Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

régulation - Page 2

  • Etat providence quelles frontières ?

    Démographie.jpgLes citoyens européens sont très attachés à leurs systèmes de protection sociale, et reprochent à l'Europe de ne pas se préoccuper assez de social
    Il convient de  faire le point sur les relations entre politiques sociales et intégration européenne, et analyser dans quelle mesure la construction européenne a remis en cause les frontières et la nature même des États providence nationaux.

    L'État providence s'est construit à partir de la délimitation d'une frontière nationale qui détermine qui peut être bénéficiaire de droits sociaux et qui ne le peut pas. Or la construction européenne a contribué à brouiller ces frontières nationales, et à remettre ainsi en cause l’un des fondements de l’État providence, sans parvenir pour autant à définir au niveau européen de nouveaux droits sociaux.

    Étudier les relations entre citoyenneté sociale et citoyenneté européenne, entre la crise de l’État providence et la construction européenne, les problèmes liés à l’immigration incontrôlée, permet de mieux comprendre le système de gouvernement à plusieurs niveaux qui s’est mit en place en Europe en matière de politiques sociales.

    Deux sujets provoquent de nos jours des émotions très fortes : le maintien ou la réforme de l’État-providence et la question des migrants.
    Dans notre pays, les deux sont associés à la question de notre identité et, dès lors, difficiles à aborder uniquement par le biais d’une argumentation rationnelle, chiffrée et factuelle.
    Comme si cela ne suffisait pas, les deux peuvent être fort liés, accroissant ainsi la complexité du débat.

    Au cœur de ce débat, on constate parfois une forme d’alliance entre des positions anti-migrations et le souhait de préserver notre système social : les migrants seraient un poids trop lourd pour lui, et le mettraient en danger, par exemple en pesant davantage sur les prestations familiales car ils tendent à avoir plus d’enfants que les familles installées de longue date.

    Par ailleurs, notre État-providence a atteint la limite de ce qui est finançable et durable ; y ajouter à ce stade davantage de charges et de déséquilibres nous précipite dans une crise de plus en plus profonde.

    Dès lors, en réponse à ces deux questions une approche pertinente serait d’interroger l’accès à notre État-providence à tout nouvel arrivant.

    La question est extrêmement sulfureuse dans l’état actuel du débat politique, car elle se résume en deux mots : préférence nationale.
    Mais derrière cette question s’en cache une autre : est-il réellement pertinent d’être favorable au maintien de notre système social ?
    Autrement dit, est-il profitable pour les individus et peut on réserver notre système social à des individus sélectionnés et selon quels critères ?

    L'immigration constitue aujourd'hui une préoccupation centrale des électorats occidentaux. Bon gré mal gré, les forces politiques tâchant d'attirer leurs suffrages ont dû se positionner sur la question. L'exclusion de ce thème lors du grand débat national suffit toutefois à démontrer le malaise que continue de susciter son évocation. Dans un rapport récent intitulé «Immigration et préférences pour la redistribution en Europe», l'IZA (un institut de recherche allemand spécialisé dans l'économie du travail) est parvenu à établir que le rejet de l'État-providence est plus élevé dans les régions où les immigrants se trouvent en plus grand nombre.

    Il n’y a pas à hésiter il faut stopper l’immigration pendant au moins 5 ans et ensuite, la réguler et la contrôler Afin de recevoir chez nous ceux que nous souhaitons recevoir et rien d’autre !

    05 08 21

    Francis-Claude Neri
    Cygne Noir
    www.facebook.com/groups/horizon2022/

     

  • Régulation démographique

    Régulation démographique

    À défaut d’une régulation démographique urgente de portée planétaire, la prolifération de l’espèce humaine conduira inéluctablement à des réactions sociétales d’une ampleur et d’une violence sans précédents.

    Les crises qui se succèdent, les évènements actuels, la poussée islamique, comme les revendications les plus contradictoires exprimées par la foule partout dans le monde n’en sont que les prémices.

    Démonstration s’il en est que la révolte, pour aussi justifiable qu'elle soit, n’apporte de changement qu’en haut de la pyramide, où se joue une partie de chaises musicales, un pouvoir chassant l’autre.

