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Démocratie - Page 14

  • La trouille

    Ils ont la trouille, TOUS ! Mr Macron, son gouvernement, son assemblée, les partis politiques et leurs appareils, les « Zélites » politico-médiatiques, les syndicats, les associations droits de l’hômmiste …et ils ont raison d’avoir peur, çà ne peut que mal se terminer pour eux.
    Et ceux qui, comme Mr Mélenchon, veulent récupérer le mouvement en criant « référendum » ont encore plus peur que les autres…

    Il est trop tard pour improviser un référendum, surtout d’initiative populaire. Ni quoi que ce soit d’autre d’ailleurs.
    La seule sortie possible, et néanmoins provisoire, pour toute cette clique, Mr Le Président compris, c’est de dissoudre l’assemblée nationale, d’en élire une nouvelle et de se contenter d’une cohabitation pour tenir jusqu’à l’échéance de 2022…

    Bien entendu çà n’arrange pas la gauche qui prendrait la nouvelle claque de sa vie. Quand aux droites, encore faut il qu’elles  puissent se mettre d’accord sur un projet et programme un  commun et çà depuis Chirac nous savons que c’est difficile a la « plus bête du monde »…

    Et si nous les obligions à s’unir ?
    Faudrait peut être y penser !

    « Quand Macron et nos élites autoproclamées seront décidées à jouer cartes sur table, à débattre des méfaits de la mondialisation et du coût démentiel de l’immigration, peut-être y aura-t-il une porte de sortie (la dissolution de l’Assemblée nationale) pour ce mouvement qui pourrait très mal finir, si Macron persiste à mentir et à mépriser le peuple français. »
    Riposte LaÏque

    J’ai noté effectivement que depuis le début nous ne sommes pas les seuls à vouloir élargir le débat et les revendications à d’autres problématiques.
    Nous savons bien que tout est lié et que quelle que soit « l’entrée » choisie il nous faudra répondre par une approche globale.
    Sur RL comme pour nous, c’est le cas, mais bien entendu nous sommes des « fachos », des « racistes »  et des « mal pensants » et l’on songe sérieusement à NOUS éradiquer ….et pour commencer nous priver de notre droit élémentaire d’expression.

    Il ne faut pas s’étonner si nous sommes devant, derrière et à coté des Gilets Jaunes.   

    http://semanticien.blogspirit.com/

    Francis-claude Neri

    07 12 18

     

  • La boucle est bouclée.

    De Pompidou à Macron, de Rothschild à Rothschild. Entre les deux, trois générations de présidences décadentes et asservies à l’oligarchie financière.

    De 1969 (élection de Pompidou) à 2018, 49 ans de dégringolade… Tout se passe comme si on ne voulait pas attendre le cinquantième anniversaire de cette descente aux enfers et de souffrances accumulées.

    Le Français a tout supporté : de la privatisation de la dette publique, en 1973, jusqu’à celle, progressive, des autoroutes (1,5 milliard par an de dividendes pour les actionnaires), le traité de Maastricht, l’immigration massive, les attentats islamistes. À Nice, des émirs saoudiens ou qataris regardaient peut-être le carnage du balcon de leurs palaces achetés à coups de pétro-dollars.

    En s’attaquant, le 24, à l’ambassade du Qatar et en libérant le péage des autoroutes, le génie symbolique des gilets jaunes devrait sauter aux yeux de la caste politico-médiatique qui ne veut rien comprendre. À ce titre, les deux lettres récentes de Michéa et d’Onfray sur les gilets jaunes sont exemplaires.

    L’erreur serait de croire que la révolution en cours s’oppose à un ordre établi, comme en 1789 ou en mai 68. C’est tout le contraire. Les Français en gilets jaune s’insurgent contre un désordre établi.

    La chienlit n’est pas dans la rue mais à l’Élysée et à Bruxelles.

    Alors, Paris brûle-t-il ? Il est symptomatique qu’au moment où la révolte a éclaté, Macron était auprès d’Angela Merkel. L’histoire retiendra que von Choltitz, en refusant d’obéir à Hitler qui voulait faire de Paris une terre brûlée, avait peut-être plus d’attachement aux valeurs culturelles de la France que notre employé de banque mondialiste forcené.

    L’heure du grand aggiornamento a peut-être sonné. Au fond de lui-même (tout au fond), le Français a bien le sentiment qu’on veut le forcer à tout abdiquer, et surtout sa créativité.

    Sous la pression conjointe du matérialisme mercantile de droite et du libéralisme libertaire de gauche, la bête immonde veut tout détruire : les paysages, la culture, tous les arts (plastiques, culinaires et poétiques), la famille, l’homme, la femme, l’enfant, tout. Son appétit destructeur est insatiable.

