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Systémique et complexité - Page 50

  • Effondrement ?

    Ce qui devrait s’effondrer est absolument gigantesque.
    Alors « on » fait quoi ?

    En gros depuis De Gaulle, les politiques expliquent à ceux qui les ont élus qu’ils ne peuvent pas faire grand chose contre les marchés financiers, la délocalisation, l’explosion du chômage et les inégalités, les guerres de religions, la dégradation de l’écologie planétaire etc.
    Ils nous ont pourtant assurés que l ‘Europe était faite pour çà, que sans elle point de salut et qu’il fallait nous abandonner à cet empire sans empereur identifié.
    Ce renoncement conduit, nous le voyons bien à la disparition de la démocratie, son implosion, sa désactivation.
    Résultat, nous ne pouvons plus élire des représentants capables de mettre en œuvre des choix collectivement décidés, de construire un projet de société.
    Nous ne sommes donc plus en démocratie et c’est finalement volontaire car nous préférons jouir du présent, nous protéger individuellement plutôt que de penser et de faire naitre un autre monde possible.
    La tentation hédoniste est trop forte, après tout, « après moi le déluge ».
    Nous sommes donc en route vers un futur dont nous n’espérons plus qu’il soit meilleur.

    C’est par la pensée systémique, par la complexité et la transdisciplinarité, en pensant autrement, en reliant les savoirs et les compétences que nous pourrons dépasser la résignation et le fatalisme actuel.

    A nous de jouer ?!

    Francis NERI
    13 06 15

  • Simple rappel !

    “La France est en train de trahir Israël, comme elle a trahi les Tchèques en 1938” (ndl: et les Polonais du 1er Septembre 39 au 10 Mai 40)

    Un peu comme elle a trahi la Tchécoslovaquie au bénéfice des Nazis, la France veut contraindre Israël à abandonner des territoires, rendant en réalité un fier service au Hamas, au Jihad islamique et à l’État islamique.

    Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, à l’intention de soumettre au Conseil de Sécurité de l’ONU une résolution proposant un cadre de négociation pour la résolution du conflit israélo-palestinien. Selon ce cadre, les lignes de 1967 deviendraient la base de négociation des frontières entre Israël et le futur État palestinien.
    En d’autres termes, Fabius, et son supérieur, le président François Hollande, veulent qu’Israël abandonne les territoires de Judée et de Samarie qui reviendraient aux Palestiniens. Le fait que le contrôle de ces territoires soit considéré comme de la plus haute importance pour la sécurité d’Israël par le gouvernement démocratiquement élu de ce pays, leur semble tout à fait négligeable.
    Ils ne font pas beaucoup d’efforts pour de trouver une solution à l’effusion de sang interminable qui se poursuit en Syrie, en Irak, en Libye, au Yémen. Ils prétendent que c’est parce qu’ils ne savent pas comment traiter ces problèmes.
    Mais en ce qui concerne le conflit israélo-palestinien, ils affirment qu’ils savent exactement quelle est la solution, et ils n’ont aucun scrupule à l’imposer à Israël. « Il est nécessaire d’aller de l’avant pour trouver une solution à ce problème, » annonce Fabius non sans grandiloquence.
    Il y a 77 ans, à Munich, le premier ministre français Édouard Daladier croyait également, en toute confiance, qu’il détenait la solution à la crise germano-tchécoslovaque qui se préparait à l’époque. Il affirma au malheureux premier ministre tchèque Édouard Bénès que la zone des Sudètes pouvait être remise à l’Allemagne, bien que le gouvernement démocratiquement élu de son pays la considérait comme essentielle pour sa défense.
    Sa position était soutenue par le ministre français des Affaires étrangères Georges Bonnet. Ils étaient en parfait accord avec Neville Chamberlain et son premier ministre, Viscount Halifax. La suite de cette tragique histoire est bien connue. On serait ravi si Hollande et Fabius réalisaient qu’ils sont en train d’emboîter le pas à Daladier et à Bonnet.
    Ils ne sont pas les seuls. A Bruxelles, les bureaucrates de l’Union européenne font actuellement tout leur possible pour promouvoir la position de Fabius auprès des autres États membres. Parmi eux, on peut même trouver la République tchèque et la Slovaquie, qui ont désormais oublié leur amère expérience du passé.
    Tout comme Chamberlain et Daladier, qui soulignaient sans cesse qu’ils avaient à cœur les meilleurs intérêts de la Tchécoslovaquie, Hollande et Fabius affirment qu’ils ont les meilleures intentions, et qu’ils ont à cœur les intérêts d’Israël. Ils sont convaincus eux aussi, qu’ils savent mieux que le peuple d’Israël ce qui est bon pour lui.
    Hollande et Fabius sont si sûrs d’eux-mêmes qu’ils refusent de comprendre que si Israël se retire de Judée et de Samarie, ce ne sera en aucune manière la fin du conflit israélo-palestinien. De nouvelles revendications hostiles à Israël seront mises sur la table par le Hamas, le Jihad islamique et toute une série d’organisations terroristes qui prétendent représenter les Palestiniens.
    Le président Mahmoud Abbas, que Hollande et Fabius pressentent comme le futur négociateur palestinien, sera probablement renversé dès qu’il ne bénéficiera plus du soutien de l’armée israélienne dans son fief. Et le vide laissé par une évacuation israélienne sera vraisemblablement rempli par le Hamas, et peut-être même par les combattants de l’État islamique qui considèrent cette zone comme faisant partie du Califat islamique qu’ils ont créé et qui a l’intention lui aussi de placer le territoire de l’État d’Israël sous son contrôle.
    Quelle glorieuse fin du conflit israélo-palestinien ce serait. Ce serait l’enfer, et à ce moment-là Hollande et Fabius admettraient probablement qu’ils n’avaient pas de solution à ce conflit. Mais le mal serait fait.
    Avant d’appeler Israël à se retirer sur les lignes d’armistice tracées par les armées israéliennes et jordaniennes en 1949, un armistice violé par la Jordanie en 1967, Hollande et Fabius seraient avisés de réfléchir encore avant d’emboîter le pas à Daladier et à Bonnet.
    Titre original : France is selling out Israel – just like itabandoned Czechs in 1938
    Auteur : Moshe Arens, ancien ministre de la Défense et des Affaires étrangères d’Israël
    Première publication: Haaretz, le 4 mai 2015 (ndl: journal de la Gauche israélienne !!!!!????)

