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mondialisation - Page 52

  • Melting-pot culturaliste

    Grande campagne contre le racisme actuellement lancée par notre gouvernement chéri.
    Il est temps, car cette insupportable haine des Français envers "une certaine communauté" n'a pas raison d'être et il devient urgent de faire comprendre à la population que son attitude négative et parfois insultante nuit à la bonne marche de la société telle que l'ont voulue nos gouvernants nous promettant depuis des décennies que le melting-pot culturaliste était une bonne chose pour nous Européens.
    Notre bon Premier Ministre ne cesse de nous dire que :
    "Le racisme, ça commence par des mots. Ça finit par des crachats, des coups, du sang."
    Les évènements de janvier et de novembre 2015 à Paris, et ceux de Bruxelles hier ne prouvent-ils pas que son raisonnement est juste ?
    Qu'elle doit être notre réaction face à tous ces Chrétiens, ces Bouddhistes, ces Indouistes, ces Juifs et ces athées qui tabassent des "noirs et des Arabes" (pour schématiser) gratuitement par simple haine ou par bêtise, ignorance et peur de "l'autre" ?
    Une tête de porc accrochée au seuil d'une mosquée n'est-ce pas là un acte d'une violence jamais égalée ?
    Voilà toute l'ironie de la chose... car quant à dépenser 3 millions d'euros pour une campagne antiraciste ne serait-il pas plus judicieux de la faire contre les tueries de masse qui nous plongent dans l'angoisse permanente, dans la tristesse de voir les nôtres tomber sous les coups d'adversaires sans pitié et contre lesquels nous n'avons aucune défense ?
    Pour nos élites il est impératif de faire comprendre aux "petite gens" que nous sommes que nous devons mourir en silence sans haine et sans ressentiments que l'islam ne nous veut pas de mal, même lorsque l'actualité nous prouve le contraire, et que nous devrons continuer d'accueillir sur notre sol de nombreux autres musulmans, avec le risque de voir se glisser parmi eux quelques candidats au suicide qui assassineront nos amis, nos enfants, nos parents, nos compatriotes.
    Mais la logique actuelle des gouvernants européens c'est : Qu'est-ce que la mort de quelques uns quand ont peut en sauver tant d'autres ?
    L’Europe est devenue un échiquier et nous sommes les pions, certains tomberont et seront éliminés, mais peu importe, c'est le jeu et notre instinct de survie doit être balayé à grands renforts de campagnes publicitaires qui nous culpabiliseront si nous ne jouons pas sans tricher.

    24 03 16

    Lise Baylac

     

  • La démocratie libérale

    Certains de mes amis, et non des moindre,  pensent que le libéralisme que nous vivons de nos jours, depuis une cinquantaine d’années en est toujours un.

    Son principe de base qui serait en quelque sorte l’auto-régulation étant toujours d’actualité, même si quelques « pervers » financiers nous démontrent qu’il n’en est rien.

    Il n’y a pas, vous dis je chers amis, de libéralisme sans démocratie et c’est quoi la démocratie libérale sinon une architecture complexe et dynamique dont l’objectif consiste à faire en sorte que les hommes se gouvernent eux même, et en particulier au delà de toute forme de religion. 

    En réalité un monde difficile à réguler et contrôler. Un monde ou les hommes seraient autonomes. Ce monde invente son histoire en avançant, une histoire à écrire à chaque instant.
    Pour les démocrates libéraux l’avenir est incertain et infigurable. Il n’est en rien déterminé et inscrit quelque part !

    C’est à eux à le penser, à le faire  et donc de se donner les moyens pour cela !

    C’est de cela dont il est question actuellement et c’est cela que veulent nous enlever à la fois un système politico-religieux de mort et un libéralisme qui n’est est plus un…

    Ne les laissons pas détruire en quelques années ce que nous avons construit avec du sang et des larmes en luttant encore et toujours contre toute forme de totalitarisme.

    Aux armes citoyens !

    Francis NERI
    21 03 16
       

  • La crise mondiale

    La crise mondiale est en action depuis un bon moment et c'est une crise systémique globale qui touche tous les domaines d'activités et tous les systèmes.
    La réponse ne peut donc être que systémique et globale.
    Maintenant et en attendant nous pouvons ici et maintenant régler NOS problèmes. Rien ne nous en empêche : UE, mondialisation (TAFTA), immigration, concurrence déloyale des pays à bas salaires etc....
    C'est en fait l'élément clé de la "subsidiarité" chère à nos dirigeants et à nos économistes actuels : laisser faire les choses au niveau de compétence où il peut être fait. Le Jacobinisme centralisateur c'était sous la révolution ...française :-)
    Francis NERI

    Pierre Le Mével •
    Tant que les économistes, les intellectuels et autres penseurs n'auront pas intégré que l'économie de croissance est arrivée à son terme, à sa fin de cycle naturelle, ils continueront à régir de travers. Faire tourner la planche à billet ( QE = quantitative easing), c''est à dire créer de la monnaie ex nihilo pour l'injecter dans l'économie réelle, c'est à dire combler artificiellement les déficits et les manques à gagner des États et des entreprise, petites ou grandes, ne peut que consituer qu'un remède palliatif, c'est à dire faire en sorte que l'agonie du Système ne soit pas encore trop visible à l'opinion publique ordinaire pour qu'elle ne s'inquiète pas.

