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Liberté d'expression

  • Les droits de l'Homme !

    Les droits de l'Homme ! Ah! Ah !

    Voter ? Mais que reste t il des institutions de la Ve république ? l'usage du référendum ? mais celui de 2005, expressément contredit par le congrès en 2008, à l’initiative de Nicolas Sarkozy, a détruit le sens du suffrage populaire, sans compter la modification la même année de l'article 61 de la Constitution qui soumet au conseil constitutionnel et restreint l'usage initial de l'article 11..

    Et "çà" c'est la "droite" ? Elle veut à présent condamner l’exécutif à l'instabilité durable et certaine par l’instauration de la proportionnelle ?

    Et MLP dans cette affaire elle est où ? Elle veut quoi ?

    De Gaulle au secours ils sont devenus fous !

  • Les "politichiens" !

    Les "politichiens" !
    J’apprécie certains personnages politiques Français de droite; en particulier Zemmour, Retailleau, Marine Le Pen ... sa nièce et quelques autres !
    Mais on ne peut pas s’incliner devant leur frilosité à ce débarrasser des "politichiens" actuels.
    Tout ce qu’ils disent n’est pas correct, et ils collaborent d'une façon ou d'une autre au maintien du "pouvoir en place" afin, soit de s'y maintenir soit d'y parvenir.
    Ceux qui ont oublié les raisons pour laquelle ils font de la politique devraient se rappeler ce qu’ils nous ont promis.
    Se souvenir qu'ils ont une obligation de moyens ET de résultats !
    Ils sont au pouvoir pour NOUS ; pas pour servir leurs intérêts personnels !
    Nous aurons bientôt de nouvelles élections et ils nous bassinent déjà de leurs pompeuses promesses qu' ils n'ont aucune intention de réaliser
    La droite par exemple part, de nouveau, en ordre dispersé, donc certaine de son échec !
    Tirons en la seule conclusion logique : ils n'ont aucune intention de changer le "système " en place.
    Disons leur que nous ne sommes pas dupes et que pour ce qui nous concerne nous continuerons à nous battre pour la France et les Français, pour la vérité et la victoire du peuple de France !

    Même si cela prend du temps nous chercherons dans nos rangs celui ou celle qui relèvera le défi. .
    Nous sommes nombreux à penser que ce "champion " a pour nom Philippe de Villiers; qui n'est pas seulement dans les studios de télévision pour faire la publicité du Puy du fou !
    Espérons qu'il nous entende et nous conduise à la victoire !
    Pour ce qui nous concerne, nous continuerons à nous battre pour la vérité et la faire gagner, même si cela prend du temps, même si nous sommes les seules voix restantes ici et maintenant !

    Plus est en nous !
    08 07 25

  • Génocide

    L’accusation de génocide n’est pas seulement factuellement délirante, elle est suicidaire pour la cause palestinienne. Ceux qui emploient ce mot ne se contentent pas de mentir : ils condamnent les Palestiniens à des décennies supplémentaires de conflit. Je m’explique ⬇️
    Je ne vais même pas discuter ici du mot génocide, juridiquement infondé, historiquement absurde, moralement obscène. Ni rappeler qu’il s’agit d’un vieux réflexe antisémite : retourner la Shoah contre ses survivants. Ce qui m’importe, c’est l’effet concret de cette rhétorique. Car au-delà du délire, c’est une impasse stratégique majeure.
    Un génocidaire, on ne lui parle pas, on le combat. On ne négocie pas avec lui, on ne lui fait pas signer d’accord, on ne rêve pas de compromis. On l’extermine. Coller cette étiquette à Israël, c’est rendre tout règlement politique impossible. Définitivement.
    Ce glissement rhétorique est exactement ce que veut le Hamas. Le Hamas ne veut pas une patrie pour les Palestiniens, mais un tombeau pour les Juifs. Il rêve d’un Djihad planétaire, pas d’un compromis territorial. La logique du Hamas, c’est celle de l’offrande sacrificielle : que le peuple souffre, pourvu que le récit survive. En criant au génocide, on entre dans sa logique : celle de la guerre religieuse, absolue, sans issue politique.
    Ce discours est une catastrophe pour les Palestiniens. Il les instrumentalise. Il les réduit à des icônes sacrificielles, figées dans le rôle de victimes éternelles, dépossédées de toute autonomie politique. Plus de stratégie, plus de responsabilité historique, plus de projet. Ils deviennent les figurants d’un fantasme occidental, victimes pures pour son théâtre post-colonial.
    Le mot génocide agit ici aussi comme une suspension de l’intelligence. Plus l’accusation est grave, moins elle exige de réfléchir. Le mot génocide dispense de raisonnement. C'est un couperet qui évite d’avoir à penser la guerre, la complexité historique, les enjeux stratégiques, les responsabilités partagées, les dilemmes moraux.
    Enfin, ce discours est aussi une bénédiction pour l’extrême droite israélienne. En traitant tout Israël de nazis, on justifie tous les réflexes sécuritaires. On pousse des Israéliens modérés dans les bras de ceux qui leur promettent la force, l’unité et le refus de tout compromis. Plus on réduit Israël au mal absolu, plus la société israélienne se convainc qu’elle n’a plus rien à perdre. En somme, c’est le rêve humide de Ben Gvir : un monde qui ne voit Israël que comme un monstre, et qui renforce son discours de citadelle assiégée.
    Ceux qui parlent de génocide ne sont pas les alliés des Palestiniens, ils sont leurs fossoyeurs. Ils ne préparent pas la paix : ils la rendent impossible. Les mots ont un coût politique. Et le mot "génocide", ici, vaut 20 ans de guerre de plus. Par confort idéologique ou par haine recuite, ils sacrifient l’avenir d’un peuple sur l’autel de leur posture, car ils préféreront toujours l’éclat tragique d’une cause éternelle aux compromis ingrats d’une solution réelle."
    Emmanuel Ruimy