Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Régulation, contrôle, sanction - Page 94

  • En avoir ou pas

    Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais j’en ai par dessus la tête d’entendre et de lire à longueur de journée au café du coin, sur la plupart des médias et sur nos réseaux sociaux que nous, Français sommes des veaux, des lâches, des sans-couilles qui s’aplatissent devant les islamistes, les Européistes, les mondialistes etc. etc.

    « On » me dit aussi que si nous avons un président comme Macron c’est que nous l’avons voulu et que nous ne méritons pas mieux.

    Certains me disent que je suis juste bon à écrire des « conneries » incompréhensibles derrière mon ordinateur et que je suis un « fouteur de merde » responsable de l’échec de Marine le Pen parce que j’ai osé, en son temps, critiquer sa stratégie !

    Bon les insultes de ces « innocents » ne m’atteignent guère, je les prends de qui çà vient …mais tout de même !

    Parfois je fais de la provocation : « Bon d’accord vous avez raison … « on » fait quoi alors ? … « On »  rentre dans le lard de l’islamiste du coin ? « On » descend tous dans la rue et « on » fait la révolution ? Pour quel objectif ? Avec qui ? Comment ? Quels moyens acceptons-nous d’utiliser contre nos ennemis…la guerre civile ? Le meurtre ? L’assassinat des opposants ? Jeter de l’acide sur les femmes voilées ? Plastiquer des mosquées ? Prendre l’Elysée ou le parlement Européen d’assaut ?

    Alors je lis souvent …en MP …cette réponse significative : « Il ne faut pas parler de çà sur « Face de bouc », on est surveillés et moi j’ai mon groupe discret, et actif sur le terrain »
    Et passez muscade je n’entends plus parler du « citoyen » qui lui à des « couilles » et agit …en toute discrétion.

    Ce qui m’amuse le plus c’est que certain(e)s (au dessus du lot en matière de communication) tentent de remettre en piste Marine le Pen, Waucquiez  ou encore Mélenchon …Ne parlons pas de ceux qui se sont soumis ou résignés au « Macronisme ».
    Bref ils veulent reprendre les mêmes et recommencer encore et encore sans jamais penser une seconde à sortir les roues de la charrette de l’ornière que ces derniers ont tracés depuis une éternité.

    Alors je leur dis : «  Essayons de NOUS sortir du « système » il ne peut plus rien nous apporter en l’état ; il est vérolé et il doit être nettoyé de fond en comble, débarrassé de ses scories que sont les hommes politiques, les médias, les grands pontes des sous systèmes que sont l’armée, la police, l’administration, la culture, l’école, la santé, l’économie, la finance etc.

    Le système est vérolé et pourri …il faut le passer au karcher !
    C’est à nous de jouer ; nous seuls pouvons nous rassembler pour dire ensemble, en dehors des partis et des systèmes, ce que nous voulons, pourquoi nous le voulons et comment nous allons faire pour redonner le pouvoir au peuple.

    Nous pouvons, si nous le voulons, nous rassembler, nous mettre d’accord sur des objectifs et des moyens.
    Alors nous serons invincibles et nos « zélites » devront nous écouter, nous entendre et nous obéir si elles veulent prétendre à nos suffrages.

    Bizarrement, il n’y a plus de réponse ou alors « on » me déclare sympathique, mais surtout très idéaliste et utopique et ce que je propose pouvant être fort dangereux !

    Et pourtant comment se dire « résistants » rêver à un projet de résistance, le mettre en œuvre si on ne dit pas à QUOI résister, comment, avec qui et avec quels moyens.
    Comment faire si on ne s’appuie pas sur un « réseau »,  si ce réseau on n’envisage pas de le construire, le structurer et l’organiser localement, nationalement et globalement ?

    Notre entrée première est la suivante : Comment remédier aux dysfonctionnements du modèle républicain, de la démocratie, de nos institutions ?
    Comment réguler et contrôler la démographie, l’immigration, la mondialisation sauvage et les multinationales prédatrices, l’économie, la finance etc.

