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mondialisation - Page 51

  • Relativité

    La vision relativiste amène à voir la réalité avec toutes ses nuances et sa subtilité. Elle va plus loin que la logique Aristotélicienne, en envisageant un nombre illimité de cas possibles, et en évaluant chaque chose par rapport aux autres, et non en termes absolus. La même réalité peut être vue différemment, selon le point de vue de l'observateur...

    C'est pourquoi nous devons essayer de voir les choses avec un point de vue extérieur à soi-même, et en regardant chaque situation sous plusieurs angles simultanément.

    Un autre enseignement de la relativité concerne la causalité. Les humains ont souvent tendance à ramener les problèmes à une cause unique. Alors qu'en réalité, un problème a toujours de multiples causes, qui ont des degrés ou des niveaux d'influence différents. Certaines causes sont majoritaires et représentent 20 ou 30% de la causalité. D'autres causes, un peu plus nombreuses, "pèsent" entre 2 et 5%. Enfin, une myriade de "micro-causes" pèse moins de 1%.

    Soyons donc relatif !

    La carte n'est pas le territoire
    La représentation que nous nous faisons de la réalité n'est pas la réalité elle-même. De même que la carte d'une ville n'est pas la ville elle-même.

    Nous devons tenir compte du fait que la réalité est toujours plus complexe et plus riche que ne le suggère notre carte.

    Ce principe a été rendu célèbre par Alfred Korzybski en 1933 dans ses travaux sur la "sémantique générale" et la logique non-aristotélicienne. En opposition avec Aristote pour qui le langage est un miroir fidèle de la réalité, Korzybski considère que le langage n'est pas la réalité mais une "carte verbale de la réalité". Ce principe est aussi illustré par Magritte dans son fameux tableau "Ceci n'est pas une pipe", pour montrer que l'image d'un objet n'est pas l'objet lui-même.

    Méfions nous, Béziers est une carte de la réalité…à construire, ce n’est pas encore le territoire.

    Au travail

    Francis NERI
    31 05 16

  • Tous à béziers

    Chers Amis bonjour,

    La preuve d'une trahison phénoménale et en profondeur, totalement volontaire et programmée par les gouvernements Français successifs devient cruellement indiscutable. L' évidence d'une trahison sans précédent, pernicieuse, totalement volontaire et programmée par les gouvernements Français successifs, inaugure une nouvelle méthode farouchement crapuleuse, quant à son modus-operandi.

    Á l'inverse des trahisons perpétrées dans des circonstances particulières, mais tout aussi inacceptables, souvent générées par un conflit armé, comme en 39/45, la gigantesque trahison que nous subissons aujourd'hui est purement criminelle dans sa conception, tant par son ampleur que par ses nuisances pour notre patrie ...

    Aussi loin que remonte ma mémoire, je n'arrive pas à mettre un nom, sur un dirigeant politique Français, qui se serait livré à une telle monstruosité, dans la dimension que nous lui connaissons aujourd'hui . Certes Pétain et Laval se sont distinguée par une franche collaboration avec l'ennemi, mais les circonstances et la durée n'étaient pas les mêmes . Le fait que notre pays soit en 2016, sciemment trahi par des individus (en principe citoyens), qui n'agissent que pour conforter leur position personnelle est, sans le moindre doute, symptomatique et odieux. Thuriféraires stipendiés de puissances étrangères, répondant aux souhaits d'un nouvel ordre mondial tentaculaire et volontairement hégémonique; ces mafiosi nouvelle mouture, apatrides et immoraux , n'aspirent qu'à se préoccuper d'eux-même, de leur ego démesuré et de leur fortune.. (Je veux la place...Je m'en tape de gouverner) tel est le slogan ...

    Ce N.O.M, pure folie mégalomane d'une grosse poignée d'apprenti sorciers, cupides et vicieux, n'est en définitive que le grand architecte de la mission que cette organisation s'est assignée, à savoir... Éradiquer en quelques décennies seulement, les cultes, la culture, l'histoire, en un mot toute la civilisation Européenne, avec l'appui servile des bons hospices d'une U.E exemplaire, en matière de trahison absolue.

