Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le systémicien - Page 162

  • Race, mémoire, identité, culture.

    Il ne fait guère de doute que ces débats sur la race, la mémoire, l’identité, la culture, l’économie, la finance, l’Europe et la Mondialisation vont nous occuper un bon moment, surtout si le pouvoir politique, les institutions comme les médias, les arts ou l’école continuent d’alimenter un discours à la fois victimisant (pour les minorités visibles) culpabilisateur (pour la population de souche et la France périphérique) et valorisant (pour les minorités « gagnantes de la mondialisation » comme Jacques Attali.)
    Deux événements, en particulier, ont porté de rudes coups : la crise financière de 2008 et la crise migratoire de 2015. Ces deux événements ont montré que les partis de gauche comme de droite ont des logiciels inadaptés pour affronter les défis contemporains : que faire face à la mondialisation et à la financiarisation de l’économie ? Quelles réponses apporter aux flux migratoires et à l’explosion démographique qui s’annonce en Afrique ? Faut-il continuer à accroître la diversité des sociétés occidentales ?
    La gauche comme la droite ne proposent pas de réponses, voire proposent des réponses contradictoires (en disant par exemple qu’il est impossible de réguler et de contrôler la finance, comme il est impossible de contrôler et de réguler l’immigration, (quitte d’ailleurs à s’insurger contre les gouvernements qui ferment leurs frontières).
    C’est évidemment sur cette crise des partis, des appareils et des institutions, sur leur impuissance et leur incompétence que prospère la colère des peuples.
    Les électorats ont tendance à se braquer, et pas seulement en Europe de l’est. Les électeurs demandent de revenir vers les fondamentaux : l’autorité, la sécurité, l’identité nationale, les valeurs, vivre et travailler au pays.

    Pour les partis dits de gouvernement, ces demandes sonnent comme un désaveu, mais elles provoquent surtout un rejet encore plus fort de la démocratie : à quoi bon voter si c’est pour avoir toujours les mêmes que l’on ne veut plus depuis longtemps, qui bradent la France aux plus offrants, et qui ne savent faire que toujours plus de la même chose ?
    Cette situation devrait avoir pour effet de radicaliser les citoyens qui ne veulent plus être accusés d’islamophobes, de privilégiés, de mécréants ou de racistes.
    Pour se faire entendre, ceux-ci vont être amenés à manifester toujours plus leur désapprobation, à expliquer par exemple que l’oppression des femmes n’a jamais été aussi forte, que les minorités ont prit le pouvoir et provoquent le chaos, que les Français de souche sont victimes d’un terrible racisme anti blanc, que la France se couvre de mosquées salafistes qui menacent notre sécurité et veulent nous remplacer, que l’invasion migratoire des arabo-musulmans et des noirs africains ne fait que commencer.

    Il apparait donc nettement qu’il manque clairement un discours de la part du politique et des médias qui soit lucide et objectif sur l’état du pays, sur les causes des problèmes, sur la situation de l’Europe etc.
    Il me semble qu’ils ne le veulent pas…je ne suis donc pas optimiste ! Nous verrons bien en octobre et au Bataclan d’où, à présent, souffle le vent, du peuple ou de l’oligarchie …
    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/
    24 08 18

  • Marion Marechal ISSEP

    A l'évidence "certains" commencent à comprendre que la remise en ligne de la colonne vertébrale de l'Europe "Identité, mémoire et culture" acte le commencement de la "Reconquista"

    Ils ont raison de s'inquiéter: la défaite de la pensée et la trahison des clercs c'est terminé...

    Le 19 octobre, au Bataclan nous avons le contexte ...il nous faut l'exploiter ....Medine n'est pas de notre culture et ne le sera jamais ...Marion Maréchal AVEC nous au Bataclan !

     

    mardi 21 août 2018

    “On a pissé sur ton école” : l’ISSEP de Marion Maréchal tagué à Lyon

    Depuis que l'adresse de l'ISSEP a été révélée à l'occasion d'une conférence de presse, Marion Maréchal devait s'attendre à des actions coups-de-poing de ses détracteurs.


    Or, ce lundi, c'est un tag potache non revendiqué qui ornait la façade de l'ISSEP rue Denuzière dans le 2e arrondissement. Le premier recensé dans l'histoire de l'école qui ouvrira ses portes à ses étudiants en septembre.

    "On a pissé sur ton école Marion" est ainsi inscrit en violet sur la vitre de l'ISSEP. Et la délicate attention est signée : "Un Français, un vrai".

    La prochaine journée portes-ouvertes de l'ISSEP est prévue le 29 août. D'ici là, le tag aura probablement été retiré.

    [...]

    Source: lyonmag.com

     

  • Les gens bien quelque part

    Il y a une opposition de plus en plus franche entre les gens qui sont bien partout et considèrent les états nations comme des start up qu’on doit regrouper en grands groupes avec open space communs à tous, et les gens bien quelque part qui ont un attachement charnel à leurs terres, leurs paysages, leurs traditions.

