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Le grand remplacement - Page 38

  • L’Islam n'a pas d'Histoire

    Ce qu'il faut affirmer, et ce n'est pas un prosélytisme gratuit, c'est, qu'avant toute donnée d'humanisme, quand un homme, ou une femme, n'est ni un partisan religieux ni un partisan politique monocorde et autosuggestionné, quel qu'il soit, il devient intelligent et c'est alors sa conscience qui parle et non sa peur. et cela vaut pour toutes les couleurs de pensées, toutes les couleurs de peau.

    L’Islam n'a pas d'Histoire, il se récite. Il se perpétue sans avancer, sans progresser, l'Islam est un glaçon perpétuel. l'Islam pense que n'ayant pas d'Histoire il peut effacer celle des autres en mettant des lettres arabiques de 8 métres de haut et des citations de sa propre prose. l'Islam est une non-culture car , de prime constat, il a été promulgué par des sans-cultures pour des analphabètes. Il ne pouvait être ni perspicace ni philosophe.

    L'Islam ressemble aux gens habillés et vêtus qui hurlent contre l'infâmie des nudistes en oubliant qu'ils sont aussi, nus, eux, dessous leurs vêtements .

    On n'efface pas le corps humain en lui posant des textiles sur la peau.
    On efface pas Constantinople en posant des minarets autour d'une cathédrale.
    On efface pas le judaïsme en voulant effacer Sion tout comme Athènes n'a pas effacé Socrate en voulant le mettre hors les murs. Tout comme on n’efface pas le nazisme avec un Nuremberg.

    Lorsque l'homme ne cite pas les raisons fondées du bien ou du mal, il ne fait que le proroger.

    Jean-Luc de Cabrières 

    18 03 17

     

  • Non, la bête n’est pas morte !

    Elle est blessée et si elle se réfugia ces derniers jours à l’ombre des fourrées pour remettre lentement ses idées et sa réflexion en ordre de marche, c’était pour nourrir son fiel : percluse de douleur, elle va foncer la bête, défoncer les barrières et faire rendre gorge à l’imprudent promeneur perdu dans ses divagations normées et convenues, et privées de tout éclair de bon sens dans la contrition culpabilisante et la soumission la plus abjecte du repenti à tous les espoirs de vie. L’armoire d’Albert Camus est grande ouverte, et le linge malencontreusement déplié. Les spores se réveillent, dans la moiteur de cette petite inhumanité grouillante et prospère. Ils verdissent le linge blanc et propagent de nouveau urbi et orbi, comme l’œuvre d’une malédiction, le croissant de l’éternelle soumission aux faibles et aux laquais selon un rite à l’itération inquiétante qui depuis soixante ans transforme les valises en cercueils.

    Est-ce un grand remplacement ? Non Monsieur Renaud Camus, c’est une épidémie ! Saprophytes – et comment- ça parasite et ça remplace le bon sang ces petites choses là, on n’en vient pas à bout comme ça…
    Ça vous gonfle le bubon ce truc ! Cela dit, la purulence acceptée demeurera toujours celle assumée, et une bonne fièvre, nous nous en persuadons, ne peut être que le petit rhume qui masquera finalement le bubon vert que nous ne saurions voir, tant notre maladie se doit d’être bénigne. Les docteurs nous l’ont dit, nous n’avons rien à craindre, nous ne souffrons de rien et tout va bien dans le meilleur des mondes. Et il arrivera bien un jour où Yersinia pestis redeviendra spores, alors, ils attendront quelques décennies avant de ressusciter leurs petites faux, et on sera avec eux cette fois-ci, coincés dans une pile de linge, en attendant le clairon mobilisateur de la peste verte.

    Aujourd’hui, on appelle « immonde » la bête qui veut seulement vivre et protéger les siens. Quelle drôle d’époque ! Charles De Foucauld se rassasia du désert mais je n’ai pas osé créer mon désert intérieur car sa contemplation m’aurait figé dans le nihilisme le plus mortifère. Il faut donc que je combatte, croise le fer et dénonce cette méchante mélancolie qui finit par nous gagner tous et immobilise les meilleures volontés dans la sidération du « plus rien ne sera plus jamais comme avant », comme si cet « après » n’était pas en fait, la conséquence des « avants » vautrés dans la compromission.

    Finalement, je ne me résignerai pas.

    Patrick Escudie

    17 03 17

  • Geert Wilders la victoire des idées

    Saluons la victoire de Geert Wilders et, encore une fois, la défaite des sondeurs d’opinion qui le donnaient vainqueur au score.
    Décidément ces analystes et ces prévisionnistes ne comprennent rien à rien, ou alors ils ne veulent pas comprendre
    Non seulement Wilders a progressé en voix, mais ses idées, nos idées, sur l’islam et l’islamisation, sur l’UE, sur l’Euro ont progressées également. La preuve son adversaire se maintient tout simplement parce qu’il les a en grande partie adoptées.
    C’est d’ailleurs exactement ce qui se passe en France avec l’équipe Fillon « l’insoumis » écoutons ce que nous dit Laurent Wauquiez qui cible Macron :
    « Son programme, c’est son ADN politique. Il vient de la gauche libérale-libertaire …il croit que la liberté et les droits individuel sont les valeurs cardinales de notre monde moderne…
    L’autorité, la règle, la famille les FRONTIÈRES, la NATION, sont pour lui des mots barbares, dont il faut déconstruire-entendez détruire- les derniers vestiges…
    Cette idéologie règne dans les sphères du pouvoir de gauche depuis 30 ans (moi je dirais de gauche et de droite depuis VGE)
    C’est elle qui a détruit l’école de la République. C’est elle qui a nourri le communautarisme. C’est elle qui a désarmée la nation face au terrorisme et à l’islamisme.
    C’est elle qui veut arracher chaque homme et chaque femme à ses racines.
    Elle imbibe les esprits des biens pensants…ces gens là déconstruisent comme ils respirent …
    Ils veulent faire ressembler la France à leur sinistre utopie : un monde de consommateurs nomades et interchangeables, un monde sans ancrage, sans histoire, sans limites…
    La France de Macron s’ouvre à toutes les migrations et à toutes les revendications. Elle se repent de toute son histoire, de toutes ses actions, de tout son héritage. Elle se soumet à toutes
    les multinationales, à toutes les places financières, à tous les vents commerciaux. Elle s’écrase devant la liberté des délinquants, des islamistes et des terroristes …."
    Il conclut en appelant à la résistance et que la France à besoin de la droite …la sienne bien entendu !
    Bref lui aussi, comme ses prédécesseurs et en particulier Sarkozy, veut récupérer les voix des patriotes qui soutiennent Marine.
    Comme lui, et son karcher, il n’a bien entendu qu’un seul objectif : parvenir au pouvoir et faire à quelques variantes près exactement ce qu’il reproche à son adversaire.

    Nous ne serons pas dupes ! Alors saluons la victoire idéologique absolue de notre ami Geert Wilders. Et admirons la manière dont il fera appliquer l’essentiel de SON programme à son adversaire qui sans lui n’a aucune chance d’exercer le pouvoir.

    Francis-claude Neri
    16 03 17