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Nouvel Ordre Mondial - Page 17

  • Donald Trump allait gagner

    Quand, dans plusieurs Etats clé, il est apparu que Donald Trump allait gagner, il a été décidé par les Démocrates d’arrêter le décompte des voix, et de faire une pause plus ou moins longue avant de proclamer les résultats. Ont alors commencé les manœuvres, le recours aux fraudes massives, et le vol de l’élection.

    Dans plusieurs Etats, on a “trouvé” magiquement des dizaines de milliers de bulletins de vote qui avaient été “égarés”, et on les a décomptés : par hasard (bien sûr) ces bulletins étaient tous des bulletins pour Joe Biden, strictement tous !  Cent pour cent des bulletins ! Les personnes dépêchées par la campagne de Donald Trump pour veiller sur la régularité des votes et du dépouillement ont été évincées sans ménagement de façon à ce que çà se fasse entre Démocrates.

    Cela s’est passé en Pennsylvanie, en Georgia, en Caroline du Nord, en Arizona, dans le Michigan, le Wisconsin et le Nevada. Il s’agit incontestablement de sordide et scandaleux bourrage d’urnes. 138.000 voix ont d’un seul coup été ajoutées en faveur de Joe Biden dans le Michigan dans la nuit de mardi à mercredi !  Zéro voix pour Trump. 100.000 voix ont été ajoutées au même moment dans le Wisconsin en faveur de Joe Biden. Zéro voix pour Trump encore.

    En raison de ce que j’ai écrit plus haut, quasiment tous les grands médias se sont rendus complices du bourrage d’urne et ont dit docilement que “des bulletins manquants avaient été “trouvés” qui allaient faire “basculer l’élection en faveur de Joe Biden”, ajoutant qu’il fallait que tous les bulletins soient comptés avant que soit proclamé un vainqueur : Joe Biden, bien sûr.

    Dans le Michigan et le Wisconsin, les Etats ont déclaré Joe Biden vainqueur grâce aux bulletins “trouvés”, souvent amenés par valises remplies à ras bord (les valises ont-elles été “trouvées” aussi ?).

    Joe Biden s’est déclaré vainqueur le 4 novembre dans l’après-midi.

    https://www.dreuz.info/2020/11/05/election-2020-la-democratie-americaine-survivra-t-elle-en-2021/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

    04 11 20

    Francis-claude Neri

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  • Israël et les arabes

    Les arabes étaient depuis des siècles en Espagne et ils furent virés, exterminés ou convertis

    Malheureusement les juifs avec.

    Mais ces derniers étaient et sont toujours comme culs et chemises avec eux

    Charlie Lebeau

    C'est VOTRE interprétation Mais il me semble que la réalité est plus complexe. Pour ma part, je considère qu’Israël EST le fer de lance de l'Occident au moyen orient et que malheureusement depuis 1973 (en gros) la France ne soutient plus Israël pour des raisons purement pétrolières. Les grands responsables en sont Giscard et son premier ministre de l'époque : Chirac.

    Ils signèrent le fameux pacte "immigration contre pétrole", le regroupement familial etc.

    Ce sont eux les « responsables et coupables » du désastre actuel ...le drame c'est que comme bien d'autres ils mourront tranquillement dans leur lit ...pour l'un d'eux c'est déjà le cas et avec les « honneurs de la « nation » !

    Dans la guerre qui vient contre un certain monde arabo-musulman et va déterminer NOTRE avenir, l'alliance avec Israël sera déterminante ....Eux connaissent bien l'ennemi et savent pourquoi et comment il faut le combattre.

    Mais l’alliance avec Israël, et la réalité du monde qui vient, ne pourra se faire si nous continuons à placer au pouvoir des individus qui ne pensent qu’à poursuivre l’effondrement de l’Etat, le dévoiement des élites, les dérives gauchistes, mondialistes et islamistes.

    Il nous faut appeler massivement à des actions « citoyennes, civiques et civiles » de soutien à la poursuite des objectifs qui permettront l’accès au pouvoir des « patriotes » et « souverainistes » en faisant fi de la concurrence entre les partis politiques.

    C’est notre seule chance de survivre en tant qu’individu, peuple, nation au cataclysme qui vient !   

    18 10 20

    Francis-claude Neri

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  • Philippe Séguin

    « Un regard lourd et désapprobateur sur ce que la droite est devenue »

    Gaulliste social, Philippe Séguin, partisan emblématique du "Non" au référendum sur le traité de Maastricht, ancien président de l'Assemblée nationale (1993-1997) et ancien président du Rassemblement pour la République (RPR), Philippe Séguin s'est éteint le 7 janvier 2010.

    Que reste-t-il de ses combats politiques ?

    Philippe Séguin a tenté, en vain, d’empêcher qu’une exception française soit éradiquée : l’existence d’un mouvement gaulliste, transcendant le clivage droite-gauche. En quelque sorte, Jacques Chirac, Edouard Balladur et Alain Juppé souhaitaient mettre la droite française aux normes internationales dès 1989 en rapprochant le RPR de l’UDF, sachant que c’est globalement sur les idées de cette dernière que devait se faire ledit rapprochement.

    Aidé par Charles Pasqua, Séguin s’est battu corps et âme, parvenant même à devenir président du RPR en 1997.

    Il a échoué, le RPR fusionnant avec l’UDF en 2002 dans l’UMP. La question européenne était l’une des clefs de ce rapprochement. Un RPR gaulliste avait évidemment tout pour s’opposer au traité de Maastricht.

    Séguin et Pasqua furent à deux doigts d’empêcher sa ratification en 1992, emmenant avec eux les plus gros bataillons des adhérents et de l’électorat du RPR. Pendant que Chirac, Balladur et Juppé se prononçaient pour le "Oui".

    Du moment que le mouvement gaulliste avait disparu en 2002, Séguin a quitté la politique, expliquant clairement dans ses mémoires que cette disparition en était la cause.

    La bataille de Maastricht a été la première étape d’un processus qui a façonné la nouvelle géographie politique et idéologique que nous connaissons depuis 2017. Pour une bonne part, la carte du "Oui" de 1992 se superpose avec celle du "Oui" du référendum de 2005 et celle du macronisme aujourd’hui.

    Pareil pour la carte du "Non" de 1992 et 2005 et celle de ce que Jérôme Sainte-Marie nomme le "bloc populaire" (versus le "bloc élitaire") depuis 2017.

    Il n’est donc pas étonnant que parmi ceux qui refusent l’Union européenne telle qu’elle a été construite depuis trente ans, beaucoup se retrouvent dans un personnage qui, pour l’essentiel, a fait figure de visionnaire.

    A droite, il n’a pas été écouté. Je pense même trahi. Toutefois, des hommes se réclamant de lui et dont il avait été proches ont été à la manœuvre notamment dans le quinquennat Sarkozy. Alors que François Fillon était Premier ministre et souhaitait un plan de rigueur drastique, c’est Henri Guaino, conseiller spécial du Président (et qui avait mis la main à la pâte pour le fameux discours du 5 mai 1992), qui a influencé Nicolas Sarkozy dans un sens tout à fait différent, symbolisé par le discours de Toulon.

    Fillon et Guaino avaient, tous les deux, été proches de Séguin et pourtant ils préconisaient des solutions aux antipodes. Philippe Séguin ne s’est pas exprimé à l’époque. Personnellement, je considère qu’il était en phase avec Henri Guaino.

    Aujourd’hui existe-t-il encore de Séguinistes ? A part Patrick Escudier et moi !

    18 08 20

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/