Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Nouvel Ordre Mondial - Page 44

  • La sharia

    Savoir ou se faire avoir, Sami Aldeeb

    "Cour européenne des droits de l’homme: “La loi islamique est incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme”

     Droits de l'homme, Sharia  Add comments

    Jan 182011

    Nous produisons ci-après des extraits d’un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 31 juillet 2001 (texte intégral) dans lequel elle affirme que la loi islamique est incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme. Cet arrêt a été confirmé par la grande chambre de cette cours le 13 février 2003 (texte intégral) (nouveau lien).

    Extraits de l’arrêt du 31 juillet 2001

    la Cour européenne des droits de l’homme a estimé que la Charia est incompatible avec la Convention européenne des droits de l’homme de 1950. Il s’agissait à cette occasion pour la Cour de juger si le gouvernement turc avait le droit de dissoudre un parti islamique turc, le Refah, en raison des valeurs prônées par ce parti (la Charia notamment). La Cour a validé la dissolution du Refah. Du jugement final, on citera essentiellement les extraits suivants :

    • La Cour constitutionnelle a rappelé qu’un tel système (la charia), qui avait ses origines dans l’histoire de l’Islam en tant que régime politique, s’opposait au sentiment d’appartenance à une nation ayant une unité législative et judiciaire.
    • Pour la Cour constitutionnelle, la Charia serait l’antithèse de la démocratie, dans la mesure où elle se fonde sur des valeurs dogmatiques et est le contraire de la suprématie de la raison, des conceptions de la liberté, de l’indépendance, ou de l’idéal de l’humanité développé à la lumière de la science.
    • La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
    • La Cour relève que (…) les références explicites à l’instauration de la Charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout.
    • Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
    • La Cour constitutionnelle (fait également référence) à la notion de djihad, qui se définit, dans son sens premier, comme la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société.
    • La Cour constate également que les propos tenus par Xxxxx, le député d’Ankara, (…) traduisaient une haine profonde envers ceux qu’il considérait comme des opposants au régime islamiste. La Cour estime à cet égard que lorsque le comportement incriminé atteint un niveau élevé d’insulte et se rapproche d’une négation de la liberté de religion d’autrui, il perd pour lui-même le droit d’être toléré par la société.”

    Extraits de l’arrêt du 13 février 2003

    • La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.
    • Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.
    • Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun
    • Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique
    • la Cour estime (…) qu’un parti politique dont les responsables incitent à recourir à la violence ou proposent un projet politique qui ne respecte pas la démocratie ou qui vise la destruction de celle-ci ainsi que la méconnaissance des droits et libertés qu’elle reconnaît, ne peut se prévaloir de la protection de la Convention contre les sanctions infligées pour ces motifs.
    • Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.
    • Dans ce contexte, la Cour considère qu’il n’est pas du tout improbable que des mouvements totalitaires, organisés sous la forme de partis politiques, mettent fin à la démocratie, après avoir prospéré sous le régime démocratique. L’histoire européenne contemporaine en connaît des exemples.
    • la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie,
    • A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
    • La Cour relève que (…) l’instauration de la charia est difficilement compatible avec les principes fondamentaux de la démocratie
    • Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
    • La Cour considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad (dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir politique.

    Philippe Boehler
    27 03 17

     