    Il y a des signes qui ne trompent pas : le soir du 24 novembre, Daniel Guichard faisait salle pleine à l’Olympia. Sa chanson la plus chantée est « Mon vieux ». Avec les gilets jaunes, c’est mon vieux qui ne veut pas mourir.

    Macron n’a rien incarné. Les Français se rendent bien compte qu’ils ont voté pour une pure image sans arrière-fond, un technocrate en culotte courte qui est en permanence à la surface de lui-même.

    Mais ils devront être cohérents. Il ne suffit pas de demander du pouvoir d’achat. Il faut arracher le mal à sa racine.

    Les Italiens montrent l’exemple. Est-ce que les Français vont suivre ? L’avenir est aux jeunes qui veulent à cor et à cri l’unité contre le clivage gauche/droite, comme l’excellente Tatiana Ventôse, qui fait un tabac sur YouTube.

    Au bout du compte, que nous disent les gilets jaunes ? Que Dieu n’est plus heureux en France.

    Vox populi, vox Dei.

    Sur Bd Voltaire

    Étant interdit de Facebook je prie mes ami(es) de partager ...merci !

  • Hyperconsommation ?

    Dans une large mesure l'Occident ressemble au fils prodigue pour ne pas dire à la vierge folle :

    "nous sommes riches, quittons le Père, faisons bonne chair, écartons de nous toutes contraintes".

    Et coté Église c'est encore pire parce que tout comme les vierges folles on va chercher dans le monde la lumière qui nous manque, nous condamnant inéluctablement à la porte close. . Pire encore : certains après être tombés se relèvent, mais glacés, dans la superbe des anges de lumière, pour semer la mort à leur tour.

    Bref on crie de joie dans la nuit glacée.

    Ça ne peut être qu'une étape de tristesse et de dépression pour les fils de la lumière ; mais étape seulement de prise de conscience :

    "Vous pleurerez et ils seront dans la joie, mais ce jour-là sachez que votre délivrance est proche".

    Inéluctablement notre monde moderne tout comme cette faction d’Église mauvaise va tomber dans la dépression ; dépression économique, morale et psychologique. Et si l'homme d'iniquité survient alors pour la doper....duper....un instant, ce sera pour une plus grande dépression encore. Car sans le Christ il n'y a rien ; c'est la loi de la création.

    Notre temps fait bien penser à la pièce de Ionesco : Rhinocéros où le dernier à refuser de l'être est pris de doute et de dépression.
    Là en ce moment la petite voix du diable nous souffle : " Tu as tort, tu as tort, vois comment ceux qui ont cédé aux « bisounours » et au politiquement(s) correct (s) sont mille fois mieux que toi et mille fois plus spirituels". Mais non! Mon œil ! La ficelle est un peu grosse.

    Notre Évangélisation ? Soyons dans la joie, soyons dans le bonheur, soyons bien dans nos pompes. Et c'est le pire témoignage que nous rendrons à cette culture de mort et de tristesse.

    https://www.youtube.com/watch?v=SIb4-X8FJnA


    Philippe Coutel

    Bonjour,

    Il s’agit comme le dit notre ami Philippe de "la nécessaire décroissance de l'hyperconsommation" et il convient au delà des concepts d'éthique ou de morale de se placer sur un plan technique; peu importe la finalité en amont, qu'elle soit religieuse ou pas
    La réponse à mon sens c'est plus de remédiation, de régulation et de contrôle.

    Nous avons bien vu avec la crise des subprimes, et il faut en tirer leçon :  que l'auto régulation çà ne marche pas et çà ne marchera probablement jamais.

    Alors :

     
    -Réguler et contrôler les naissances
    -Réguler et contrôler l'économie et la finance
    -Réguler et contrôler la production militaro-industrielle
    -Réguler et contrôler l'immigration

    Etc.

    Bien sur il faut savoir et pouvoir réguler, contrôler et remédier aux trois niveaux :

    Celui de l'individu
    Celui du groupe
    Celui de l'espèce

    Et bien entendu çà ne peut fonctionner avec le système démocratique et constitutionnel actuel ...
    Nous savons donc ce qu'il nous reste à faire...enfin nous devrions :-)

    Francis-claude Neri

    Philippe Coutel Je suis bien sûr d'accord. La foi sans la raison n'est pas possible, ni la raison sans la foi. Les deux s'interpellent.

    Francis-claude Neri Philippe Coutel Et se complètent :-)

    Francis-claude Neri Philippe Coutel

    19 11 18