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Systémique et complexité - Page 30

  • Postures, attitudes, comportements

    L’on vit toujours au sein d’un « système », toujours plus ou moins insupportable, base de tout contrat social.

    Les deux intégrismes du monde moderne se nomment islamisme et intégrisme du marché.

    Les deux intégrismes qui nous menacent seront combattus d’autant plus efficacement qu’ils seront considérés comme les deux faces d’une même médaille.

    J’aimerais dire à ceux qui combattent « le système », que l’on vit toujours au sein d’un « système », toujours plus ou moins insupportable, base de tout contrat social. Et que si nos démocraties libérales ont pris une tournure proprement détestable que je combats à longueur de lignes, ce qu’elles nous ont permis d’accomplir dans le passé doit être préservé, à commencer par la liberté de le vouer aux gémonies.

    Que les postures hystériques masquant la forme la plus hypocrite de conservation de privilèges soient reléguées au second plan, afin que nous puissions mener les véritables combats qui nous attendent.

    Marc Rameaux

    Désormais il n’y a plus une France de gauche et une de droite, mais une France des grandes métropoles et de la mondialisation heureuse ou cohabitent cadres et immigrés et l’autre France dite périphérique des petites et moyennes villes, des zones rurales éloignées des bassins d’emplois les plus dynamiques.
    Ces classes populaires sont les sacrifiées sur l’autel d’une mondialisation communautariste et inégalitaire, aux antipodes des valeurs dont nous nous réclamons.

    Cette parodie d’élections démocratiques achevée, c’est donc sur des  bases culturelles, éthiques, morales, sur une finalité sociale « construite » hors des partis actuels que nous devons rassembler et structurer, organiser une alternative. 

    Il semble que le président Macron occulte les effets sociaux et spatiaux de la mondialisation. Il conforte ainsi le discours des classes dominantes, économiques et financières qui négligent l’intégration économique des catégories populaires et pressurisent les classes dites moyennes.
    D’autre part, il va devenir de plus en plus difficile d’aborder sereinement la question des flux migratoires et du multiculturalisme
    J’attends de voir avec une certaine angoisse ce que vont faire ces classes en cours de relégation et visées par un remplacement démographique, face à un système redistributif de moins en moins performant.

    Nous devons apprendre à être capable de penser nos sociétés dans leur globalité, comme des systèmes complexes où les dimensions écologiques, culturelles institutionnelles et techniques s’entremêlent. L’approche globale d’un contexte local est un bon mayen d’aborder la complexité, de comprendre les liens entre les différents facteurs et de se préparer à une approche à une autre échelle.

    Pour utiliser un mot à la mode dans les années 80, nos réalités sont fractales, les systèmes à petite échelle sont structurés comme des systèmes à plus grande échelle : l’apprentissage de la complexité à petite échelle est le meilleur moyen de se préparer à l’aborder à une échelle plus vaste.

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    27 06 17

  • Strasbourg résultats FN

    Andréa DIDELOT (FN)

    6,34%

    Julia ABRAHAM (FN)

    9,07%

    Diana GARNIER-LANG (FN)

    8,95% 

    Dans Strasbourg 1, le FN est sixième avec 6,34% des voix. La France insoumise est troisième (13,49%) et Elsa Schalck (LR) est quatrième 12,91% et les écologistes cinquièmes avec 7,15% des voix.

    Il faut noter que le candidat (Andréa Didelot) est un « gamin » arrogant et méprisant, parachuté d’on ne sait d’où par on ne sait qui…un « étudiant » en pharmacie qui a « remplacé » un de mes amis car la circonscription était « gagnable » pour le FN.
    Mon ami avait fait 18 % aux départementales !
    Les autres partis comme les autres candidats ne font bien entendu pas mieux et les candidats du sieur Macron ramassent la mise.
    Qui peut encore voter pour de tels partis et de tels candidats ?
    Qui peut s’étonner que l’abstention dépasse les 50 % ?
    Compte tenu de l’âge du Président et du fantastique soutien dont il dispose, nous voilà avec lui pour au moins 10 ans.
    Que faire ?

