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Liberté d'expression - Page 46

  • Gouvernement mondial

    "Dans un gouvernement mondial, démographie, finances et économies doivent être liées, régulées et contrôlées et les déviances sévèrement sanctionnées."

    Francis-claude Neri

    Malheureusement ce système de vote fondé sur le plus grand nombre sans aucun contrôle de compétence, nourri l’explosion démographique de la bêtise pour prendre le pouvoir.

    Malheureusement ceux là même qui vivent de la finance en la gérant sont ceux qui produisent notre monnaie et décident des règles, je ne connais pas de plus grand conflit d’intérêt.


    Malheureusement l’économie est fondée sur le profit, l’art de prélever une marge sur une vente, et la concurrence, celui qui fait le plus gros profit élimine les autres. Résultat la masse de toutes les marchandises produite est vendue bien plus cher que sa valeur réelle, et la somme de tous les salaires ne peut consommer cette production il faut alors passer par le crédit et la dette qui diminue encore la capacité des peuples à acheter leur propre production.


    Malheureusement pour sanctionner une déviance, il faut une loi admise par tous d’où un minimum de constitution mondiale, un système d’enquête policière d’où un minimum de prélèvement sur les peuples pour la financer, et un système judiciaire indépendant capable d’imposer ses décisions, et un système de sanction confirmée par un minimum de gouvernement mondial qui empêche la protection d’une déviance par un état fort. D’autant plus fort qu’il profite économiquement de cette déviance !


    Donc première étape proposer une forme minimale de constitution acceptable par tous les pays, rien que ça c’est une sacré utopie, mais quelle autre solution est-elle possible ?

    Alain Persat

    D'accord avec toi ...et la SORTIE est bien là sans nul doute...notre "travail" doit donc consister à en populariser le concept qui finalement est d'une grande simplicité puisqu’il "suit" tout simplement les lois naturelles qui sont celles de : l'auto catalyse, l'auto sélection et l'exclusion compétitive.
    L’essentiel est de ne pas perdre de vue que si l'on décompose par l'analyse la complexité en éléments simples nous perdons en route les propriétés émergentes (donc nous n'abordons jamais le "tout".)

    Je préconise la synthèse systémique seule capable de mettre en relation des phénomènes naturels répondant à des lois générales et des actions humaines individuelles et collectives ...

    Faute de méthode, d'outils d'observation, de capacité d'évaluation, les politiques, qui sont persuadés être les seuls capables de faire avancer les sociétés dans une direction choisie, sont dépassés par les évènements, par les rétroactions positives (qui amplifient les problématiques) et sont à présent à court terme incapables d’imaginer et encore moins de mettre en œuvre une réponse cohérente.
    Une réponse difficile à saisir car elle nécessite une connaissance de plusieurs disciplines et domaines différents. Leur spécialisation à outrance ... (pour ne pas dire leur incompétence) et leur vision binaire du monde les en rendent incapables.

    Tu vois donc ce qu'il NOUS reste à faire si nous voulons rester dans le jeu encore un moment
    Francis-claude Neri

    19 03 18

  • La communication

    Il n’y a aucun moyen de « sortir de la dette par la croissance » lorsque vos revenus chutent et que vos dettes augmentent.

    Plus d'infos sur : http://la-chronique-agora.com/dette-krachs-boursiers/
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    Voici une importante information qui doit nous faire réfléchir.

    Il semble que nous ayons créé un monde entièrement fait de communication et qu’il devient réel…Quelle aventure !

    Allons nous enfin mettre « nos cerveaux en réseau » et discipliner nos « avatars » afin qu’ils régulent et contrôlent leurs attitudes et leurs comportements pour rendre « efficace » notre communication ?
    L’expression et la mobilisation des peuples démocratiques pourraient ainsi s’exprimer autrement que par une large abstention et un mépris total des élites politico-médiatiques.

    Certains de mes amis, par exemple, confondent information et communication…J’aimerai leur rappeler qu’il n’y pas de communication sans info-retour (rétroaction).
    Et cette rétroaction est totalement absente y compris dans les médias dit de réinformation.


