres pour le XXème siècle se chiffre, toutes guerres confondues, à 231 millions de morts. Presqu'un quart de milliard de personnes tués par des guerres. 

    On doit compter au moins autant de mutilés et deux à trois fois plus de gens blessés.

    Le patrimoine bâti a aussi été affecté, ce qui a des répercussions immédiates et majeures sur la qualité de vie des survivants des zones touchées par des combats.

    Il y a eu depuis un an environ 266,500 homicides sur la planète. Échelonnés à l'échelle d'un siècle, ces chiffres nous donnent 26,650,000 homicides.


    Plus banal? D'accord. On meurt plus lorsqu'on est au chômage que lorsqu'on a un emploi.

    Est-ce que les sursauts de la Nature ont causés autant de morts durant la même période?

    Et les famines: nature ou culture?

    Des millions de personnes meurent de la faim ou de la malnutrition. Est-ce la faute aux mauvaises récoltes (la Nature) ou la faute aux êtres humains (Culture)?

    Depuis qu'il existe des programmes d'assistance internationale et que les États se viennent en aide les uns les autres, en combinaison avec les moyens de transport contemporain et les réserves alimentaires réalisées par les immenses surplus de production, on doit conclure que ces morts sont de cause humaine: soit par intervention directe sur les cultures et les élevages, soit par blocus ou ruptures d'approvisionnements, soit par non-assistance ou assistance insuffisante.

    En résumé, dans le passé les famines étaient dues à des causes naturelles mais depuis l'industrialisation, elles sont dues à des causes humaines.

    Là où il y a de l'homme...

    Là où il y a de l'homme, il y a de l'hommerie dit-on souvent chez nous.

    La plus probable menace à notre vie, à notre sécurité, à notre mode de vie et à notre autonomie ne vient pas de l'ours dans la forêt derrière chez nous, du séisme de 7,0, de l'inondation du millénaire ou d'une tempête de grêlons de la taille d'un ballon de foot.

    La plus probable menace, est d'origine humaine: du petit criminel de bas étage qui nous braque au coin de la rue jusqu'aux banquiers qui fomentent les guerres, les crises et les révolutions, colorées ou non.

    Les plans survivalistes les plus avisés prendront compte davantage de la menace humaine que de la menace naturelle car selon toutes probabilités, c'est l'humain qui a le plus de chances de nous affecter.

    Approche avisée

    Il y a toutes sortes de raisons pour devenir survivaliste comme il existe toutes sortes de déclencheurs qui font la transition entre "normal" et "survivaliste". La crainte de phénomènes naturels de nature cataclysmique est de manière surprenante très répandue. Comme si c'était une sorte de crainte de la fin du monde qui n'ose pas dire son nom.

    Les probabilités de subir un événement naturel de nature cataclysmique et d'y périr sont tout de même infinitésimales, spécialement dans les pays développés. 

    En revanche, ces probabilités sont plus élevées quand on considère un événement d'origine humaine.

    Événements non-létaux

    Il n'y a pas que vivre ou mourir dans la vie. Il y a les bons coups, les mauvais coups, les événements heureux et les événements malheureux. 

    La Nature peut nous infliger des tempêtes de neige majeures ou des froids intenses de -30 et moins. C'est désagréable, ça complique les choses ou ça nous empêche carrément de réaliser nos projets du jour. En revanche les événements d'origine humaine peuvent aller de la simple engueulade jusqu'au braquage non-létal et à l'agression.

    En comparaison, non seulement les événements de nature humaine sont plus fréquents mais ils sont aussi imprévus et de gravité variable.

    Alors, Nature ou Culture?

    Je crains que ce billet n'alimente la paranoïa qui affecte beaucoup de survivalistes. Néanmoins, entre l'hypothétique météorite qui aurait l'impudence de détruire notre ville ou l'émeute populaire, c'est l'émeute populaire qui a le plus de probabilités de survenir et de nous affecter directement.

    Aussi, les survivalistes qui investissent la plus grande part de leur préparation dans l'affrontement d'un événement majeur d'origine naturelle tirent leur poudre aux moineaux: ces efforts sont démesurés comparativement à leur possibilité d'être déployés à cette fin un jour.

    C'est le facteur Culture, c'est à dire humain, qui l'emporte largement dans les probabilités de perturbation de notre vie, à tous les niveaux.

    Vic Survivaliste

    29 10 15

  • La relève

    L'oligarchie mondialiste ne pourra se tenir longtemps à l'écart de la lame de fond qui va les balayer et c'est Marine Le Pen qui tiendra le manche en Europe. Méfions nous pourtant de leur capacité de nuisance.  L’exemple de la Grèce d'Alexis TSIPRAS doit nous mettre en garde.

