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Le systémicien - Page 284

  • Insight et transfert

    Dans mes séminaires de formation à la communication, qu’elle soit managériale, pédagogique ou thérapeutique, j’ai toujours rencontré, outre la notion de transfert (relier pour mieux comprendre), celle d’insight (en psychologie, l’insight est la découverte soudaine de la solution à un problème sans passer par une série d'essais-erreurs progressifs).

    J’essayais de détecter parmi les « apprenants » ceux qui, avant toute prise de « connaissance » avait ce désir de « théorie intégratrice », qui avaient envie d’ordonner leurs idées pour en faire une représentation cohérente qui leur ferait plaisir en agençant des connaissances qui associeraient la raison et la passion au sein de leur cerveau pour commencer, puis passer au groupe et enfin à l’espèce.

    Mais comme dit Cyrulnick « celui qui aime l’éther des pensées abstraites a du mal à s’entendre avec celui qui préfère la boue du terrain » et, la notion de régulation, de contrôle et de remédiation est loin, bien loin, d’entrer en « vulgarisation ». 

    Au contraire, ceux qui en ont compris l’intérêt gardent jalousement leur « révélation » pour ne l’utiliser qu’à leur bénéfice personnel et celui de leur caste.

    Bref devenir un praticien – c'est-à-dire qui relie le concept et la pratique et fait sans cesse l’aller-retour, n’est pas donné à tout le monde, alors j’ai renoncé à l’enseignement, j’en avais assez d’attendre l’élève idéal qui s’intéresserait à l’approche systémique pour résoudre les problèmes rencontrés au cours de son existence et dans ses relations avec les autres.

    Je suis devenu adepte de l’idée : « quand l’élève est prêt, le maître arrive ».

    Et j’attends depuis un bon moment, tout en descendant de temps en temps de mon arbre pour voir si çà évolue un peu en dessous.
    Tient çà me fait penser à François Paganel ! 

    L’insight est donc la découverte soudaine d'une solution qui ne devient apparente que par une réorganisation des éléments du problème. 

    Qui signifie en psychologie moment privilégié de prise de conscience.

    Mais je suis un mauvais psychologue. Je suis toujours victime du transfert et je me réorganise au lieu de réorganiser l’autre ! La faculté semble intransmissible: je ne puis avoir d'insight que de moi-même.

    Alors je suis allé voir du coté du marketing pensant au moins y gagner ma croûte !         

    Dans ce domaine, le terme d'insight a une définition tout à fait différente qu'en psychologie et les transferts s’effectuent au pas de charge.

    L'insight est dans ce cas l'expression d'un besoin du consommateur donc, d'une "demande" dont l'entreprise ou le marché choisira ou non de se saisir.

    J’ai tenu un certain temps, je supportais l’idée de « répondre à un besoin » mais « ils » ont commencé à me demander de « créer » le besoin, n’importe quel besoin et d’y répondre par n’importe quel moyen.
    Vendre une maison par exemple à un couple endetté tout en sachant qu’il ne pourra jamais la payer et que la banque pourra la revendre aussitôt qu’elle l’aura saisie.
    La crise des « subprimes » vous connaissez non ?

    Mais moi, j’avais rompu depuis longtemps avec ces pratiques. Je n’étais plus Directeur Marketing ou Gérant d’une importante société, j’étais retraité et je militais avec force depuis les années 80 pour faire partager l’idée que le Système étant ce qu’il était il était vain de vouloir le changer, c'est-à-dire de faire simplement un peu plus de la même chose.

    Un peu plus d’Europe, un peu plus de mondialisation, un peu plus de multiculturalisme, un peu plus d’immigration, un peu plus de marchandisation du monde.