    Vaste et inépuisables sujet ! Mais il faut bien commencer par un bout …une fois !    

    Une fois le préalable du karcher admis, il faut passer à la réalisation et la question se repose : Pourquoi faire, comment, avec qui, quels moyens ?

    De ce fait nous voyons bien que tout, mais alors tout, dépendra de notre capacité à gérer et organiser notre information et notre communication.
    Et pour cela nous avons à notre disposition les réseaux sociaux.

    Utilisons-les ! Construisons des « Infosgroupes » locaux en relation étroite et en cohérence  nationale (le global) et exploitons la formule qui réussit si bien à François Mitterrand : «  Agir local, penser global »
    Ne faisons pas comme le fit Marine le Pen (et tous les autres partis politiques) qui structura le FN par le haut, négligeant et méprisant la « piétaille du bas » et fit disparaître les structures locales.
    Cette vision Jacobine, centralisatrice et dictatoriale du pouvoir élimine toute forme d’autorité et de compétence locale. Les responsables locaux ne sont pas élus, mais désignés et il en résulte une absence totale de démocratie.
    Nous ne tomberons pas dans ce piège ; c’est à partir de la base, par le peuple et pour le peuple,  que la reconquête idéologique, culturelle, cultuelle, sociale, économique etc. se fera      

    Les « infosgroupes » devront être des relais locaux d’information, de formation et de réponse citoyenne. C’est à partir d’eux que TOUT doit émerger, se diffuser et se réaliser.

    Eux seuls peuvent nous permettre de connaître et de comprendre les évènements signifiants, lourds de conséquences dramatiques pour notre avenir et celui de nos enfants. De les relier à d’autres afin d’en déterminer les causes dissimulées, d’en tirer des raisons et des moyens pour une réponse citoyenne à la fois locale et globale.

    Les réseaux sociaux devraient nous permettre de structurer et d’organiser cette réponse qui doit nécessairement ignorer les partis politiques et les médias classiques.

    Le temps individuel et collectif nous est compté.
    Il nous faut au plus vite passer à l’action et nous donner les moyens de cette réalisation.

    Agissez ! Trouvez localement trois personnes proches de vos idées qui s’unissent à vous pour cette réalisation et nous nous rencontrerons pour finaliser VOTRE « infosgroupe ».

    Plus est en nous !
    Francis-claude Neri

    05 09 17     

     

  • UNE LOI PARFAITE.

    Ca y est la loi est passée ! Vu la surpopulation mondiale, il devenait évident qu’il fallait mettre un terme à l’explosion de la courbe démographique et stopper dans le monde entier cette croissance exponentielle que plus aucune terre arable n’arrivait à nourrir, ni aucun fleuve à désaltérer.

    Percée de toute part par des forages de plus en plus profonds les continents se desséchaient à vue d’œil. De plus en plus de fleuves n’arrivaient plus à la mer, et faute de forêts, les pluies dont 70% de l’eau vient de l’évaporation terrestre devenaient rares augmentant ainsi la nécessité de pompages des nappes phréatiques toujours moins généreuses. Même des nappes très anciennes accumulées géologiquement depuis des millénaires s’épuisaient à arroser de quoi nourrir une masse humaine envahissante.

    Les océans sont vidés de leurs poissons, les cieux sont silencieux car les oiseaux disparaissent à coup d’insecticides, seuls survivent des charognards grâce à nos ordures. Les terres épuisées, ne produise plus que sous assistance chimique.

    Donc dorénavant la loi impose qu’aucune naissance ne soit autorisée tant qu’un décès ne soit dûment constaté.

    Cette loi fut rendue possible par L’informatisation qui avait permis de ficher tous les citoyens du monde, et de les authentifier parfaitement grâce aux progrès de la biométrie, l’art d’identifier n’importe qui par son visage ses mains, ses oreilles, son ADN, etc.

    Le principe est simple mais l’application complexe, car la tentation est grande de tuer l’ancêtre pour à la fois toucher son héritage, problématique aussi vieille que l’affirmation du principe de propriété, mais en plus s’offrir le droit de faire naitre un nouveau bébé. Double avantage !