    Les gens bien partout ont de l’argent et veulent des services à moindre coûts partout et œuvrent pour une politique migratoire folle pour faire baisser les prix de production et avoir des « esclaves » bon marché qu’ils mettent en concurrence avec les gens bien quelque part.

    C’est un combat entre technocratie et démocratie.
    Le peuple est rance, il a la lèpre, il vote mal, il faut le rééduquer ou le diaboliser et s’il vote mal, il faut revoter à sa place via un parlement félon qui ne représente plus ce peuple en raison des mécanismes électoraux et les découpages représentatifs.

    Pour ces technocrates, nous sommes de la matière organique indifférenciée et peu importe que d’un point de vue anthropologique, nous puissions être porteurs d’une civilisation, d’une culture.

    Si le hijab et le halal vendent bien, il faut donc favoriser l’immigration musulmane puisque c’est un marché porteur.
    Dans le même temps, on s’arrange pour tuer socialement quiconque ose critiquer les dogmes liberticides de l’islam.
    Et on s’arrange pour faire du lobbying au niveau européen pour faire évoluer les programmes scolaires afin qu’ils présentent l’islam, non pas d’un point de vue historico critique, mais d’un point de vue apologétique dans le cadre d’un haut partenariat a l’ONU avec l’alliance des civilisations, Think Thank pro islamiste maquillé en fondation favorable à des échanges culturels...

    David Duquesne

    Pour un DRH, un people, c'est juste +1 dans une colonne. Le reste, il s'en fout, ce n'est pas pour lui.

    Fritz Helmut Dabber

    La Grande Bretagne qu’on présente comme un pays multiculturaliste ne l’a jamais été durant toute son histoire, c’est une politique du fait accompli qui s’est mise en place à partir de 1948, au moment des indépendances de ses colonies.

    Entre le dixième siècle et 1948, il n’y eut que deux vagues d’apports migratoires importantes.
    Des normands restés sur l’île suite aux attaques incessantes des vikings.
    Et les huguenots français qui fuirent la France au quinzième siècle, qui étaient au nombre de 20 000 et mirent deux siècles à s’intégrer malgré la proximité culturelle et religieuse.

    Depuis 1948, l’immigration augmente de façon exponentielle et c’est chaque année, l’équivalent d’une ville de Liverpool qu’il faut accueillir.
    Aujourd’hui les personnes d’origine insulaire sont devenus minoritaires à Londres.
    Les blancs ne représentent que 44% de la population londonienne.
    De mémoire sur 43 comtés londoniens, 33 voient les blancs minoritaires.
    Cela aboutit à l’élection d’un maire musulman ayant défendu des terroristes et islamistes en tant qu’avocat.
    Cela change la nature de la société londonienne avec un record des attaques criminelles, notamment les attaques au couteau et au jet d’acide.
    On peut maintenant assister au spectacle surréaliste de milliers de musulmans qui prient au pied de Big Ben et appellent à tuer les mécréants, à faire le djihâd.

    J’ai rencontré des hauts fonctionnaires français et sur l’immigration, ils ont en privé donné des chiffres qui interpellent.
    25% des français sont issus de l’immigration dite de regroupement familial.
    En 2017, nous avons délivré 270 000 titres de séjour, 40 000 titres de réfugiés politiques, et entre 30 000 et 80 000 clandestins sont entrés en France.

    Les trois quart des personnes entrées en France sont des extra européens, subsahariens et nord africains.

    Certains vous parleront de solde migratoire et avanceront les 100 000 qui quittent la France, ce sont essentiellement des personnes d’origine européenne.

    On assiste véritablement à un remplacement de populations avec ce que cela suppose de normes socioculturelles importées qui prennent le dessus sur les normes habituelles.
    Dans ce phénomène massif, il est vain de parler d’intégration puisque celle ci ne peut fonctionner que par imprégnation culturelle.
    L’imprégnation ne peut être efficace que par une majorité culturelle historique qui donne l’exemple.
    Les comportements tribaux et claniques des immigrés et de beaucoup de leurs descendants sont une fin de non recevoir à notre culture et nos normes.

    L’école ne peut agir qu’à la marge et cela devient impossible dans les 600 quartiers où la majorité culturelle est « exotique », ce sont les autochtones qui s’adaptent à la nouvelle culture.

    Cela a des conséquences dramatiques sur l’évolution de notre pays en matière d’égalité hommes femmes, liberté de conscience, rapport à l’altérité (les juifs quittent certains quartiers, mais avant cela les femmes ont été livrées à des comportements prédateurs et aux islamistes, des français de souche ont fuit ces quartiers car subissaient l’exotisme que les donneurs de leçons, les gens biens ne vivaient pas).

    Ensuite on aura beau créer des associations laïques pour être les perroquets d’une loi de 1905 censée tout régler, les petits musulmans de 2018 ne sont pas les petits cathos de 1905.

    Il y a une rupture culturelle, religieuse, historique et géographique.

    David Duquesne

    Si chacun fait suivre ce texte à dix personnes, en dix jours, toute la France ou presque est au courant.

    Fritz Helmut Dabber

    C’est parti …on partage !

    Francis-claude Neri

    21 08 18