    D.S.K. était une dirigeant fabriqué sur mesures pour succéder à Sarkozy et il n’avait rien d’un chevalier blanc. Il faisait plutôt dans le genre du calife pervers voulant être calife à la place du calife et bénéficier le plus longtemps possible avec ses copains et ses maitres du Nouvel Ordre Mondial « économico-financier » dont bénéficient les « maitres » de l’oligarchie mondialisée.
    Mais le scénario était trop simple, trop fluide, trop gentil et probablement que Sarkozy n’a pas voulu laisser la place comme le voulaient ses « maitres » Euro-atlantique.
    Et l’individu taillé sur mesures pour le poste du céder la place.

    L’oligarchie mondialiste poussa alors en avant  un nouvel homme de paille. Un homme de second rang qui n’avait de toutes façon pas la carrure pour leur résister et poser de sérieux problèmes.
    Cet homme, François Hollande, mit docilement le pas dans ceux de ses prédécesseurs et s’empressa de perpétuer leurs pratiques les moins reluisantes.
    Apparemment, nous ne sommes qu’au commencement de la chute, car tout le système est en crise structurelle profonde, systémique, et tous les supports sont touchés. Ils interagissent entre eux en accélérant la dégradation du système
    Les enjeux sont devenus colossaux. En particulier concernant les sous systèmes économico-financiers, mais aussi les fondamentaux culturels, démographiques, identitaires etc.… et les sous-systèmes comme par exemple les complexes militaro-industriels des grandes nations qui sont à présent des éléments incontrôlables et donc impossibles à réguler.
    Bien évidemment cet ensemble de prédateurs n’est pas prêt à rendre les armes. Sa capacité de nuisance est intacte. Le dernier chevalier blanc accédant au pouvoir, Alexis Szypras en a fait l’amère expérience. Il est vite rentré dans le rang !
    Notre seule chance en tant qu’individu, peuple et nation Européenne, est de reprendre en main notre destinée en profitant du désordre actuel que les peuples arabo-musulmans introduisent dans le projet oligarchique mondial.

    Un projet  que nos « élites » sont incapables d’appréhender, de contrôler et de réduire après en avoir été, en apprentis sorciers, les véritables initiateurs.

    Pour cela, nous devons nous appuyer sur le projet de gouvernance de Marine Le Pen. Il est seul en mesure de s’imposer en France et au sein de l’UE comme alternative. Le seul capable de créer les convergences nécessaires pour imposer en Europe un changement majeur de direction et faire tomber ceux qui depuis au moins 40 ans se livrent à la démolition de la maison France et participent de la corruption endémique généralisée et mafieuse.

    Il suffit de constater ce qui se passe actuellement au sein du football mondial et se souvenir des scandales à répétition qui touchent aussi bien les milieux politiques, qu’économiques pour mesurer l’ampleur de la tache qui incombera à Marine le Pen une fois au pouvoir. 

    Il faut souhaiter que le projet du Front National soit appliqué et réussisse, car dans le cas contraire c’est à une explosion sociale extrêmement violente et incontrôlable à laquelle nous nous exposerions.

     

    Francis NERI
    11 10 15       

     

  • Islam et complexité

    Si vous voulez étudier un individu, un groupe, étudiez le dans son milieu, son contexte.
    Si vous voulez vraiment comprendre un musulman (il semble hélas que ce soit à nouveau nécessaire de comprendre son ennemi afin de mieux le combattre) voyez comment il se comporte en Algérie, au Maroc, en Syrie, en Lybie, en Arabie Saoudite etc.
    Chez lui il est authentique. Il est dans son environnement économique, territorial, cultuel, social, celui qui l’a déterminé.
    Il en est dépendant et, c’est cet environnement, cultuel en particulier, qu’il voudra reproduire dans les moindres détails chez nous, maintenant qu’il croit nécessaire de quitter son monde, qu’à l’exemple de ses sauterelles il croit avoir détruit avec l’aide de quelques prédateurs occidentaux.
    Il ne voit même pas, cet islam d’une époque définitivement révolue, que son monde regorge de richesses qu’il ne saura jamais exploiter de lui même.
    Il faudra bien à un moment donné en finir avec leur religion, la mettre sous tutelle et revenir mettre de l’ordre dans leur fourmilière humaine, les réguler et les contrôler.

    Mais en attendant, comme le musulman est par nature inassimilable en tant que tel, sa présence deviendra bientôt absolument indésirable et, par rétroaction notre système autonome et ouvert se fermera afin de préserver son individualité et son originalité !
    Alors, le musulman succombera en raison de son incapacité à s’adapter à un nouvel environnement.

    L’idée de remigration fait son chemin ! C’est une bonne chose mais d’une grande complexité, car elle pose la question de l’origine des causes et des responsabilités individuelles et collectives.
    « L’effet revient de façon causale sur la cause qui le produit » (Norbert Wiener) et il faut se demander si l’islam est produit ou producteur et donc cause de NOS problèmes ?

    Qui et comment faut il « remigrer » ? Les islamistes ou ceux qui les produisent ? Et par lesquels faut-il commencer ?

    Francis NERI
    04 08 15