    Oui la communication est le « nerf de la guerre et ceux qui perdent la guerre  de la communication perdent souvent la guerre tout court. Surtout lorsque l’information devient de la propagande.
    Les israéliens par exemple se sont rendus compte avec l’affaire Al Dura que les palestiniens leur étaient supérieurs en matière de communication et que si ils avaient perdu la sympathie de l’Occident c’était en grande partie pour cette raison.

    Avec les réseaux sociaux, la structuration de NOTRE communication est à notre portée. Et si nous pensons en réseau l’action elle même n’est plus qu’une résultante de la pensée. Si nous pensons en réseau que telle action DOIT se produire, elle se produira …

    Pensez y !

    Francis-claude Neri

    16 03 18

  • Libéralisme

    Marie-pierre Blanchet Gaignault Être un affreux gauchisse c’est vouloir construire une société parfaite quitte à voler Pierre pour donner à Paul tout en mettant des bâtons dans les roues des deux personnages de manière à leur rendre la vie extrêmement difficile. À coup de normes, de réglementations, de lois, d’interdictions, de taxes, d’impôts, d’amendes etc.
    Être gauchiste c’est vouloir que l’état fourre son nez dans l’économie, là où il n’a strictement rien à faire.

    Marc Chapleau Tu ne sais pas, mais alors pas du tout, de quoi tu parles. Tu dépeints là une scène stéréotypée que les libertariens aiment imaginer pour justifier leur monde qui se résume à la loi de la jungle.

    Allaric Mephusteg Les libéraux ne veulent pas d’état pour les contraindre mais veulent l’état pour contraindre les autres à leur bon vouloir.
    Les libéraux ne veulent pas d’Etat sauf quand il s’agit de leur accorder des privilèges, de les aider quand ils en ont besoin et de faire donner la troupe contre la population quand elle réclame de meilleurs conditions de travail. Le 19ème siècle était dominé par les libéraux et jamais l’Europe n’a connu autant de miséreux qu’à cette époque.
    Le 20ème siècle a connu une gauche de revendications qui a amélioré le sort de millions de travailleurs. Mais les gauchistes d’aujourd’hui sont des libertaires, ils n’ont plus rien à voir avec ces revendications légitimes, les libertaires sont devenus les valets des libéraux, leurs idiots utiles.
    Être une gauchiasse aujourd’hui, c’est être l’idiot utile du système libéral, défendre tout ce que défendent les libéraux tout en se plaignant des conséquences sociales.

    Camille Becquet Allaric Mephusteg Vous confondez les libéraux et les macronistes.

    Allaric Mephusteg Camille Becquet ah ? Parce que Macron n’est pas un libéral ?
    Je me souviens surtout de conversations avec de vrais libéraux et j’ai pu voir toute leur hypocrisie.

    Camille Becquet Allaric Mephusteg Macron est tout sauf un libéral, c'est au contraire un jacobin et un centralisateur de première. Un rocardien, un socialiste réformateur mais pas un libéral.

    Le libéralisme, c'est un État à sa place, qui fait son boulot et rien d'autre, des dépenses publiques raisonnables et raisonnées, de la liberté pour les citoyens (tous les citoyens, les riches comme les pauvres) et l'absence de clientélisme.

    Macron réduit-il les dépenses publiques ? Non. Le nombre de fonctionnaires (qui a augmenté de 534% entre 1946 et 2016 alors que la population française n'a augmenté que de 63% dans le même laps de temps) ? Non plus. Cesse-t-il de subventionner les syndicats (de gauche comme de droite, CGT comme Medef) ? Encore non. Etc. etc.

    La France est ultra-étatisée et loin, très loin d'être libérale. Aucun homme politique français n'est libéral, même Fillon ne l'était pas complètement.

