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Horizon 2025 - Page 22

  • Le changement

    Les réformes économiques permettant de redresser la France donnent lieu à un malentendu.

    Des hommes de bonne volonté pensent que nos élites politiques sont égarées, qu'elles ne savent pas ce qu'il faut faire, et proposent des mesures permettant de se remettre sur une bonne trajectoire. Ils pensent de bonne foi que la question est de leur ouvrir les yeux.

    Or je pense que le problème n'est pas du tout là. Si je critique souvent de façon lapidaire nos élites, je ne les sous-estime pas.

    La haute fonction publique française est constituée de personnes fort intelligentes, qui savent parfaitement ce qu'il faut faire et l'ont compris depuis longtemps.

    En résumé, trois axes d'action sont nécessaires : 1. Une réduction des dépenses publiques et du millefeuille réglementaire. 2. Une reprise de souveraineté sur les secteurs stratégiques, particulièrement lorsqu'ils utilisent des hautes technologies. 3. Une reprise de souveraineté monétaire.

    Mais nous sommes dans une situation bien connue des écoles de management : tout le monde sait pertinemment ce qu'il faut faire, pourtant personne ne le fait.

    Pourquoi ? Parce que celui qui engagerait l'action aurait trop à y perdre personnellement en termes de risques pris et de privilèges personnels.

    Les mesures à mener ne demandent pas une si grande intelligence mais beaucoup de courage. Celui de se confronter à la caste de ses pairs hauts fonctionnaires et d'entamer une nouvelle lutte contre les privilèges. Trop de forteresses, de baronnies, de noyaux durs seraient à briser. Il faut également le courage de heurter de front l'union européenne.

    Nos élites ne manquent pas de capacité de réflexion, mais leur cynisme surpasse très nettement leur intelligence.

    Le problème n'est donc pas de savoir quoi faire, mais de savoir comment changer profondément les hommes et leur mode de fonctionnement pour mettre en œuvre des actions que tout le monde reconnaît comme nécessaires depuis longtemps, mais à titre privé.

    Marc Rameaux

    A mon avis vouloir changer les hommes prendrait trop de temps ...2 ou trois mille ans n'y suffirai pas !

    La réponse est d'ordre cybernétique si j'ose ! Ce ne sont pas les hommes qu'il faut changer Il faut introduire plus de régulation, plus de contrôles, plus de remédiations au sein des "systèmes". Il faut arrêter de pérenniser les tâches, les fonctions afin d'assurer l’efficacité de l'action.

    Réaliser un programme d'action n'exige pas la spécification détaillée des agents d'exécution

    Une fonction peut être assurée par n'importe quel agent et l'action s'organiser à partir de valeurs simplement objectives et ce pour au moins 90 % des tâches

    N'est ce pas ainsi que fonctionne un organisme humain et ...une usine robotisée ?

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/

    20 08 20

  • Le multiculturalisme

    " Le multiculturalisme porte en lui la volonté intrinsèque d'une apartheid culturelle, voir même d'une société racialisée à outrance, au nom de la tolérance des cultures, et c'est en cela qu'un projet qui sublime l'islamisme, est une déclaration de guerre à ce qui fait l'essence de notre nation qui ne reconnaît qu'une seule communauté."

    David Duquesne

    La tolérance des cultures, c'est bien de cela qu'il s'agit !

    Les rêves d'un monde meilleur que l'on fait dans sa jeunesse s’accomplissent rarement !  Ceux de l'éducation, de la socialisation, de l’assimilation étaient les miens dans les années 80. Ils ont définitivement sombré avec l'arrivée de François Mittérand.

    Je suis un penseur de la continuité, mais lorsque le territoire,  l'identité, les valeurs (nos valeurs) sont menacés, la continuité de ce qui fait la France n'est plus possible. L’État, la police, l'armée, les institutions démontrent chaque jour leur impuissance et souvent leur collusion avec les forces qui nous détruisent peu a peu. 

