Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Identité mémoire culture - Page 41

  • La triplice : nazisme, communisme, islamisme

    Le regretté écrivain philosophe Jean-François Revel faisant le premier en France à mon humble connaissance le lien entre nazisme, communisme, islamisme l'avait prophétisé : les idéologies totalitaires s'avancent toujours masquées en se faisant passer pour des victimes, mais exigent le moment venu quand le rapport de force leur est favorable que les gogos se plient à toutes leurs vues.

    Lorsqu'on se demande par conséquent si devenu majoritaire dans certaines parties du territoire français, l'islam (politique ou pas) respecterait la laïcité, et surtout les libertés, pour ses soutiens et ses idiots utiles, il ne s'agit pas de les respecter mais bien de les établir à l'aune de leur idéologie globalisatrice mortifère pour mieux les détruire.

    Tous ceux qui dénoncent cette marche vers le totalitarisme islamique sont priés de quitter leur pays, n'étant plus chez eux, logique folle imparable !
    Mauvais présage pour la France qui prend tout droit le chemin tragique des pays où des hommes et des femmes de bonne volonté sur tous les continents avaient fait le pari d'un islam progressiste, tolérant, respectueux.

    Francis Ponsonnaille

    21 10 19

    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/


  • La possibilité d'un voile

    On bataille âprement, entre adultes, de la question du port du voile, ou pas, dans les sorties scolaires. La FCPE, Blanquer et Taché jouent dans la cacophonie sur ce sujet. Mais pourquoi donc, du point de vue d'un enfant, faudrait-il interdire le voile aux mamans qui encadrent les sorties scolaires ?
    Parce que les petites filles, comme les petits garçons, fonctionnent sur le principe des modèles identificatoires. Ce qui signifie qu'en voyant un adulte, un enfant se dit qu'il peut peut-être devenir comme lui. Et en voyant une femme voilée, une petite fille se dira que cet accoutrement est pour elle une possibilité future, un destin futur, une obligation future... que peut-il se passer dans la tête d'un enfant ?
    La petite fille musulmane va intégrer ce voile comme une possibilité d'avenir pour elle, mais aussi la petite fille non musulmane. Et le petit garçon musulman va se dire qu'il pourra lui aussi, quand il sera grand, voiler sa femme. Mais le petit garçon non musulman se le dira aussi.
    En résumé, il n'y a pas meilleur moyen pour les musulmans de faire intégrer dès le plus jeune âge, à toute la population et pas seulement musulmane, que la femme a un statut qui permet qu'on lui impose une tenue vestimentaire.
    On pourra toujours rétorquer que tous les enfants voient déjà des femmes voilées dans la rue ou à la télévision. Ce n'est pas du tout la même chose. Les premières sont croisées dans l'espace public, sans aucune interaction et si l'enfant pose une question, un adulte peut toujours lui répondre qu'il ne cautionne pas ce genre de tenue vestimentaire dans notre pays et expliquer pourquoi.
    Les secondes sont des personnages de fiction, sur un écran et soit l'enfant voit cette tenue sans en saisir le sens, s'il est seul, ou alors un adulte explique, comme dans le premier cas.
    Pour les sorties scolaires, ces mamans voilées seront cautionnées par les maîtres, en qui les enfants ont assez naturellement confiance et seront donc en mission « autorisée » auprès des enfants. Et ce sont elles-mêmes qui vont expliquer, si l'enfant questionne, pourquoi elles portent cette tenue et donc la faire accepter, à la fois comme marque de leur religion, mais aussi comme choix possible pour une future vie d'adulte, voire comme un art de vivre merveilleux.
    Ce qui s'appelle clairement du prosélytisme, auprès d'enfants très jeunes et donc extrêmement influençables. Les musulmans radicaux ont donc non seulement intérêt à ce que ce voile soit accepté lors des sorties scolaires, mais également tout intérêt à le proposer sous couvert de pudeur et de choix personnel des femmes. Sans compter que cet acquis en appellera rapidement un autre, jusqu'à ce que l'accoutrement s'impose à tous et toutes. Les intéressées voilées, avec l'aide d'idiots utiles associatifs, pratiquent la tromperie aggravée...

    Pierre Duriot

    15 10 19

  • Les guerres religieuses

    L’étude des facteurs économiques et sociaux sont à l’arrière fond de presque tous les conflits religieux.
    Au début des années 1560 la poussée protestante s’accompagne d’une vague de refus des dîmes qui dépasse largement les adeptes de la nouvelle religion et qui prennent les armes pour la cause protestante.
    Sans prétendre identifier affrontements religieux et lutte des classes, il va de soi que les rapports sociaux ont pesé à tous les stades des conflits allumés sous des bannières religieuses.
    Bien entendu, la religion à partout introduit une passion qu’on n’eût pas trouvée si les enjeux eussent été seulement politiques.

    De nos jours, quels que soient les facteurs économiques, sociaux, démographiques, racistes, ethniques etc.,  ce sont bien des « guerriers de Dieu » qui s’affrontent aux frontières de l’Europe et en son sein.

    L’Islam est le grand adversaire depuis des siècles. A l’ouest il a été refoulé d’Espagne par la Reconquista qui s’achève en 1492, avec la prise de Grenade ; mais la Méditerranée occidentale est infectée de pirates musulmans basés sur les côtes du Maghreb, qui ne cessent de faire des incursions sur les rivages de l’Europe pour y prélever des esclaves et du butin.
    A l’est, la Chrétienté subit les assauts du Turc ottoman. Après la chute de Constantinople en 1453, la poussée est double : en Méditerranée, où les Turcs s’emparent de Rhodes en 1522, obligeant les chevaliers de Saint Jean de Jérusalem à se replier sur Malte ; et sur le Danube, où Belgrade tombe en 1521, après quoi la défaite de Mohács, en 1526 entraine la chute de presque toute la Hongrie ; en 1529 les Turcs seront devant Vienne.

    Les juifs, depuis des siècles présents parmi les chrétiens sont considérés comme « ennemis » car héritiers de ceux qui ont mis à mort le Christ. Ils sont l’objet d’une violente hostilité populaire attisée par des prédicateurs, aussi bien du coté chrétien que Musulman.

    Rien de changé de nos jours ? Il faut croire que non, l’actualité le prouve quotidiennement en Irak, Syrie, Afghanistan Lybie etc., sans oublier l’Europe avec ses Balkans, ses cités communautarisées et islamisées.

    A nouveau, le religieux s’imbrique avec d’autres facteurs nationaux, linguistiques, économiques, démographiques pour produire ensemble une idéologie et une pensée politique de combat.
    Aucune civilisation, aucun courant de pensée ne peut être épargné par des dérives religieuses de ce type, cela conduit toujours à l’intolérance et au fanatisme.

    Je dis ici mon pessimisme…On tue si facilement au nom de Dieu !

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

    12 10 19