  • La France est en train de mourir

    Nous sommes des millions à le penser : la France est en train de mourir.
    Cette mort que nous sentons venir, c’est la mort de quinze siècles d’histoire de France, de plusieurs millénaires de civilisation européenne.
    Car « l’establishment » des mondialistes fait la guerre à notre histoire, il la détruit patiemment, par l’Ecole, par les médias. La haine de nos origines est l’essence de leur construction lentement élaborée.
    Cette guerre ne se fait pas seulement contre le passé, lointain ou récent. Elle se fait chaque jour contre les vivants de 2017.
    Partout, la mondialisation et son idéologie, le mondialisme, frappe. Et leurs victimes ne doivent pas seulement dire merci, mais aussi pardon. Pardon d’être là, pardon d’être Français, pardon d’être blanc, pardon de gêner, pardon de croire que la France est le pays des Français.
    Ces Français qui souffrent sont des millions. Ils sont les victimes immolées dont le sacrifice doit être tu et même enseveli sous les mensonges. Ils sont la France et ils vivent en direct sa disparition.
    Il n’existe pas plus grande victime qu’eux , car il vivent dans un pays ou l’Etat mène une guerre contre eux, un pays ou l’étranger passe avant l’autochtone, un pays ou il lui est dit qu’il est une brute, un égoïste, un raciste et un assassin esclavagiste.
    Cela ne peut pas durer, çà a assez duré ! Un Etat qui fait la guerre aux siens doit être combattu.
    Un Etat qui prend ses ordres à Bruxelles ou à Berlin n’a plus rien de national, il n’est plus légitime, il doit disparaître.
    L’élection de mai et de juin17 nous donne une chance. C’est sans doute la dernière pour que les choses se passent avec le minimum de tension.
    Nous devons nous doter d’un gouvernement et d’une majorité à l’Assemblée nationale qui soit issue du peuple, de ce peuple bafoué et qui ne veut pas mourir, qui veut une nation puissante et pas une société de consommateurs.
    S’il y a assez de Français qui le veulent, c’est à dire une minorité agissante, une avant-garde déterminée, alors la France ne mourra pas, nous la sortirons du tombeau s’il le faut !
    Un peuple mérite ses chefs, et Fillon, Macron et quelques autres, ce n’est pas une punition divine. Ils ne seront pas si nous ne les voulons pas …et nous n’en voulons pas, alors nous sommes prêts à les combattre pour permettre à celle que nous avons choisie d’être notre chef de guerre : Marine !

    Qu’ils se le disent !
    Francis-claude Neri

  • L’idée libérale

    L’enjeu aujourd’hui est de se saisir des valeurs que la contre-culture des années 60, de gauche comme de droite a corrompues et de les utiliser pour reconstruire des institutions qui nous ressemblent, qui seraient à notre service et que nous servirions avec enthousiasme et énergie car elles seraient au service de tous et non pas d’une oligarchie prédatrice.

    Quelles sont ces valeurs ?
    Qui les défend le mieux ?

    Comment faire pour qu’un individu libre trouve sa place dans l’ordre social ?
    Comment sortir des modes de communication multimédias (plusieurs sources vers l’individu) que les médias de masse, -films, journaux, radios- ont créé, d’un émetteur vers plusieurs récepteurs passifs, qui encerclent et influencent les esprits dans le sens qui convient à leurs donneurs d’ordre ? On laisse le choix entre plusieurs médias qui diffusent en réalité le même message : consomme et reste dans le cadre préétabli qui t’es fixé, surtout n’en sort pas, fais gaffe tu es sous contrôle.
    Comment recréer une personnalité démocratique habitée d’un état d’esprit fortement individué, empathique et rationnel favorable à la liberté d’entreprendre, d’expression, à l’égalité entre les citoyens devant la loi, à la fraternité entre individus de même culture, du même terroir, habités d’une même « mémoire » identitaire qu’il reconnaît comme sienne et qu’il assume.
    Comment peut-on être à la fois au contrôle de soi même et en relation de communication avec les systèmes de contrôle ?
    Comment échapper à cet encerclement qui débarque maintenant sur les réseaux sociaux, Comment échapper à cette psychanalyse qui loin d’être une science de l’adaptation personnelle n’est qu’adaptation aux contraintes hiérarchiques et bureaucratiques.
    Comment en même temps participer pleinement et démocratiquement à l’évolution nécessaire et à la transformation de cette société ?
    La question que je me pose est la suivante : Peut on y parvenir en s’éloignant des médias de masse, en construisant des communautés virtuelles, un monde dans lequel les individus sont libres de s’exprimer hors influence médiatique, mais aussi de se reconnaître les uns, les autres. Des individus qui agiraient de façon à la fois personnelle et bienveillante, collaboratrice et indépendante des slogans unificateurs et prédateurs de l’oligarchie économique et financière qui domine le monde « réel » !

    L’idée libérale : Comment être toujours soi même un individu complet tout en faisant partie d’un groupe ?
    Comment se saisir de cette impulsion pour l’inscrire dans des lois, dans des institutions plus fortes, mais aussi plus égalitaires ?

    Francis-claude Neri

    10 03 17