    Traduction : Jean-Pierre Bensimon

    Un ami "facedebouc" est il intéressé par le sujet, ait envie de le porter, de le développer et d'en faire une prise de position au cours de la campagne présidentielle de 17 ...avec au passage un test aux régionales ?

    Francis NERI

  • Immigration musulmane et Europe

    Il faut remonter au début de l’immigration musulmane, voulue par le patronat et par nos dirigeants, dans les années 70 (immigration contre main d’œuvre et pétrole),  pour comprendre l’étendue de la faute commise par ces derniers.
    Faute lourde dont les peuples n’ont pas fini de payer les conséquences. Les peuples, pas leurs dirigeants à l’exemple de Valérie Giscard D’Estaing et Jacques Chirac qui eux sont au delà de toute atteinte et ne rendront jamais de comptes.  

    Ils n’ont rien, mais alors rien fait pour réussir l’intégration, sinon l’assimilation, non seulement des individus, mais surtout du “culte islamique”. Et encore moins pour en limiter la venue des adeptes sur nos territoires, sous prétexte que nous « ne voulions pas vider les poubelles à Paris » comme le chantait « innocemment » Pierre Perret.

    Bien au contraire, ils ont tout fait pour que ces derniers conservent toutes leurs singularités, considérant probablement que la concurrence entre les peuples de cultures fondamentalement différentes nous rendrait plus dociles.

    L’absence manifeste « d’insertion », dont il fallut bien se contenter, est devenue un obstacle à l’intégration des nouvelles générations de musulmans nés ici, comme celle des primo-arrivants, en compromettant dangereusement la cohésion sociale.

    Ces dirigeants sont donc responsables et coupables, tout comme leurs successeurs, de tout ce qui est advenu et adviendra de nocif pour le peuple, et ce n’est pas tout.
    Ils sont également responsables de la catastrophe, car tout est relié et en interaction, que constitue le développement d’une Europe des marchands mise au service du complexe militaro-industriel américain. Une Europe envers laquelle depuis le référendum de 2005 sur le projet constitutionnel Européen, le peuple de France a manifesté clairement son hostilité.

    Alors comment sortir de l’impasse dans laquelle ces prédateurs nous ont mis et rebrousser chemin afin d’en ouvrir un autre moins fréquenté par les « racailles » de toutes natures ?

    D’abord commençons par nous en débarrasser au plus vite, et ce par tous les moyens.
    Élisons à la place des dirigeants qui s’engagent à nous sortir du rêve Européen devenu le cauchemar des peuples et qui ne produit que du chômage.

    Ensuite, nous pourrons régler le problème de l’immigration Musulmane et Africaine qui ne peut produire que des guerres civiles.

    Alors, si rien ne se passe d’ici là, en 2017 nous avons une nouvelle occasion de prendre conscience que ce monde dangereux EST de leur création comme le montre la situation Libyenne et que nous ne sommes plus à l’abri, car cette situation peut devenir très vite la notre.

    Pensons y constamment, sachons distinguer dans le « bruit » médiatique le « parler vrai » et dans les projets de gouvernance qui nous sont soumis ceux qui portent NOS intérêts et pas ceux des « marchands du temple ».

    Francis NERI
    27 05 15