    J’ai compris que nous n’en sortirions que par le haut, c'est-à-dire par la régulation, le contrôle et la remédiation en permanence et sur les grands axes qui régissent notre devenir individuel, de groupe et de l’espèce :        

    • L’économie et la finance
    • L’exploitation et l’utilisation des matières premières
    • L’exploitation des terres agricoles et des océans
    • La démographie
    • L’instruction, l’éducation, la socialisation des peuples 

    Nous sommes un petit groupe à penser qu’en France, le Front National de Marine Le PEN peut porter ce projet.
    Il est le seul capable de remettre en cause la mondialisation libérale et consumériste, le seul à rapprocher écologie et remédiation du système d’exploitation de la planète, le seul à vouloir mettre fin à un multiculturalisme inconscient destructeur de notre mémoire, de notre identité, le seul à vouloir une Europe des peuples et non pas une Europe des marchands.

    Bien entendu Marine Le PEN n’exprime pas (pas encore) ces concepts sur le plan global, ce serait utopique que de vouloir inciter l’Allemagne, Angleterre ou les USA à mettre un bémol à leur hégémonie qui nous détruira à moyen terme. 

    Et ce n’est ni l’UMP, ni le PS, ni Europe Ecologie les Verts qui nous y aideront. Ils ont tous les trois, intérêt à maintenir leurs pratiques en bon état de marche.
    Et les autres souverainistes n’ont aucun moyen actuels d’accéder au pouvoir pour mettre en pratique leurs idées, aussi « bonnes » soient elles.

    Nous devons donc penser – fortement – et en terme d’influence sur le PROJET du F.N. et être aussi nombreux que possible pour exercer cette influence.
    Nous sommes quelques uns à vous y inviter et je me fais leur porte-parole. Vous pouvez nous rejoindre sur ma page face-de-bouc, sur le groupe « des systémiciens pour la liberté » ou sur mon blog : « Le systémicien ».

    Notre intention est de développer une communication sécurisée qui permette de développer le concept et de le mettre en pratique sur le terrain.

    A bientôt !

    Francis NERI

    01 04 15       

     

  • Départementales et ancrage

    Soyons concrets ET objectifs.

    Avec des troupes disparates, inexpérimentés, avec certains et certaines opportunistes qui viennent au FN uniquement pour se faire une place, ou ramasser un peu d’oseille, le succés EST immense.
    Alors on reste cohérent et on pense à concrétiser sur le terrain où il faudra s'organiser pour bétonner l'avenir avec des gens plus "solides" dans certaines régions ! Par exemple en Alsace le FN fait un carton ...sauf à Strasbourg et c'est ce qui pose QUESTIONS !
    Par endroit c'est simplement des questions de personnes parachutées ou pas, qui veulent ou pas labourer un terrain et l’ensemencer, travailler sur la durée !

    Tirons rapidement les leçons de ce scrutin.

    Le Front National progresse, nous y adhérons et Marine Le PEN correspond au portait que nous nous faisons du futur Président de la France. Compétence, énergie, valeurs… et nous sommes  d’accord pour que nous lui en accordions le statut.

    Mais nous ne sommes pas des « groupies » et nous nous battons avant tout pour un projet. Celui de Marine nous convient et nous y  adhérons, mais un projet il faut le porter à plusieurs.

    Encore une fois je le dis Marine ne peut tout. Et nous ne gagnerons pas uniquement sur son image. NOUS avons un gros travail pour structurer, organiser, animer, former, dans nos villes, nos départements, nos régions.
    Dans le cas contraire si NOUS ne nous prenons pas en main et ne nous donnons pas, localement, des moyens, matériels et humains nous risquons l’échec en 17 !
     
    L’organisation c'est 50 % du travail de fait et l'animation c'est un ensemble d'objectifs et de moyens.
    Je crois aussi que « face de bouc » ou autres réseaux sociaux peuvent nous y aider car je constate que certains problèmes se retrouvent dans pas mal d'endroits.
     

    Il faut peut-être se demander COMMENT améliorer et sécuriser la communication entre nous.

    Francis NERI

    30 03 15

  • VOL AU-DESSUS D’UN NID DE COCUS

    Heureusement que tous les bobos, les indignés et autres bienpensants de l’Espagne à l’Allemagne en traversant la France, ont oublié de faire les affichettes : « JE SUIS A 320 ».