    Allaric Mephusteg Camille Becquet le libéralisme tel que vous le concevez n’a jamais existé et n’existera sûrement jamais.
    Macron est là pour détricoter la France.
    Vous me dites que Macron n’est pas libéral parce que le nombre de fonctionnaires a augmenté depuis 1946. Quel rapport avec Macron ?
    Où Macron réduit les dépenses publiques en détruisant tous les services publics, vous devriez être satisfaite.
    Il ne va pas cesser de subventionner les syndicats alors qu’ils vont dans son sens.
    Oui, la France est étatisée et cela lui a réussi pendant longtemps. Mais aujourd’hui, les libéraux au pouvoir détruisent tout cela.

    Camille Becquet Il ne réduit pas les dépenses publiques, Allaric Mephusteg. L'État français a déjà claqué 5 milliards de plus et va emprunter 195 milliards d'euros en 2018 pour financer notre modèle social qui part en sucette complète.

    Macron est un Hollande bis. Il a supprimé l'ISF mobilier pour faire illusion (5 milliards dans un budget de 2000 milliards, c'est peanuts) mais pour le reste, rien ne change.

    Et en plus, il nous rajoute des normes, des usines à gaz, des inspecteurs du travail par milliers, du vivre-ensemblisme et de l'immigration à fond la caisse. C'est Hollande en pire.

    Marc Chapleau https://youtu.be/EM5ONVzhzUY

    Asselineau Dit Tout à Natacha Polony, Six Mois Après la Course…

    youtube.com

    Allaric Mephusteg Camille Becquet vous êtes pour le libéralisme et vous vous plaignez des conséquences qu’il apporte.
    Vous êtes opposés à l’immigration ? Il est voulu par le libéralisme, avec toutes les conséquences négatives que cela entraîne.
    Vous vous plaignez du clientélisme alors qu’il est intrinsèque au libéralisme.

    En fait, vous rêvez d’un libéralisme utopique qui n’existe pas.

    Camille Becquet Je ne suis pas libertaire mais libéral, Allaric Mephusteg. Un État régalien qui fait son travail et rien de plus (donc pas de clientélisme comme c'est le cas en France), un État qui ne nous dicte pas notre façon de vivre mais fait respecter le droit, gère correctement les finances publiques, n'endette pas les citoyens et garantit la propriété privée.

    Vous confondez libéralisme et capitalisme de connivence.

    Allaric Mephusteg Camille Becquet j’ai bien compris que vous étiez libérale. Je retrouve tout le discours des libéraux avec qui j’ai discuté auparavant.

    Je défends moi aussi la propriété privé, à condition bien sur que cette propriété ne soit pas issue du vol ou de la spoliation d’autrui.
    Je sais bien que les libéraux ne prônent pas le « capitalisme de connivence » mais c’est là où commence l’hypocrisie, car le capitalisme de connivence est intrinsèque au libéralisme. L’histoire a montré que toujours les plus riches tentent de subordonner l’Etat à leur volonté. Et c’est bien ce qu’il se passe aujourd’hui.
    Et là où l’hypocrisie continue, c’est quand vous voulez un état qui ne s’occupe que des fonctions régaliennes, ce qui signifie en réalité que les libéraux veulent être protégés par l’Etat mais sans devoir quoique ce soit. Et plus encore les libéraux veulent que l’Etat sanctionne les mouvements sociaux, les grèves, etc... c’est encore une fois l’Histoire qui nous le montre. Vous voulez l’Etat mais un état qui ne réglemente pas l’activité économique.
    Durant la période des trente glorieuses, l’Etat français avait réussi à trouver un bon équilibre. Ensuite, sous la pression du patronat français, l’Etat a organisé l’immigration que nous subissons encore aujourd’hui. Puis, il s’est mis à désagréger le système social par des mesures ruineuses sous couvert de socialisme et toujours de plus en plus à l’avantage des immigrés. Et maintenant sous la volonté du libéralisme économique, du libre échange, l’état dérèglemente de plus en plus et le pays part en lambeaux.

    Camille Becquet Macron ne déréglemente rien du tout, c'est du flan, de la poudre aux yeux. Égratigner un Code du travail soviétisant n'est pas déréglementer, il faut arrêter avec les mélenchoneries.

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    François Amsallem
    11 03 18