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Le grand remplacement - Page 35

  • Des crises synchrones

    Pour aider la compréhension des phénomènes qui nous précipitent vers l'affrontement et l'effondrement de nos structures politiques, économiques, sociales etc. et qui nous poussent à NOUS prendre en main au delà des partis et des institutions incapables de se situer au niveau de l'enjeu, il me faut rappeler ceci :

    La mise en lumière d'une crise globale et de grands désordres qu’elles engendrent  s'accélère depuis une trentaine d'années avec une ampleur et une vitesse tout à fait inédites.
    Il nous faut prendre acte de l’impuissance et de l’incompétence de nos gouvernements successifs à y faire face.

    Nous en supportons à présent les conséquences, notamment une forte régression de la démocratie. A la base la colère gronde et l’explosion est proche.

    Nous savons aussi que les désastres annoncés sont généralement les meilleurs avocats des changements radicaux. Et nous en avons bien entendu rédigé le scénario.

    Cinq crises synchrones menacent l’ordre établi par la société globalisée :

    • Crise énergétique, facteur critique dans le maintien de la société.
    • Crise économique et financière provoquant une instabilité économique plus grande, des migrations économiques et climatiques, et d’immenses écarts de revenus entre pays riches et pays pauvres et au sein de ces pays.
    • Crise démographique, due aux différences de taux de croissance des populations entre les pays riches et pauvres, aggravée par l’expansion des mégapoles.
    • Crise environnementale due aux dégâts de plus en plus importants causés à l’écosystème global.
    • Crise climatique due notamment aux changements dans la composition de l’atmosphère terrestre.

    Ces crises s’accumulent et sont accélérées par trois facteurs multiplicateurs : la connectivité du monde globalisé, le potentiel létal croissant des groupes et états terroristes et les migrations.

    Nous allons vers un "tremblement de terre sociétal global". En identifiant ces crises pour ce qu’elles sont et en observant leurs effets cumulatifs, nous pouvons prendre les mesures nécessaires pour contenir la crise globale localement (agir local, penser global).

    • Choisir d’être les gagnants de la mondialisation (éviter les révolutions, les guerres civiles)
    • Se dégager du système économico-financier spécifique à l’Euro et retrouver l’autonomie de l’Etat souverain (prévoir la déconfiture de l’Europe).
    • Réguler et contrôler la démographie, l’immigration.
    • Se désengager des guerres conduites par l’Occident au Moyen Orient et en Afrique et recentrer nos troupes sur la lutte anti terroristes.
    • Avoir une vision d’ensemble du futur ; si effondrement il y a nous nous effondreront de l’intérieur (comparaison avec l’empire Romain). C’est donc en premier la maitrise de nos ressources intérieures et sur nos valeurs que nous devons nous appuyer pour échapper aux effets les plus destructeurs des « crises synchrones ».

    Compte tenu de la défection de nos élites c’est au peuple de France à se prendre en main. Et d’imposer à ceux qui voudront le représenter SON projet de société.

    C’est l’objectif de nos info-groupes.    

    Francis-claude Neri

    07 09 17

  • Marine le Pen

    Un de mes amis me demande avec insistance(s) pour quelles raisons je ne soutiens plus Marine le Pen.

    Un extrait de l’un de mes billets !

    « Si elle veut éviter des résultats décevants, sinon catastrophiques, à l’élection présidentielle, Marine Le Pen serait bien inspirée de prendre en compte les clignotants qui s’allument. De revenir aux fondamentaux de ses électeurs : l’identité, l’arrêt de l’immigration, la lutte contre l’islamisation, la défense des valeurs.
    Elle devrait rééquilibrer et modifier profondément sa communication (et virer ses communicants) cette dernière est un vrai désastre…c’est ce que nous lui expliquons dans une clé USB que nous avons tenté de lui remettre mais sans succès, ainsi qu’un ouvrage qui va dans ce sens de Lucien Oulahbib.
    Nous avons reçu un meilleur accueil de la part de Marion qui a, au moins, accepté la clé USB au cours de la "réunion" de Oz ta droite ».
    J’estime pour ma part que Marine et son équipe ont perdu le contact avec sa base, qu’elle est isolée et que c’est nous qui paierons la facture......"

    Que l’on ne me parle plus de ces apprentis sorciers qui, comme les autres, se moquent du peuple de France, de ses aspirations et de ses besoins et ne sont intéressés que par leurs intérêts personnels

    Francis-claude Neri
    13 08 17

    Pour avis :Lucien Oulahbib, Jean-Pierre d'Aigremont, Eric Gautier, Patrick Escudie, Françis Fratre, Dominic Massoubre Gillet, Manon Heitz, Gérard Nozarb, Jean Luc Potier, Alain Persat, François Paganel, Paul Abysses Compe etc.

  • L’évitement

    Plusieurs décennies de recomposition économiques et sociales, de contraintes sociales et financières, de pratiques d’ évitement social et culturel entre les catégories populaires, moyennes et les couches supérieurs ont eu raison de la folle idée du « vivre ensemble ».
    Le développement séparé est de mise mais seulement pour les couches sociales supérieures. En fait se dessine à présent les contours de trois ensembles sociaux culturels et résidentiels affectés chacun à des zones territoriales.

    - Couches supérieures
    - Couches moyennes et populaires
    - Couches issue de l’immigration

    L’entre soi culturel; cultuel, éthique, intellectuel, l’appariement sélectif, permettent encore de faire baisser les tensions en réduisant les territoires de contact.
    Mais çà, ne va pas durer ! Viendra très bientôt un moment ou ceux des catégories moyennes et populaires qui voudront fuir les quartiers sensibles en expansion pour rejoindre des territoires « attractifs » plus compatibles culturellement et plus sécurisés ne le pourront plus.
    D’une part en raison d’une logique financière de plus en plus élevée au sein de ces « isolats », du manque d’accommodement à la « culture mondialiste » et à ses emplois le plus souvent tertiaires, et d’autre part, d’une hostilité de plus en plus affichée par les classes aisées, ne voulant pas d’une cohabitation, en particulier avec le « populaire » serait il « souchien » et apparemment culturellement compatible.

    Les classes populaires et moyennes, le « peuple », de plus en plus en rupture d’emplois et abandonnées par les classes supérieures dirigeantes, politiques, médiatiques, économico-financières n’auront pas d’autres choix …que de se prendre en main !
    Elles vont, si elles ne réagissent pas, se retrouver immanquablement acculées soit à la cohabitation avec la culture islamiste, c’est à dire à la soumission culturelle et cultuelle, soit à la reconstruction identitaire, culturelle, cultuelle et à l’insurrection civique et civile en se retournant principalement contre ses élites.

    La « reconstruction » viendra donc par le bas. Alors je salue « bien bas » nombre de nos amis qui justement faisant partie de cette classe moyenne aisée, profitant d’un appariement sélectif confortablement sécurisé, ont compris qu’ils devaient, pour leur salut futur, combattre avec ceux des classes populaires et moyennes au « contact » avec une culture hostile et envahissante et qui sont, comme l’est Israël, un rempart du monde occidental et une avant garde.
    Ils ont le devoir et l’intelligence de les aider à résister sur place à « l’envahisseur » à la fois globaliste, multi-culturaliste et islamiste

    L’objectif des « infogroupes » est de s’y préparer !

    Francis-claude Neri

    09 08 17