    Nous avons connu des cas extrêmes où la classe (pas si classe que ça) politique a su se montrer digne.

    Mais là, malgré l’horreur du crash de l’A320, les politiques français au plus haut niveau de l’État ont vite fait le choix du mensonge et de l’entourloupe.  Ils veulent bien être les cocus de l’Europe mais pas être faits cocus par les Français, surtout que le peuple leur a déjà démontré, dimanche dernier, qu’ils entendent bien les foutre à la rue !

    Les décisions sont vite prises par nos dirigeants, Hollande en tête. Nous les appellerons « on »

    Dans un premier temps, on lance un appel de détresse aux pays voisins impliqués : 

    « Mayday mayday mayday! En France, nous sommes dans l’entre-deux tours, amis Allemands et Espagnols, fermez vos gueules, sinon le peuple pourrait remporter cette victoire et ba-bye votre Europe et son euro. Fini, aussi, pour vous, parce que vous n’êtes pas mieux lotis que nous. Et la soupe populaire nous guette. Le peuple sonne la Révolution.»

    Alors, a commencé la longue liste des hoax qu’ils nous ont distillés tout au long de cette longue, trop longue, semaine. On a bouffé du A320, non-stop, jusqu’à l’intoxication,sans jamais avoir la même version.

    Dès mardi, on apprend :

    1/ Le décrochage : une dépressurisation soudaine dans l’appareil et un appel de détresse du pilote.

    Cette éventualité est vite contredite par les experts en aviation interrogés. Impossible. Le pilote aurait effectué un virage à 90° à droite ou à gauche pour ne pas occasionner d’accident à d’autres appareils sur zone.

    De plus, les débris de l’appareil sont éparpillés sur environ quatre hectares, il ne s’agit pas d’une explosion en vol.

    2/ Le site est inaccessible : Le personnel de secours ne pourra pas se rendre facilement sur le site. Il faudra plusieurs semaines avant de trouver les fameuses boîtes noires qui nous expliqueront tout.

    3/ La coalition : Armée – Gendarmerie – Pompiers avouent, en fin de soirée, que des hommes ont été, déjà, hélitreuillés et qu’ils le resteront pour sécuriser la zone. Des fois que des voleurs…

    4/ Le procureur de Marseille, interrogé par les media, confirme qu’il est saisi de l’affaire, que toute la lumière sera faite. Il est très disert, il s’exprime en magistrat sûr de lui, sans aucune hésitation. La Justice a parlé fermement !

    5/ Les premières images : Pas de point d’impact sur la montagne. On se serait attendu à voir un énorme cratère, vu la vitesse à laquelle il l’aurait percutée, évaluée à 800 km/h environ.

    Pas de carlingue calcinée, non plus. L’avion n’aurait pas pris feu ?

    Désintégré, c’est le mot qui revient. Mais désintégré par quoi ? Par le choc ?

    Ou, peut-être, par une explosion, au dernier moment, juste avant l’impact ? Cela expliquerait plus logiquement les menus morceaux qui recouvraient les quelque 400 hectares estimés de la zone du crash.

    6/ Une première boite noire est retrouvée !

    7/ Le patron du BEA : fait le canard. Il nous faudra des semaines pour interroger la boîte. A l’heure où je vous parle, nous n’en savons pas plus.

    8/ Première fuite. Ne riez pas, elle nous vient d’outre atlantique, dévoilée par le New-York Times. Ils ont déjà tout entendu de ce qui s’est passé à l’intérieur du cockpit. Conversation entre les deux pilotes. C’est le commandant de bord qui est sorti, le copilote commet  l’action que l’on connait. Mais tout cela, ils l’ont appris avant que le patron du BEA ne vienne mentir en direct, sur nos antennes.

    Pour ces raisons, le syndicat des pilotes de ligne veut porter plainte pour violation du secret de l’instruction.