    De même l’idée de faire une guerre meurtrière, histoire de gagner des droits de se reproduire, qui était déjà pratiquée dans la concurrence des peuples primitifs par la conquête de l’espace vital, revenait au premier plan des idéologies destructives.

    Ceci permit d’imposer cette loi à tous les pays réfractaires par des guerres impitoyables. Toutes les religions se rebellèrent jusqu’à faire une paix sacrée entre elles, mais que peuvent les forces de la foi face au forces de la logique terrestre, surtout quand chaque victime devient un droit d‘enfanter pour les survivants même quand ils sont croyants. Les guerres religieuses devenaient un bienfait pour les autres malgré elles !

    Des naissances organisées en cachette favorisées par des réseaux mafieux allaient aussi compliquer le problème.

    Le premier acte fut une immense campagne politique visant à civiliser les peuples. Constatant que statistiquement plus un peuple est évolué, moins il fait d’enfants, la promotion de l’instruction, de la culture, des arts, des sport, ne furent plus des thèmes considérés comme des loisirs mais une nécessité démographique fondamentale. La recherche scientifique était aussi un dérivatif pour beaucoup car enfanter de nouvelles découvertes est aussi passionnant qu’enfanter tout court. Heureusement que la civilisation transmet aussi des notions de morale, car les autres dérives furent moins graves que redoutées.

    Il était indispensable que celui qui provoque un décès intentionnel ou crée des conditions favorable à ce risque ne puisse pas en bénéficier pour lui-même. La première punition juridique appliquée fut la stérilisation, heureusement que les progrès de la science permirent que cette action soit réversible, histoire de pallier à d’éventuelles erreurs judiciaires.

    Les droits à se reproduire furent donc répartis par tirage au sort parmi tous ceux qui le demandent.

    La mesure qui provoqua le plus de colère fut l’avortement judiciaire imposé aux gestations non autorisées pour celles quii étaient constatées à temps.

    Mais que faire des naissances illégales ? Eliminer l’enfant qui n’y est pour rien était foncièrement immoral, éliminer les parents fautifs revenait à fabriquer un orphelin. Les punir par une forte amende, créait une injustice car seuls les plus riches pourraient se l’offrir, même si l’amende était proportionnelle au niveau de vie c’est l’enfant qui souffrirait du manque de moyens provoqués à ses ascendants. Impossible de punir des parents sans punir un enfant innocent. La stérilisation définitive, punition suprême, fut envisagée pour éviter une récidive.

    Le désir d’enfant est tel que le commerce illégal des bébés à adopter pouvait exploser, et plus les procédures d’adoption étaient contrôlées plus ce commerce était lucratif.

    Alors faute de solution il fut décidé qu’en cas de naissance illégale, l’enfant était mis « en attente » c'est-à-dire en hibernation, jusqu’à ce que le tirage au sort veuille bien accorder aux parents son acceptation à vivre.

    Mais les comportements sociaux se mirent à changer, l’envie de procréer donc de trouver des places laissées par les décès conduit la société à faire l’éloge des activités à risques, sports extrêmes, défis dangereux. La recherche médicale qui avant orientait ses recherches pour assurer la survie à tout prix, changea de sens. La mise en place de procédures de sécurités, les règlementations multiples pour réduire les accidents, devenaient des luxes moins utiles. A chacun de prendre ses risques, ce n’était plus vraiment le souci de la collectivité. La responsabilité individuelle évolua et les hommes durent de nouveau apprendre à se prendre en charge eux-mêmes et ne plus compter sur les institutions pour les protéger.

    Même pour des enfants mal formés, ou des graves handicapés, l’action collective pris une autre tournure, quand les places sont limitées le projet est de remplacer la quantité par la qualité. Tant qu’à faire un enfant autant qu’il soit le plus parfait possible. Faire survivre l’imperfection devenait une option très mal vue. L’humanisme, donnant le droit de vivre à tous mêmes aux plus mal lotis, cru vivre ses dernières heures, alors que c’est précisément par humanisme : pour la survie de l’humanité que cette fameuse limitation avait été mise en place.