    L'économie mondiale est passée successivement par trois phases importantes: première phase: croissance par conquête territoriale, deuxième phase : croissance par innovation technologique, troisième phase : ouverture à la consommation des classes moyennes.
    Dans la réalité ces trois phases ont été concomittantes et il se trouve que toutes sont arrivées en fin de cycle.
    Alors les petits génies de l'idéologie libérale ont inventé une quatrième phase de croissance par l'ouverture à la consommation des classes populaires non-solvables qui est à l'origine de la crise des subprimes.

    A l'heure actuelle, l'économie libérale de croissance est à l'agonie tout simplement parce que plusieurs facteurs aggravants convergent pour la détruire:
    A) la maturité des marchés (équipements des ménages et des entreprises)
    B) le ralentissement dans l'innovation et de l'offre des produits consommables
    C) la concurrence non faussée qui lamine les bénéfices des entreprises et surtout compromet le pouvoir d'achat des employés consommateurs qui, devenant chômeurs viennent peser sur les charges sociales des États dont les dettes explosent
    D) la révolution technologique dans la productique responsable de:
    1) innondation de produits sur les marchés donc on revient en A)
    2) supprimer des emplois pérennes ce qui explique que le chômage explose, reduisant le nombre de consommateurs potentiels.
    3) maturation rapide des niches commerciales (durée de vie de plus en plus courtes)

    En résumé, rien ne va plus dans le monde de l'économie libérale pure et dure et de ce fait dans l'économie réelle.
    Il conviendrait donc réinventer un nouveau modèle économique.
    Mais pour le moment personne n'en veut.

    Cependant, les petits génies du modèle économique libéral disposent d'un dernier atout. C'est celui de déclarer la troisième guerre mondiale laquelle présente le double avantage de
    1) réduire la surpopulation mondiale
    2) de faire un maximum de casse matérielle,

    A la suite de quoi il faudra tout reconstruire suivant le même modèle économique libéral
    Puis dans 50 à 100 ans l'économie libérale étant épuisée, il faudra à l'oligarchie dominante organiser la 4ème guerre mondiale et ainsi de suite. dans un cycle qui se perpétuera jusqu'à ce que les humains comprennent et acceptent enfin d'augmentent leur niveau de conscience.

    Le libéralisme, c'est de la prédation économique. Tant que les humains n'auront pas compris ça, ils n'ont pas fini de souffrir.

    Erulin De La Ranville •
    Il n'y a rien, absolument RIEN de ce qui existe dans l'économie mondiale actuelle qui peut être qualifié de "libéral" : les Etats interviennent tous, à tous niveaux, dans des proportions diverses, sur les marchés, les contrats, l'emploi, etc ... Le libéralisme, c'est l'inverse de ça (libéral = libre = sans intervention autre que les accords mutuels ... pas de tiers, et surtout et avant toute chose : respect des droits naturels de chacun, dont celui de la propriété).

    Dans votre analyse critique (que je partage : la relance de l'économie ne se fera pas - ce coup ci - par encore plus de QE), vous décrivez le collectivisme (dont le socialisme est une forme doucâtre) et/ou le capitalisme de connivence (accords entre Etats et Entreprises contre la libre-concurrence), et non le libéralisme.
    Si vous n'utilisez pas les bons éléments de langages et vous détournez justement d'une des seule doctrine économique qui n'a jamais été appliquée depuis des décennies, la solution risque d'être plus compliquée à trouver.

    Pierre Le Mével •
    Erulin De La Ranville Le libéralisme tel que l'ont théorisé (intellectualisé) des économistes comme Milton Freeman est une chimère qui ne peut fonctionner tant il rend instable les équilibres sociétaux et économiques Le libéralisme c'est la croyance que les marchés libres peuvent s'autoréguler naturellement et la preuve est donc faite que ce n'est pas possible.
    Ce que tout le monde sait, c'est que toute les idéologies politiques du passé ont échoué: socialisme, communisme, collectivisme libéralisme, capitalisme. Il en est de même pour les système de gouvernance, république, démocratie, monarchie, dictature. Pourquoi ? Parce que ces idéologies et les systèmes de gouvernance étaient par nature simplistes. Parce qu'il leur manquait l'essentiel, c'est à dire une fonction cognitive, le bon-sens et une vertu, l'honnêteté.
    Il conviendra aux peuples européens d'avoir le courage de faire un débriefing honnête de toutes les erreurs passées pour les transformer en expérience par synthèse.
    On en est pas encore là.

    Francis Neri •
    Erulin De La Ranville Il me semble ...mais je n'ai peut être pas encore compris que la "crise des subprimes" démontrait à l'évidence l'absence de régulation et de contrôle et que l'auto-régulation çà ne marchait pas ... et vous dites pourtant que l'Etat EST interventionniste, que le "libéralisme" n'existe pas ...j'avoue ne pas comprendre mais je n'ai rien d'un économiste
    Pierre Le Mével Je partage ...je n'avais pas lu votre réponse ...oui l'auto régulation çà ne marche pas ! Commençons donc à réguler et contrôler au niveau et dans les domaines où cela est possible.

    13 03 16