    Mouvante mais impérissable, la pyramide sociale demeure la même et la masse qui l’habite et croît sans cesse ne fait, à quelques exceptions près, que changer de maîtres ou s’en donne l’impression fugace.

    À défaut de sciences humaines défaillantes, par aveuglement ou calcul, le bon sens et l’observation suffisent pour aboutir à un tel constat.
    La question du comment de cette régulation se pose…il y a des réponses et elles ne peuvent être, dans le contexte actuel, que locales.
    Commençons par sortir de L’UE !

    Francis-Claude Neri
    www.facebook.com/groups/horizon2022/

    http://www.cygnenoir.ovh/

  • Islam deux poids deux mesure ?

    Les occidentaux ont ils un problème avec l’islam ou est ce lui qui a un  problème avec les occidentaux ?
    A l’évidence c’est la seconde branche de l’alternative qui est la bonne. Alors pour quelles raisons serait-ce un crime en occident que de critiquer l’islam comme nous le ferions pour d’autres religions ?
    L’affaire des caricatures nous a démontré qu’il ne fait pas bon de critiquer Mahomet et encore, moins de la caricaturer.
    Le dessin ayant le plus choqué est celui où le turban de Mahomet a été remplacé par une bombe ; arme qui est utilisée par les djihadistes qui se réclament de son enseignement.
    Le problème de la religion musulmane aujourd’hui n’est pas celui de son temps (leVII e siècle) Pour Médine c’était fort « progressiste ».
    Avec le monde contemporain, c’est autre chose et en particulier le fait qu’à partir du XIIe siècle, l’interprétation (l’ijtihad) a été gelée en Islam, bloquant de fait toute réforme.
    Si depuis la Saint-Barthélemy, la religion catholique n’avait pas été réformée en profondeur, elle se serait éteinte en occident.

    Nous voyons bien que les foules musulmanes sont manipulées par des prêcheurs fanatiques et intéressés. Mais au delà des ces manipulations, il existe un fossé culturel extrêmement profond qui se révèle constamment a travers les manifestations hostiles du monde arabo-musulman envers le fonctionnement des sociétés occidentales.
    Ces manifestations sont elles admissibles lorsqu’elles se produisent en France ? Est-il admissible que des musulmans viennent en France massacrer des Français parce que ces Français ne voient pas le monde avec leurs yeux ?
    Au cours de ces quatre décennies passées, la France s’est fait remarquer par une grande générosité dans l’accueil des arabo- musulmans chassés de leurs pays en guerre.
    Si l’ignorance peut expliquer les « mouvements » de foules contre la France dans un pays musulman, on ne peut accepter leur « liberté de manifester et d’assassiner » sur le sol de France.
    Si des musulmans de France, ou en France, ont tellement en horreur les valeurs occidentales de liberté et de laïcité, pourquoi ne leur vient il pas à l’idée d’aller vivre au Qatar ou en Arabie Saoudite ?
    Les a t’on vus descendre dans la rue pour exprimer leur rejet de la « pensée Ben Laden » toujours présente dans NOS cités de non droit ?!
    Les a t’ont entendu protester de l’assassinant d’un opposant dans l’ambassade d’Arabie Saoudite ?
    N’y a t’il pas, en Islam, deux poids, deux mesures dans l’indignation ?

    En France, le droit d’asile politique, héritage des lumières, a été détourné car il est entendu que le demandeur d’asile devait partager les valeurs fondamentales du pays dans lequel il veut habiter.

    Loin de les partager, la plupart les ont rejetés et comme nous avons eu la sottise de leur accorder la nationalité française, eux et leurs enfants retournent ces valeurs contre nous.
    Il est clair en outre que les dirigeants Français comme Européens doivent savoir les défendre eux mêmes sans concession.
    Il est grand temps de faire un choix et les imposer ces valeurs ; ne choisissons plus le déshonneur des concessions pour éviter la guerre, car nous aurons au final le déshonneur et la guerre.
    C’est ce que nous invite à faire Eric Zemmour, alors pour cela choisissons le comme Président en 2022.  
    06 07 21

    Cygne Noir
    Francis-Claude Neri
    http://www.cygnenoir.ovh/

    www.facebook.com/groups/horizon2022/