    Encore une semaine et les citoyens auront compris que c’en est fini du FN, du nom « Le PEN », du PS, de LR et de toute la clique. Il va falloir passer à autre chose !

    Cet autre chose, nous en avons déjà parlé et nous avons les uns et les autres compris que c’est sur le terrain des territoires perdus de nos valeurs, de l’identité, de la culture, de l’éducation, de la socialisation qu’il allait falloir élaborer les bases de la reconstruction et de la reconquête et cela en utilisant bien entendu la « gouvernance » qui va se mettre en place dans une semaine !

    Toute autre forme d’action  autre que civique ou civile sera bien entendu réprimée avec une extrême rigueur par le pouvoir en place. Encore une semaine de patience !

    Francis NERI
    13 06 17

    http://semanticien.blogspirit.com/

    Objectifs :

    Un des objectifs essentiels de l’IESE est de réintroduire dans la société européenne et de culture occidentale des outils sociaux conviviaux que l’on substitue à des outils industriels, économiques, financiers dépassés, inefficaces et dangereux.

    Cet objectif peut être atteint non pas par une « révolution » mais par une évolution de l’éducation et de la socialisation à partir d’attitudes, de comportements et de pratiques sociales conformes à nos valeurs et cultures qui depuis plus de 2000 ans structurent notre réalité quotidienne.

    Toute culture est basée sur des valeurs. Les nôtres ont prétention à l’universalité :

    • la liberté de disposer de son énergie personnelle et de la contrôler,
    • l’égalité des droits et des devoirs entre citoyens responsables et conscients de la nécessité d’un consensus social basée sur la justice sociale,
    • la fraternité entre ces mêmes citoyens qui reconnaissent leur interdépendance,
    • la laïcité qui permet à chacun d’exprimer ses choix personnels, en particulier cultuels, dans l’intimité de la sphère privée et celle des institutions communautaires,
    • la sécurité des personnes et des biens sans laquelle il n’est pas de société possible.      

    Soit cinq pôles qui sont appréhendés par l’approche systémique.

    Le projet : « De l’école au projet et du projet à la réalisation »

    Un projet éducatif et socialisant à mettre en œuvre sur le terrain et qui veut donner sens à un ensemble intégré : social, familial et scolaire. Les trois pôles représentatifs de l’éducation et de la socialisation.

    Les acteurs de ces pôles devront faire en sorte que notre jeunesse soit structurée par des valeurs d’autant plus respectées qu’ils sauront eux-mêmes les assumer et les mettre en œuvre pour leur propre compte, avec exemplarité. 

    Les moyens :

    Le projet IESE est axé sur le long terme car il parie sur la modification par l’éducation et la socialisation des attitudes et des comportements sociaux. Ce qui n’est pas une mince affaire dans l’état actuel de déliquescence de l’école, de la famille et de la société

    C’est un projet de plateforme qui veut donner sens et réalité structurante à un ensemble social, familial et scolaire : Les trois pôles de l’éducation et de la socialisation.

    L'idée est de développer une culture commune de l’éducation et de la socialisation chez les participants, de mutualiser nos ressources également, surtout en ces temps de rigueur.
    Ce qu'une structure ne pourra obtenir par elle-même, elle s'entendra donc avec une organisation soeur pour le partager: ici, un spécialiste de l’orient, de l’écologie, de la mondialisation libérale, de la démographie, des neurosciences, des nanotechnologies, là un expert en informatique ou encore un groupe spécialisé dans l’organisation de manifestations… etc.
    Plus personne ne bricolera dans son coin. Cette plateforme de formation aux pratiques sociales actives va démultiplier nos capacités, en favorisant, à terme, les passerelles entre organismes, y compris les services d’état, police, justice, éducation.

    L’IESE est entrée en résistance contre tout « formatage » idéologique, culturel ou cultuel qui serait en contradiction avec notre culture millénaire qu’il nous appartient de faire évoluer si nécessaire.

