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Régulation, contrôle, sanction - Page 63

  • Effondrement

    Je ne fais pas le moins du monde confiance à mon intuition, au contraire je me méfie de mes biais cognitifs.

    La thèse et l'antithèse de l'effondrement relèvent de domaines techniques variés incluant la finance, le fonctionnement du système capitaliste dans son ensemble dépendant de la croissance, la climatologie, la pollution, la biocapacité, l'agronomie, la question des ressources, en particulier celle des pics de sources d'énergies fossiles.

    Trancher cette question est pour un individu lambda, un travail de nature épistémologique, généralement très au-delà de ses capacités cognitives, de son bagage scientifique de ses connaissances techniques, des dogmes qui régissent sa pensée, de sa pertinence analytique, de sa plasticité cérébrale, plus précisément il s'agit de se faire une idée en mesurant la validité des éléments de la thèse et celle de ceux de l'antithèse.

    Ce n'est pas à la portée de tout le monde mais quand bien même l'obstacle principal reste la dissonance cognitive, liée à l'incapacité d'imaginer la fin de quoi que ce soit, en particulier la sienne propre, a fortiori celle de son environnement, du système de la société à partir de données abstraites en contradiction avec ce que ses sens perçoivent et son quotidien, c'est-à-dire l'abondance, la consommation, "le Progrès"...

    Les personnes qui ont contracté un crédit, celles qui se projettent dans une carrière professionnelle celles qui ont des enfants a fortiori en bas âge, ne peuvent-être blâmées si elles sont dans l'incapacité d'imaginer l'effondrement.

    Il va de soi que cette incapacité à se projeter dans un avenir incertain, difficile, voire apocalyptique, en chevauche une autre, souvent appelée le grand remplacement.

     

    François Amsallem ·

    04 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Reconstruire la France

    Non axiome1

    Reconstruire la France, ce n’est pas seulement bâtir, c’est reconstruire aussi l’âme et le corps social des Français, calmer le désordre des esprits et des cœurs.

    Redresser la France, c’est promouvoir une communauté forte, offrant à l’individu des raisons de vivre et d’espérer.

    La France est entre les mains d’un gouvernement qui est, hélas volontairement,  dans la confusion la plus totale face à l’invasion islamiste…il n’en sortira pas jusqu’à la fin.

    Comme l’exprime Alain Persat, l'urgence est aussi écologique, sociale, culturelle, économique, démocratique... et bien sur démographique …c'est d'ailleurs là l'origine (factuelle) de toutes les urgences.

    Mais le danger  migratoire et islamiste – qu’il ne faut pas dissocier- est devenu la priorité des priorités.

    Le pouvoir ne manque pourtant pas de connaissances et de compétences permettant de former un jugement circonstancié, mais voilà, il sait que la religion n’est qu’un moyen commode de garder des sujets rebelles à sa disposition et les musulmans seraient, à ce sujet, d’une extrême docilité.

    Si l’Islam, et les islamistes en tant que tels, devaient représenter un danger pour la civilisation occidentale et pour la France en particulier, ce serait cette considération qui devrait nous faire envisager une guerre totale contre lui.

    Si on ne traite pas les problématiques locales dans un contexte d’effondrement du global, on tombera dans des solutions extrémistes, c’est-à-dire l’élimination d’une partie de la population décidée par une autre partie de la population pour résoudre les problèmes globaux.

    01 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

  • 1984

    J’ai profité de ma nouvelle suspension d’un mois, sur le réseau Facebook pour relire une nouvelle fois 1984. J’en sors toujours profondément déprimé.

    Bien heureusement je m’occupe d’autant plus de mon jardin, de mes fleurs et de mes tomates çà permet de s’accrocher au réel.

    Un réel dont le dispositif médiatique du régime diversitaire, véritable machine de propagande, manipule le sens pour le traduire dans son propre système idéologique. A mon avis c’est très exactement cela une « fake new ».
    Je pense que la prochaine étape suscitée par cette peur du régime diversitaire devant la montée de ce qu’il qualifie de populisme ou de conservatisme sera d’étendre le domaine de la criminalisation de la pensée, de renoncer à convaincre et de préférer contraindre.
    Il suffit d’écouter une certaine Marlène Schiappa pour s’en convaincre.

       
    Il y a aussi notre « infogroupe » (penser global mais agir local) qui s’occupe (et m’occupe de plus en plus) de problématiques locales  et qui progresse au point que nous envisageons de nous constituer en association.

    Déjà, en 1948, George Orwell nous dit : «Celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé» C'est un des slogans les plus glaçants de 1984, son chef-d'œuvre visionnaire  .

    On s'aperçoit de plus en plus souvent, presque à chaque instant, que les mécanismes totalitaires décrit dans ce roman sont parfaitement repérables dans le fonctionnement de nos sociétés, aujourd'hui même.

    La conjuration est en marche et George Orwell finira, comme nous tous, par connaître le sort de ses personnages que le pouvoir voulait effacer, définitivement: « Des gens disparaissaient, simplement, toujours pendant la nuit. Leurs noms étaient supprimés des registres, tout souvenir de leurs actes était effacé, leur existence était niée, puis oubliée. Ils étaient abolis, rendus au néant. Vaporisés, comme on disait.»

    Nombre de NOS ami(e)s … et non des moindre ont disparus de facebook. QUI s’en préoccupe, QUI a remarqué que depuis deux mois  (avec une interruption de 5 jours) je fus également interdit ?

    Tout ce que dénonçait l’auteur britannique dans son chef d’œuvre 1984 se révèle d’une effrayante actualité.

    Comme Orwell le prédisait, le politiquement correct et sa novlangue produisent un réel officiellement certifié.

    Les dernières élections Européennes nous démontrent à quel point « Big Brother » nous tient, est en nous. C’est désespérant à dire, mais il n’y a pas de « solution de continuité » ; du moins de notre part, car « nous » ne savons même plus « QUI » nous sommes.

    Mille excuses à mes ami(e)s à qui je n’ai pu répondre et échanger. C’était l’objectif : me faire taire.

    Le plus comique dans l’histoire c’est que çà n’a servit à rien ; nous sommes revenu à la case départ après un passage en prison.

    Comme le chantait Moustaki : passe, passe le temps, il n’y en à plus pour très longtemps !      

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

     

    22 06 19