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mondialisation - Page 50

  • La marchandisation du monde

    Le problème de l'économie actuelle n'est pas la mondialisation en soi (le commerce est mondial depuis longtemps), mais la marchandisation globale, c'est-à-dire le fait que tout est à vendre et à acheter, y compris le vivant, voire même les ressources fondamentales du monde dans lequel nous vivons (l'eau, par exemple).

    • On réduit le bonheur au plaisir, le plaisir aux besoins matériels et le besoin à la quantité consommée.

     La fin des régulations nationales !

    • L'économie, émancipée de toute règle, se développe pour elle-même. Le social a été vidé de toute substance

    Plutôt que de "globalisation", qui peut laisser entendre des effets positifs, il vaut mieux parler de "marchandisation". C'est un processus de domination et d'exploitation à l'échelle planétaire. Ses visages sont le G8, le FMI, la Banque Mondiale, mais aussi diverses entités supranationales de régulation (faible) et de normalisation (souhaitable pour les marchés globaux).
    Dans l'inconscient collectif, alimenté par les discours politiques, le phénomène est généralement considéré comme inéluctable. La finance prédomine. Les états-nations se sont ruinés en titrisant leur dette. D'un bout à l'autre du globe, les marchés financiers ne dorment jamais. Les sommes échangées quotidiennement sur ces marchés sont très largement supérieures à la valeur globale de l'économie réelle. Le risque de bulle spéculative (donc d'éclatement de cette dernière et de crise) est permanent.

    • Le développement centré sur l’économie : Il charrie les valeurs de progrès, d'universalisme et de rationalisme.

    L’industrialisation. Cette dernière détruit les forces économiques antérieures, entraînant avec elles les croyances et les mythes fondateurs.

    • Peut-on remplir ce vide avec le crédo consumériste occidental ?

    L'état du tiers-monde est souvent "nationalitaire" (contraction de nationaliste et totalitaire). Il n'est pas le fruit d'une maturation historique et doit s'inventer une identité.

    • L'hégémonie de la société de consommation lamine la diversité culturelle de par le monde.

    Les gouvernements nationaux en sont réduits à l'état de préfectures par rapport à l'autorité du Nouvel Ordre Marchand mondialiste.

    • Les élus sont otages du système. Et souvent leurs complices.

    Malheureusement, il faut généralement des catastrophes pour déclencher un changement.

    • Les nations perdent leur souveraineté économique et subissent la loi des marchés mondiaux et des entreprises multinationales

    Il faut se débarrasser de l'illusion qu'il existerait un "bon" universalisme qui s'opposerait à la "mauvaise" mondialisation. La démocratie de marché, l'ordre marchand a mené à la destruction des cultures locales, qui reviennent, perverties, sous forme d'intégrisme et de repli sur soi.

    • La génération des Trente Glorieuses a connu un âge d'or.   A quel prix ?

    Quelle forme de résistance à la marchandisation… du monde, quand l'ordre marchand érige les droits de l'Homme en idéal absolu ? Un ordre capable, en violant sans cesse son propre idéal, de produire des richesses mieux qu'aucun autre avant lui ?

    • Le commerce équitable permet-il de ramener la politique dans la science économique ?

    Les valeurs économiques ne doivent plus être centrales, elles ne sont qu'un moyen et non une fin.

    • Certains  supportent la taxe Tobin et l'annulation massive des dettes publiques, par lesquelles les états sont les esclaves du système financier.

    Le protectionnisme n’est plus un concept tabou.

    • Une population ne peut pas vivre dans la dignité si elle ne produit pas, au moins en partie, les produits dont elle a un besoin essentiel.

    L'auto-limitation (régulation-contrôle-sanction) de nos sociétés prédatrices se traduirait immédiatement par une amélioration de la qualité de vie.

    • Il est urgent d'organiser un contre-pouvoir au FMI, à la Banque Mondiale, à l'OMC et autres grands prédateurs de la finance internationale.

