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Régulation, contrôle, sanction - Page 61

  • Se sauver du désastre

    Avons-nous la recette pour nous humbles mortels de se sauver si tant est qu'on le puisse du désastre, pour le temps qui nous reste ici bas ?

    La qualité de vie sans concession ni compromis pourrait bien constituer la bonne réponse.
    Solution certes individualiste, mais si l'addition des bonheurs individuels des personnes lucides faisait le bonheur collectif, histoire d'éviter du moins pour un temps la guerre civile ?

    Il est piquant de constater qu'après le géographe de gauche Christophe Guilluy, le sociologue libéral Jérôme Fourquet n'est pas loin de le penser dans son livre choc " L'archipel français " . Le sous-titre de ce gros bouquin instructif, preuves formelles à l'appui constitue tout un programme : " Naissance d'une nation complexe et divisée ", c'est exactement cela. Quand on le sait, la marche à suivre semble plus évidente.

    Il faudrait, ne pas être esclave des divisions mais passer au-dessus. Pour ma part, je considère depuis bien longtemps que quand on a la santé, qu'on dispose d'une voiture, que le travail ne nous occupe plus, on peut encore trouver le bonheur en France.

    Le passé ne reviendra pas, il appartiendra peut-être aux futures générations de résistants de restaurer les valeurs d'antan.

    Ce combat aussi noble soit-il ne sera pas notre œuvre pratique à nous qui avons la soixantaine, la terre promise sera pour d'autres. Il nous reste, ce qui n'est pas rien selon moi, à bien finir notre vie ici-bas, quitte à changer de lieu de vie, à remettre des certitudes trop ancrées en cause.

    Dans la vie, bien souvent ne se laissent briser que ceux qui veulent bien l'être, ou qui bien que lucides n'ont pas le courage de changer de cap. Concernant ces perdants volontaires qui - comme c'est facile ! - crient à l'injustice ou au destin contraire, je serai économe de mes larmes...

    Francis Ponsonnaille

    06 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

     

  • Effondrement

    Je ne fais pas le moins du monde confiance à mon intuition, au contraire je me méfie de mes biais cognitifs.

    La thèse et l'antithèse de l'effondrement relèvent de domaines techniques variés incluant la finance, le fonctionnement du système capitaliste dans son ensemble dépendant de la croissance, la climatologie, la pollution, la biocapacité, l'agronomie, la question des ressources, en particulier celle des pics de sources d'énergies fossiles.

    Trancher cette question est pour un individu lambda, un travail de nature épistémologique, généralement très au-delà de ses capacités cognitives, de son bagage scientifique de ses connaissances techniques, des dogmes qui régissent sa pensée, de sa pertinence analytique, de sa plasticité cérébrale, plus précisément il s'agit de se faire une idée en mesurant la validité des éléments de la thèse et celle de ceux de l'antithèse.

    Ce n'est pas à la portée de tout le monde mais quand bien même l'obstacle principal reste la dissonance cognitive, liée à l'incapacité d'imaginer la fin de quoi que ce soit, en particulier la sienne propre, a fortiori celle de son environnement, du système de la société à partir de données abstraites en contradiction avec ce que ses sens perçoivent et son quotidien, c'est-à-dire l'abondance, la consommation, "le Progrès"...

    Les personnes qui ont contracté un crédit, celles qui se projettent dans une carrière professionnelle celles qui ont des enfants a fortiori en bas âge, ne peuvent-être blâmées si elles sont dans l'incapacité d'imaginer l'effondrement.

    Il va de soi que cette incapacité à se projeter dans un avenir incertain, difficile, voire apocalyptique, en chevauche une autre, souvent appelée le grand remplacement.

     

    François Amsallem ·

    04 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Reconstruire la France

    Non axiome1

    Reconstruire la France, ce n’est pas seulement bâtir, c’est reconstruire aussi l’âme et le corps social des Français, calmer le désordre des esprits et des cœurs.

    Redresser la France, c’est promouvoir une communauté forte, offrant à l’individu des raisons de vivre et d’espérer.

    La France est entre les mains d’un gouvernement qui est, hélas volontairement,  dans la confusion la plus totale face à l’invasion islamiste…il n’en sortira pas jusqu’à la fin.

    Comme l’exprime Alain Persat, l'urgence est aussi écologique, sociale, culturelle, économique, démocratique... et bien sur démographique …c'est d'ailleurs là l'origine (factuelle) de toutes les urgences.

    Mais le danger  migratoire et islamiste – qu’il ne faut pas dissocier- est devenu la priorité des priorités.

    Le pouvoir ne manque pourtant pas de connaissances et de compétences permettant de former un jugement circonstancié, mais voilà, il sait que la religion n’est qu’un moyen commode de garder des sujets rebelles à sa disposition et les musulmans seraient, à ce sujet, d’une extrême docilité.

    Si l’Islam, et les islamistes en tant que tels, devaient représenter un danger pour la civilisation occidentale et pour la France en particulier, ce serait cette considération qui devrait nous faire envisager une guerre totale contre lui.

    Si on ne traite pas les problématiques locales dans un contexte d’effondrement du global, on tombera dans des solutions extrémistes, c’est-à-dire l’élimination d’une partie de la population décidée par une autre partie de la population pour résoudre les problèmes globaux.

    01 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/