    Ceci est totalement inacceptable et tout Français, quel qu'il soit, en marge de toute obédience politique partisane, sans pour autant la rejeter, doit, si son attachement patriotique à la patrie le taraude, participer aux trois jours de BÉZIERS, organisés par Robert MENARD, dont l'initiative soutenue par les nombreuses organisations patriotiques de France, qui œuvrent sans relâche au redressement de la nation et qui y seront présentes, symboliseront pour l'histoire de notre Patrie, les dates sacrées de sa renaissance enfin en renouement !...

    Il y a eu l'appel du 18 juin....Il doit y avoir celui des 27/28/29 mai... les glorieux " trois jours de BÉZIERS" !...

    Venez nombreux et que mes amis et voisins périgourdins se joignent à moi pour s'y rendre en délégation. Qu'ils me le fassent savoir...Merci par avance!...

    Vous pouvez dors et déjà vous y inscrire, en vous portant sur le site (les trois jours de BEZIERS S'inscrire..).

    Très cordialement à tous
    Claude Allard


  • Les finalités de la politique

    Depuis de nombreuses années (en gros 1974) je m’efforce de faire partager une conclusion brutale que je partage moi même avec d’autres « adeptes » de l’approche systémique, comme Joël de Rosnay, Edgar Morin, Henri Laborit, Jacques Lesourne et quelques autres moins connus … André Lebeau, Jared Diamond par exemple … moins connus en France bien évidemment !

    Cette conclusion, la voici : Le danger pour l’humanité provient de l’interaction de trois insuffisances de contrôle, qui peuvent être à tout moment le point de départ de déséquilibres cumulatifs.

    • Au niveau de l’élément ultime de la vie sociale, l’individu, auto organisé depuis des millénaires et qui contrôle mal ses pulsions ancestrales, tout en mettant à leur service le pouvoir du langage et de la symbolisation.
    • La seconde source de déséquilibre, provient ensuite des systèmes politiques nationaux, construits au cours de l’histoire pour assurer l’intégration et la coordination des activités nationales. Ils ne possèdent tout au plus qu’une imparfaite capacité de régulation à court terme, sont impuissants à maitriser les trop rapides transformations à court terme, et n’arrivent pas à élaborer des fins à long terme.
      La plupart du temps d’ailleurs les élites, et pas seulement politiques, échappent au contrôle des citoyens et projettent sur eux l’ombre de leurs propres déséquilibres.
    • La concurrence entre des nations détentrices d’un pouvoir absolu de destruction est, au somment de la pyramide des systèmes sociaux, le siège de la troisième insuffisance de contrôle.
      Avec elles se manifestent le spectre de la guerre absolue de tous contre tous, le combat pour les matières premières, pour la conquête ou la reconquête de territoires, de la guerre civile et ethnique, culturelle et cultuelle, l’écrasement des minorités occidentales par les multitudes orientales, le heurt de la richesse et de la pauvreté etc.

    Dans les guerres, les révolutions, les faillites des civilisations et des nations se retrouvent imbriquées ces trois insuffisances de contrôle.
    C’est pour cela qu’il ne suffit pas de publier des rapports de prospective, de construire des « machins » internationaux, d’écrire des essais politiques que personne ne lit, de réélire les mêmes politiciens qui ne savent tout au plus que faire et refaire un peu plus de la même chose.

     La question ultime pour moi, ici et maintenant sera donc :

    Comment rompre cet enfermement planétaire et mettre l’Homme (avec ou sans l'aide d'un Dieu) au contrôle car il est devenu responsable de sa vie et de sa mort ?

    Et puisque ce sont des pratiques et des individus qui les mettent en œuvre au sein de nos « systèmes » politiques, économiques, financiers etc. « comment nettoyer ces systèmes et mettre en place des pratiques et des pratiquants que "NOUS" puissions réguler, contrôler et sanctionner ? »    

    Le concept d’auto organisation, d’auto régulation et d’auto contrôle étant clairement « obsolète » depuis la crise des « subprimes » il est temps de passer et vite à autre chose et…que l’on ne vienne plus me dire qu’il est trop tard …je n’entre pas dans ces considérations :-) 

    Francis NERI
    27 03 16