    Dans la nasse, il ne reste que nous et, en face, la loi et ses gardiens qui demeurent ! Il va nous falloir bien du courage et de l'énergie pour faire face à ce formidable défi qui nous est adressé.

    En aurons nous la force , la volonté ?

    Le temps des paroles est passé, l'heure de l'agir est venu, et il n'y aura pas de "réponse" politique. Le peuple de France en a prit conscience, mais de là à passer aux actes nous en sommes loin. 

    Nous avons identifié l'ennemi, il est interne et autour de nous. Il doit être combattu en priorité, localement et nationalement, sans plus tarder.

    Il ne reste plus qu'à trouver des chefs courageux et lucides au peuple
    Ce ne devrait plus être difficile !

    14 08 20

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Trump vainqueur à nouveau

    "Le discours de Trump a duré deux heures et a été une fois de plus une performance extraordinaire. Il n’existe pas aujourd’hui dans le monde occidental un orateur de la trempe de Trump.

    Il a une puissance sans égale. Il sait alterner le comique féroce avec les propos sérieux et émouvants. Il ne pratique pas la langue de bois et parle de manière directe et tranchée, ce qui déplait aux adeptes de la langue de bois.

    Il est redoutable d’être son adversaire. On comprend en le regardant et en l’écoutant parler pourquoi il a gagné en 2016 (il était le seul à pouvoir battre Hillary Clinton, je le redis), et pourquoi, sauf cataclysme majeur ou tricherie, il gagnera encore cette année.

    Il a énoncé le bilan de ses trois années et demi à la Maison Blanche et c’est un bilan remarquable sur tous les plans, y compris pendant la période du coronavirus (ceux qui ne comprennent rien aux Etats-Unis oublient volontiers que le Président peut superviser, mais pas agir au sein des 50 Etats où l’action relève des décisions du gouverneur).

    J’ai traité de nombreuses fois de ce bilan, et je n’y reviendrai pas ici. Il a souligné ce qui lui restait à faire. Il a parlé de la situation actuelle aux Etats-Unis et a dénoncé le comportement des maires gauchistes des plus grandes villes américaines, qui ont laissé saccager leurs propres villes et détruire des statues sur un mode totalitaire. Il a dénoncé le Parti Démocrate, qui se fait complice de saccages et de destructions. Il a rappelé que les vingt villes américaines où les chiffres du crime et de la pauvreté sont les plus élevés sont toutes des villes démocrates. Il a souligné qu’il ne pouvait intervenir dans les villes touchées par les émeutes, car le Président n’a pas le pouvoir de le faire, sauf s’il décide d’envoyer l’armée. Il a attaqué le programme démocrate et dit, a juste titre qu’il serait ruineux pour les Etats-Unis.

    Il a souligné le rôle que des gauchistes tels Alexandria Ocasio Cortez et des islamistes comme Ilhan Omar jouent dans la campagne de Joe Biden, et il a dit non seulement que Joe Biden était très diminué mentalement (ce que les journalistes de gauche ne pourront cacher indéfiniment), mais qu’il était très corrompu, et qu’il avait un passé raciste très lourd, affirmations qu’il a détaillées et qui sont tout à fait exactes. Il a expliqué ses positions vis -à-vis de la Chine, de l’Iran, de l’Union Européenne, de l’Allemagne, de manière précise et magistrale. Son discours était imprégné de force, de fraternité, et d’un amour visible de l’Amérique et du peuple américain. Il y avait beaucoup de noirs dans la salle, tous très enthousiastes, et j’ai voulu y voir un signe. Si les Démocrates perdent l’électorat noir, ils courent au désastre. Je pense que c’est pour cela qu’ils ont actionné Black lives Matter et suscité les émeutes."

    https://www.dreuz.info/2020/06/22/trump-repart-en-campagne-pour-sauver-lamerique/?fbclid=IwAR0JZ2pLR3MOLycBr3vMMZDf3AgvfIeVrayAQxosj63UEsmJ9wTDk2MVYFk

    Claude Rostagnat
    25 06 20
    http://semanticien.blogspirit.com/
    Francis-claude Neri