Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

penser global

  • Agir local !

     
    La période de tension politique que nous vivons donne lieu à des débats d’opinion mais finalement assez peu à des remises en cause du fonctionnement de nos institutions.

    Pourtant, la décentralisation dans le cadre d'une organisation fractale ( identique à tous les niveaux d'organisation) et la subsidiarité pourraient constituer de véritables ruptures dans la vie des Français et de notre pays.

    Il serait temps d' y penser sérieusement ! Il n'y a pas d'autre réponse possible : à partir du "local" nous devons absolument retrouver notre liberté de choix et d'action en matière politique, économique et sociale ...pour commencer !

    En appliquant une réelle décentralisation avec une capacité d’action au niveau municipal  et départemental, l’inertie peut être brisée. Pour cela, il convient de redonner les moyens d’actions tant légaux que financiers aux élus.

    C’est là que le bât blesse : on peine à imaginer un pouvoir central fort consentir à perdre de sa puissance aux profits d’autorités locales
    , d'autant plus que ce pouvoir est également prisonnier de décisions prises à Bruxelles.

    Faudra t'il passer et l'imposer en force ?
     
    FCN

  • Une vision globale

    La "vision globale" est un terme utilisé en géopolitique et en stratégie pour désigner un «plan», une prospective.

    Son ambition est de dépasser les compartimentages nationaux (entre autres) et de rechercher les connexions, les interactions ou les bifurcations à différentes échelles, pour ainsi réaliser une approche « totale » des problématiques sans pour autant tomber dans l’universel ou le schématisme (le local ou le global).

    Pour ma part je considère qu’une vision globale va avec une approche systémique des problématiques

    D’où le concept d’agir local tout en pensant global cher à Hervé Morin.


    Par exemple, essayons de « penser global » mais « d’agir local » sur la religion ET le projet islamo-politique et peut être, ensuite, ne mettrons nous plus toutes les religions dans le même panier de crabes.

    Considérons, également, la « problématique islamiste » comme une « entrée » sur les autres problématiques car elles sont « reliées », ce qui interpelle la cohérence (occidentale) "globale"

    Les 7 problématiques :

    1) Gestion des ressources, décroissance
    2) Absence de régulation, de contrôle et de remédiation

    3) Surpopulation
    4) Immigration
    5) Islamisation
    6) Union européenne
    7) Mondialisation, globalisation

    17 12 20

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/  

     

  • Agir local penser global (total)

    Un ami asiatique nous dit :

    « Le civisme chez nous va au-delà d’un simple respect de la loi, il comprend un respect de la collectivité, d’un ordre social, supposant une connaissance des droits et devoirs de chacun. 

    Les sociétés réticulaires, venues d’Asie redonnent vie aux notions de lien local, de connexion de proximité immédiate, de lien de voisinage.

    La très grande force des sociétés réticulaires est de reproduire l’organisation des réseaux neuronaux rencontrés en sciences cognitives.

    Les réseaux neuronaux parviennent à résoudre des problèmes extrêmement complexes par leur organisation globale, en appliquant des lois très simples au niveau de leurs cellules élémentaires limitées à leur voisinage immédiat. 

    Ces capacités d’action collective parfois étonnent positivement, parfois effraient. Elles ne sont pas une légende ou un préjugé, elles correspondent à une réalité sociale.

    La coordination entre les réactions locales de la « grappe » familiale et sa contribution au réseau global s’en trouve démultipliée et accélérée. La coordination avec nos proches devient plus rapide et plus profonde, se propageant à l’ensemble du réseau. » 

    « Agir local penser global », nous pouvons aussi le dire ainsi ! Et çà n’a rien d’asiatique ou plus précisément c’est surtout une question de structure et d’organisation ; et bien entendu la notion d’altruisme réciproque, qui elle n’a nul besoin de la structure oppressive d’un pouvoir « total » pour ne pas dire totalitaire. 

    Pour créer le futur que nous imaginons il faut penser hors de l’ordre, sinon nous faisons encore et toujours de la même chose.

    Trois non axiomes :  
    1) activisme fractal à toutes les échelles.
    2) ne pas opposer le concept et la pratique.
    3) penser la totalité à partir du local et le local à partir de la totalité (aller-retour permanent entre les deux) 

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/
    07 06 20