    Sa plateforme de formation pour l’acculturation, l’éducation et la socialisation est opérationnelle. Rejoignez nous, il est grand temps de rendre à la France ce qu’elle ne cesse de nous donner généreusement depuis de si nombreuses années.

    http://semanticien.blogspirit.com/ 

  • La revanche de Dieu

    Le moteur de l’Economie Réelle Occidentale a subi des dégâts structurels considérables. Le carburant des liquidités monétaires va continuer d’inonder le marché, procurant aux foules encore quelques années d’illusions de « richesse »  permettant aux derniers Etats providences comme la France de financer la croissance de leur endettement. 

    La « nouvelle économie »  fait que les sociétés n’ont plus besoin de faire des profits ; il leur suffit de s’endetter. La spéculation est devenue un mode de raisonnement. Les banques centrales ne contrôlent plus rien, et le pouvoir politique encore moins. 

    Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’existe pas un seul exemple ou une illusion collective ne soit pas allée jusqu’à l’effondrement final.
    Le « système » global étant hors contrôle nous y allons donc gaiement. Les politiques de transferts sociaux mises en œuvre au cours des 50 dernières années n’y résisteront pas. L’Etat va devoir accroitre considérablement ses budgets policiers et militaires pour faire face à la montée générale des tensions sociales et de l’insécurité intérieure et extérieure. Insécurité accrue par les millions d’immigrés économiques, climatiques et venant des zones de guerre qu’il ne sera plus possible d’aider par les transferts sociaux déjà restreints pour les « nationaux ».
    La crise de 29 porta Hitler au pouvoir …Celle de 2008, combinée à l’attaque Américaine sur l’Irak fit tomber les appareils d’Etat arabo-musulmans sous la coupe des intégristes islamistes. Les réseaux intégristes sont à présent fin prêts. Les fantasmagories concernant « le complot judéo-américain » ont prit possession de l’imaginaire collectif musulman…le mal est fait.
    L’occident des croisés et des juifs est le bouc émissaire utilisé par le totalitarisme islamique pour regrouper les foules autour du « djihad » la guerre sainte …et la nouvelle grande déferlante islamiste. Les soldats occidentaux doivent combattre à présent au milieu des civils en Irak, en Syrie, en Libye. Ils participent à de durs combats de rue. Les dommages collatéraux sont considérables. Des documents filmés circulent dans le monde entier et montrent des femmes et des enfants déchiquetés par le tir des armées et des armes occidentales.

    Les intégristes islamistes n’ont plus qu’à tirer les marrons du feu. La haine antioccidentale ainsi catalysée fera bifurquer l’histoire dans la direction opposée à celle prévue par les stratèges occidentaux. Ce n’est pas la démocratie qui risque de remporter la victoire, mais l’intégrisme islamiste. 

    C’est dans le contexte de la « revanche de Dieu » que la « religion » reprend vie partout dans le monde depuis le début des années 70. Un slogan fait fureur de partout, y compris au sein des citées françaises : « L’islam est la solution ». La solution à tout : la quête d’identité, de puissance et d’espoir.
    Il s’agit simplement de prendre à son compte la modernité apportée par l’Occident et de la retourner contre lui : les sciences, la technologie et son « humanisme ». Il leur faut, bien entendu, rejeter la culture occidentale en renouant avec l’islam comme guide de vie dans le monde moderne.
    Nous pouvons comparer avec la réforme protestante : une réaction à la stagnation et à la corruption des institutions en place et à la trahison des élites. L’ayatollah Khomeiny comme Calvin défend une vision plus pure et plus exigeante de la religion, prêche le travail, la soumission à Dieu, l’ordre et la discipline, et s’adresse à des populations,  dynamiques (prolifiques) …

    Le constat une fois fait, nous voyons bien que faire la guerre aux islamistes n’y suffira pas, mais que nous avons un impératif vital qui est celui de revenir à nos fondamentaux, à nos cultures, nos identités, nos héritages. Nous avons à rééduquer et resocialiser notre peuple, à redonner sens à nos vies et c’est dans ce combat que nous trouverons la force de sortir du piège que nous avons nous même fabriqué.

    Francis NERI

    09 06 17
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