    Pratiquer  la pensée critique, afin de pouvoir se défendre contre les pensées reçues, mais aussi de se donner confiance en la possibilité de créer une autre société.

    • Les "problèmes", tels la faim, la misère, l'illettrisme, l’immigration, l'islamisation, LA DEMOGRAPHIE sont des problèmes conjoncturels.

    Le développement anarchique de l'économie, LA FINANCIARISATION, la dérégulation, l’absence de régulation, de contrôle et de sanction pour les transgressions économico-financières en particulier sont le vrai problème. Et il s'inscrit dans le "temps long". Ce sera la difficulté de la sortie de l'UE.

    La décroissance, démographique en particulier, est le début de la solution avec l'abandon du modèle de développement productiviste et de ses fondements : le culte fétichiste de la croissance et la croyance aveugle dans les bienfaits des progrès technoscientifique.

    Pour la synthèse
    Francis NERI

    30 06 16  

     

     

  • Eduquer, socialiser, assimiler.

    Une éducation ET une socialisation qui elle aussi ne devait pas être laissée à l’initiative de l'individu à éduquer et socialiser...

    La gauche depuis mai 68 nous dit que c'est à l'individu à aller vers l'éducation et la socialisation et nous interdit de les lui TRANSMETTRE et encore moins de les leur prescrire voire IMPOSER ...comme bien évidemment il eu fallu faire aux musulmans migrants et surtout leurs enfants imprégnés d'une culture antagoniste à la notre

    Tout notre drame actuel tient en cela !

    Et à vrai dire si le concept éducation, socialisation et assimilation semblait encore possible dans les années 80 et 90, en raison de l’idéologie multiculturaliste de la gauche et les intérêts flagrants des « libéraux » du mondialisme, nous constatons, dans la réalité, que ce n’est plus réalisable.

    Le grand remplacement ne se négocie pas, il se combat avec toutes les armes à notre disposition…C’est aujourd’hui la nature de l’enjeu n° 1 et il passe devant tous les autres.

    Francis NERI
    17 06 16    

  • Debout la droite !

    Ceux qui ont écouté « France info » ce matin ont eu confirmation que le clivage gauche droite existait toujours et plus que jamais.
    C’est l’intervention du maire socialiste du 4e arrondissement auteur du premier mariage gay qui le démontre.
    Cet « homosexuel » commentait le massacre d’Orlando selon les schémas classiques de la gauche classique de l’excuse psychiatrique classique pour le tueur de Daesch et il cherchait la cause des causes qui selon lui remontait aux comportements des religions et en particulier des manifestations comme la « manif pour tous » qui en seraient le terreau.

    J’ai aussitôt pensé au roman d’Orwell 1984 et au parti Océania avec son slogan : « Celui qui contrôle le passé contrôle l’avenir, celui qui contrôle le présent contrôle le passé »
    C’est exactement ce que fait la gauche depuis 1968 et c’est exactement ce que laisse faire une certaine droite depuis la même époque.
    Sauf que la droite n’est plus la droite puisqu’elle acquiesce depuis 1968 aux propos d’individus comme le maire du 4e
    Il nous faut donc reconstruire la droite et l’Histoire est faites pour çà …notre histoire, qui est une arme, et une arme « d’éducation collective » comme l’exprime si bien Eric Zemmour .
    Education ET Socialisation collective.
    Il est temps de retrouver notre « roman national » et celui-ci n’est pas le roman national d’une minorité de gays et de lesbiennes. Ce n’est pas le roman national des envahisseurs islamistes qui ont intérêt à quitter au plus vite notre territoire avant que « La droite » reprenne les choses en main pour éduquer et socialiser les générations nouvelles dans l’amour d’une France glorieuse, belle et souveraine.
    Pour cela il nous faut « déconstruire ces déconstructeurs », en particulier de gauche, qui nous ont imposé leur vision d’une histoire multiculturelle, mondialisée, une histoire de minorité, de victimes officielles et éternelles, une histoire de détestation de la France.

    Debout la droite ! Et faisons l’Histoire !

    Francis NERI
    13 06 16