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Migrants - Page 5

  • La révolution islamiste

    A ce propos, il n'est pas inutile de rappeler ceux d'André Malraux, que certain ici connaissent très bien: André Malraux (le 3 juin 1956, paru dans l'hebdomadaire américain Time) :

    « C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine.

    Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. À l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile.

    Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’État. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe.

    Quand je dis “musulmane” je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps.

    Actuellement, il est trop tard !

    Les “misérables” ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d'eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. (Note: Nous dirions aujourd'hui l'avenir de la Oumma)

    L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution ».

    Yves Chauvel

    30 09 21

  • Peut-on sauver l’UE ?

    Je ne puis que penser que certains ont essayé….il y eut la Gréce, puis l’Italie. En fait ils voulaient la sauver de ces atermoiements sur deux aspects : la crise économique et la crise migratoire. C’est un fiasco total. Et depuis la crise sanitaire, c’est confirmé l’UE doit céder la place à une nouvelle Europe des Nations libres et souveraines.
    Et pourtant l’Italie a faillit réussir. Mais voilà, ils ont eu la peau de Salvini et tout à continué comme si de rien n’était.
    Le patron de la ligue avait pourtant le sens de la formule qui fait mouche. Ce n’est pas un hasard s’il avait choisi le poste de ministre de l’intérieur laissant à ses alliés du mouvement M5S les ministères sociaux. A ce poste on pouvait encore montrer qu’un Etat déterminé a les moyens d’agir. Encore faut il qu’il le soit !

    Le Président de la République Italienne et les milieux « Européens » de Bruxelles avaient sous la pression de la rue, renoncés à empêcher une majorité « populiste » de gouverner. C’est comme si en France nous avions portés au pouvoir MLP !
    C’était à Salvini de jouer. D’abord parce que comme Eric Zemmour aujourd’hui en France, l’immigration fut le thème qui le porta au pouvoir. Ensuite parce qu’il dut montrer qu’il pouvait expulser massivement les clandestins (il avait promis 500 000 renvois) et arrêter la déferlante migratoire sur les côtes italiennes.
    Salvini s’en pris donc aux ONG qui, sous couvert d’humanisme, sont les complices des passeurs.  Il voulut utiliser la marine italienne non pour sauver des migrants, mais pour les arrêter, voir détruire leurs barques. Il dut enfin tenir tête aux juges européens qui ne manquèrent pas de dénoncer des pratiques contraires aux « droits de l’homme »
    Il essaya bien de faire pression sur les pays de l’autre coté de la Méditerranée, - Tunisie, Maroc, Algérie et au delà les autres pays d’Afrique pour qu’ils reprennent leurs ressortissants ; en vain.
    Au temps de Ben Ali en Tunisie et de Kadhafi en Lybie, ces pays bloquaient leurs migrants pour qu’ils ne se déversent pas sur l’Europe - preuve que c’est possible aujourd’hui encore puisque la Turquie le fait moyennant finance.
    Nous croyons Toujours en France que l’immigration est un phénomène que l’on ne peut maitriser, une sorte de fatalité que l’on doit subir, c’est faux ! Les mouvements migratoires sont une guerre qu’on veut gagner ou qu’on accepte de perdre.
    Macron et les dirigeants actuels de l’Europe de Bruxelles répètent que chacun nation ne peut rien faire seule et que la question migratoire ne pourra être résolue qu’ensemble C’est exactement l’inverse.

    Ensemble les Européens de Bruxelles ont prouvé qu’ils ne font rien. Et c’est bien la raison pour laquelle ils ont remplacé Salvini une fois ce dernier isolé, ostracisé et remercié par les complices italiens de l’UE.
    Notre ami Eric Zemmour va axer sa candidature sur trois grands projets et l’immigration est le projet n°1.
    Ne faisons pas en sorte qu’il subisse le sort de Salvini.  

    01 09 21

    Francis-claude Neri

    Cygne Noir

    www.facebook.com/groups/horizon2022/

     

  • Etat providence quelles frontières ?

    Démographie.jpgLes citoyens européens sont très attachés à leurs systèmes de protection sociale, et reprochent à l'Europe de ne pas se préoccuper assez de social
    Il convient de  faire le point sur les relations entre politiques sociales et intégration européenne, et analyser dans quelle mesure la construction européenne a remis en cause les frontières et la nature même des États providence nationaux.

    L'État providence s'est construit à partir de la délimitation d'une frontière nationale qui détermine qui peut être bénéficiaire de droits sociaux et qui ne le peut pas. Or la construction européenne a contribué à brouiller ces frontières nationales, et à remettre ainsi en cause l’un des fondements de l’État providence, sans parvenir pour autant à définir au niveau européen de nouveaux droits sociaux.

    Étudier les relations entre citoyenneté sociale et citoyenneté européenne, entre la crise de l’État providence et la construction européenne, les problèmes liés à l’immigration incontrôlée, permet de mieux comprendre le système de gouvernement à plusieurs niveaux qui s’est mit en place en Europe en matière de politiques sociales.

    Deux sujets provoquent de nos jours des émotions très fortes : le maintien ou la réforme de l’État-providence et la question des migrants.
    Dans notre pays, les deux sont associés à la question de notre identité et, dès lors, difficiles à aborder uniquement par le biais d’une argumentation rationnelle, chiffrée et factuelle.
    Comme si cela ne suffisait pas, les deux peuvent être fort liés, accroissant ainsi la complexité du débat.

    Au cœur de ce débat, on constate parfois une forme d’alliance entre des positions anti-migrations et le souhait de préserver notre système social : les migrants seraient un poids trop lourd pour lui, et le mettraient en danger, par exemple en pesant davantage sur les prestations familiales car ils tendent à avoir plus d’enfants que les familles installées de longue date.

    Par ailleurs, notre État-providence a atteint la limite de ce qui est finançable et durable ; y ajouter à ce stade davantage de charges et de déséquilibres nous précipite dans une crise de plus en plus profonde.

    Dès lors, en réponse à ces deux questions une approche pertinente serait d’interroger l’accès à notre État-providence à tout nouvel arrivant.

    La question est extrêmement sulfureuse dans l’état actuel du débat politique, car elle se résume en deux mots : préférence nationale.
    Mais derrière cette question s’en cache une autre : est-il réellement pertinent d’être favorable au maintien de notre système social ?
    Autrement dit, est-il profitable pour les individus et peut on réserver notre système social à des individus sélectionnés et selon quels critères ?

    L'immigration constitue aujourd'hui une préoccupation centrale des électorats occidentaux. Bon gré mal gré, les forces politiques tâchant d'attirer leurs suffrages ont dû se positionner sur la question. L'exclusion de ce thème lors du grand débat national suffit toutefois à démontrer le malaise que continue de susciter son évocation. Dans un rapport récent intitulé «Immigration et préférences pour la redistribution en Europe», l'IZA (un institut de recherche allemand spécialisé dans l'économie du travail) est parvenu à établir que le rejet de l'État-providence est plus élevé dans les régions où les immigrants se trouvent en plus grand nombre.

    Il n’y a pas à hésiter il faut stopper l’immigration pendant au moins 5 ans et ensuite, la réguler et la contrôler Afin de recevoir chez nous ceux que nous souhaitons recevoir et rien d’autre !

    05 08 21

    Francis-Claude Neri
    Cygne Noir
    www.facebook.com/groups/horizon2022/