    La sélection naturelle repris donc son importance, et des faiblesses génétiques autrefois compensées par la médecine et qui trouvaient ainsi la possibilité de se répandre, furent de nouveau progressivement éliminées. Cette sélection naturelle joua aussi dans les comportements, puisque la prise de risque était libérée, les plus prudents ou les plus intelligents gagnaient des chances de se reproduire car eux avaient plus de chance de survie.

    La lutte contre les épidémies continua mais avec le sentiment de gène car, après tout, c’était au fond une bonne aventure car elle permettrait de nouveaux droits à naitre.

    Le suicide prit lui aussi une toute autre valeur, il devenait un acte noble de générosité pour les autres en leur permettant d’enfanter. La cause psychologique de souffrance individuelle avait perdu en importance, et finalement, le suicide étant devenu moins choquant pour les autres, cet acte diminua dans les statistiques! A quoi bon se suicider si c’est pour réjouir les autres ?

    La loi d’une espèce est contraire aux désirs individuels. Même si l’homme souhaite défendre le droit de vivre des plus faibles pour raisons humanistes, l’espèce humaine souhaite interdire le droit de naitre aux plus faibles pour des raisons toutes aussi humanitaires.

    Ce fut une période difficile. Des révoltes éclatèrent, violentes et meurtrières, mais comme au passage elles ouvraient de nouveaux droits à la vie, les populations ne s’en inquiétèrent pas trop, et même hypocritement elles s’en réjouirent d’autant plus que c’étaient dans les communautés les plus rétrogrades et intégristes qu’elles fleurissaient. Ainsi plus elles se révoltaient plus elles perdaient de leur influence.

    La population mondiale finit par être effectivement stabilisée autoritairement, et très vite il n’y eu plus besoin de la moindre autorité, car la vie repris goût : «Les hommes finirent par admettre qu’il faut risquer sa vie pour risquer de vivre » et la civilisation aidant, la reproduction devint même inférieure aux décès ce qui permis une liberté d’enfanter et un équilibre entre humanisme individuel et humanisme collectif.

    La civilisation avait enfin fait un grand pas en avant devenant adulte et responsable.

     

    Alain Persat

    16 08 17

     

  • Marine le Pen

    Un de mes amis me demande avec insistance(s) pour quelles raisons je ne soutiens plus Marine le Pen.

    Un extrait de l’un de mes billets !

    « Si elle veut éviter des résultats décevants, sinon catastrophiques, à l’élection présidentielle, Marine Le Pen serait bien inspirée de prendre en compte les clignotants qui s’allument. De revenir aux fondamentaux de ses électeurs : l’identité, l’arrêt de l’immigration, la lutte contre l’islamisation, la défense des valeurs.
    Elle devrait rééquilibrer et modifier profondément sa communication (et virer ses communicants) cette dernière est un vrai désastre…c’est ce que nous lui expliquons dans une clé USB que nous avons tenté de lui remettre mais sans succès, ainsi qu’un ouvrage qui va dans ce sens de Lucien Oulahbib.
    Nous avons reçu un meilleur accueil de la part de Marion qui a, au moins, accepté la clé USB au cours de la "réunion" de Oz ta droite ».
    J’estime pour ma part que Marine et son équipe ont perdu le contact avec sa base, qu’elle est isolée et que c’est nous qui paierons la facture......"

    Que l’on ne me parle plus de ces apprentis sorciers qui, comme les autres, se moquent du peuple de France, de ses aspirations et de ses besoins et ne sont intéressés que par leurs intérêts personnels

    Francis-claude Neri
    13 08 17

    Pour avis :Lucien Oulahbib, Jean-Pierre d'Aigremont, Eric Gautier, Patrick Escudie, Françis Fratre, Dominic Massoubre Gillet, Manon Heitz, Gérard Nozarb, Jean Luc Potier, Alain Persat, François Paganel, Paul Abysses Compe etc.