    9/ Re-procureur : Là, le proc’ est prié d’informer. À lui, le sale boulot. Il s’exprime lors d’une conférence de presse mais, outre qu’il nous donne trop de détails, avez-vous observé son comportement ? Il n’est plus le magistrat de la veille, sûr de son fait, un rien arrogant. Au contraire, il ne cesse de passer sa main sur son visage, son crâne. Il éprouve le besoin de répéter deux fois les phrases comme s’il faisait une dictée aux journalistes. Il ne connait pas son texte par cœur, il lit… ce qu’on lui a demandé de dire. Et répond par la négative à pratiquement toutes les questions des journalistes. Entre autres, il ne sait même pas quel est le pilote qui est resté seul dans la cabine. Il n’en sait pas plus. Même pas le nom des pilotes. Alors que, quelques instants plus tard, toujours en conférence, il donnera, aux journalistes, les nom et prénom du copilote, qu’il ne connaissait pas (!)  puisque c’est lui qui est resté, seul, dans la cabine de pilotage. Ca fait désordre, n’est-ce pas ?

    Si, autour de toute cette mascarade, nous n’avons pas compris qu’on nous cache l’essentiel, c’est que nous sommes des demeurés.

    D’abord, et surtout, quand ils nous annoncent qu’un Mirage 2000 a décollé de la base d’Istres dans les secondes qui ont suivi la perte radar de l’appareil. Procédure normale ? En tout cas, nous ne connaissons pas de précédent.

    10/ Haro sur le copilote : Il était en grande dépression.Ah !

    Sur les photos qui sont publiés, on voit, pourtant, un beau jeune homme sportif et en compétition ou souriant à l’objectif. Ce n’est pas l’apparence que l’on a quand on est hyper dépressif ? Ils interrogent ses connaissances qui le décrivent comme quelqu’un d’affable, tranquille, très convivial.

    Merde, alors ! Ça peut pas coller, tout ça.

    Alors, on nous dégotte une ancienne compagne avec laquelle il aurait volé pendant 6 mois et qui le raconte très angoissé, qui criait très fort contre elle, parfois. Mais… en fin d’article, elle reconnait qu’il était doux et attentionné avec elle.

    Bizarre. Vous avez dit Bizarre… Comme c’est bizarre ! 

    Aurions-nous eu affaire à un docteur Jekill et mister Hyde ?

    Quant à la Lufthansa, elle est sacrément dans la mouise. Qu’est devenu son pilote, en formation dans les Amériques, pendant les six mois où il s’est fait porter pâle, ne reprenant son stage que bien plus tard ? Il faisait une formation particulière avec les adeptes du Oussama, peut-être ? Mouais ! Que de zones d’ombres pour un copilote banal, à qui on confie quelques centaines de vies humaines !

    Et si on lui avait imposé la thèse de la « dépression » ?

    Ça expliquerait pourquoi elle s’est empressée de dire qu’elle n’était pas responsable, dans ce cas-là, que, donc,  la faute revenait à l’organisme chargé de vérifier les bonnes conditions physiques et psychiques de leurs employés.

    Néanmoins, nous apprenions, ces derniers jours, d’une autre source, que tous les voyageurs, personnels de bord et la Lufthansa seront indemnisés.

     Ca va faire un paquet de pognon, tout ça. Qui va payer ? Les assureurs, si c’est vrai ou l’Europe, si on nous ment ? Ils ne nous l’ont pas spécifié.

    Toujours est-il que ce crash est entouré de bien de mystères. Comme pour celui d’Air Algérie au Mali, ou celui, encore de la Malaisia Air Lines.

    Dormez tranquilles, braves gens, les ennemis de l’Occident ont de beaux jours devant eux. Ils pourront vous tuer impunément puisqu’ils sont couverts par le secret d’État.

    Aux familles des malheureux voyageurs de l’A320 et au personnel sain d’esprit qui ont perdu la vie, nous présentons nos sincères condoléances. 

    Quant au copilote terroriste ou allumé, qu’il brûle en enfer !

    Nobeline