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Insurrection - Page 3

  • La réalité

    Je partage l'idée-force que chaque être humain - comme sujet actif- construisait SA propre réalité.

    Ce qui lui est nécessaire pour affronter les situations problématiques auxquelles il fait face (même par la fuite -voir Laborit, éloge de la fuite).

    Ce n'est en rien une prétendue "réalité" ou "vérité" sur les choses, mais SA connaissance opératoire et stratégique qui le rend à même (ou pas) de résoudre, par étapes les problèmes qu'il rencontre.
    Et cela est généralement suffisant dans un système en équilibre (homéostasie)

    Dans le contexte d’effondrement actuel ce n’est plus le cas.

    Alors, nous pouvons essayer de lui faire découvrir d'autres "réalités", d'autres attitudes, élaborer d'autres comportements à l'aide d'une INTERACTION qui se veut managériale, pédagogique, thérapeutique ou les trois à la fois.

    Elle peut être qualifiée de constructiviste (d’où ma référence récente à l'Ecole de Palo Alto comme méthodologie fondamentale d’intervention (Mental Research Institute).

    Une procédure clinique ET répétable qui synthétise l'approche systémique, respecte l'individu, le groupe ET l’espèce dans ses relations avec SON environnement.

    Je précise que je ne prétends pas être épistémologique (je ne fais pas l'étude de ce que je sais et comment je le sais).
    Je me dis simplement que si les modalités perceptives d'une personne (sujet) changent, ses propres représentations et ses comportements changeront.

    De l'observation des attitudes et des comportements de Mr Macron et les siens, de Donald Trump et d’Elon Musk ; de Poutine et de bien d’autres, je découvre le reflet de nous-même et du monde dans un miroir et franchement ça me fait peur.

    Notre participation chaotique au mouvement devrait consister à modifier cette "réalité".
    Le voulons nous, le pouvons-nous ? Serions-nous entendus, compris ?

    04 01 25

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/

     

  • Les juges

    S'ils étaient des démocrates ils se demanderaient ce qu'ils vont faire des pauvres !
    Mais qui possède la meilleure épée possède le droit et il n'est pas pour le peuple.
    Nous avons perdu les trois autorités :
    magistrale , les profs sont en fuite,
    paternelle: le patriarcat est mort,
    régalienne, il n'y a plus de réponse pénale.
    Le syndicat de la magistrature est maître du droit ...le sien !
    Les juges ont pris le pouvoir: ils ont troqués le sceptre contre la toge... la loi commune est devenue la loi du quartier. Il n'y a plus la justice de l'Etat au nom des innocents. Il est a la vengeance privé, les milices privées, les organisations d'auto défense car maintenant couve la guerre civile.
    Bref, le pouvoir , le vrai , est à Bruxelles et ce qui reste chez nous est entre les mains des juges !
    Il faut instaurer le retour du pouvoir au peuple ; le "populisme" c'est l'avenir !

    Francis-claude Neri

  • Il n'y a pas deux islams.

    L'un qui serait modéré et l'autre radical, il n'y en a qu'un et il est indivisible selon son dogme.
    Simplement il y a des musulmans qui souhaitent vivre paisiblement et sont prêts à faire quelques concessions sur leur foi et des musulmans qui sont prosélytes et souhaitent faire le djihad pour gagner le paradis d'Allah.
    Ceux là font une lecture littérale du Coran dont certaines sourates appellent au meurtre des Juifs et des Chrétiens.
    Le clivage entre ces 2 types de musulmans se fait dans chaque famille et chaque fratrie.
    Il est totalement illusoire que les modérés se retournent contre les radicaux, d'abord parce que justement, ils sont modérés mais surtout parce qu'au fond d'eux ils ont le sentiment d'être de moins bons musulmans que les radicaux.
    Quand viendra l'heure de la confrontation, et elle est inéluctable, honte à tous ceux qui sont dans le déni; nous serons incapables de faire le tri et les musulmans modérés incapables pour le plus grand nombre de faire un choix hélas.
    24 11 24