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Présidentilles 2017 22 27 - Page 24

  • Le déclin Français

    « Tout peuple n’est un peuple que tant qu’il possède son propre Dieu, il triomphera de tous les autres Dieux et le chassera »

    C’est dans la bible ! Mais c’était hier. Aujourd’hui c’est la finalité de la Oumma des salafistes …entre autres !

    Depuis 1969, La France est bercée d’illusions, de dénis, de mensonges. Ceux qui veillent à sa léthargie lui ont dissimulé l’ampleur de l’immigration, la déviation communautariste et conquérante de l’Islam, le désastre de l’école, le déclin de l’économie.

    La France s’effondre, elle est en déliquescence. La question est : sur quoi et sur qui s’appuyer pour stopper l’effondrement, qui nous semble prémédité, et échapper au trou noir qui nous aspire ?

    A l’effondrement de Rome, Clovis s’est appuyé sur l’Eglise, dernière institution solide. Ce n’est plus le cas, alors sur quoi la France peut-elle s’appuyer ?

    Et pour faire quoi, sinon rétablir l’unité de l’Europe comme le tenta Bonaparte puis Napoléon, c’est à dire l’Europe, des nations !

    Seule la France peut encore le faire. Eric Zemmour et Jean Messiha fédérer autour de cette
    « idée force » pour sortir la France de sa ligne pacifique.

    Depuis Giscard, les nations doivent se fondre progressivement au sein d’une fédération européenne afin que, grâce au « doux commerce » elles ne puissent se faire une guerre classique avec pas mal de morts civils ou militaires sans préférence particulière.

    Le patriotisme est encombrant, l’individu peut vivre sans entraves, le pacifisme babacool est dominant.

    Et pourtant nous nous faisons la guerre, partout et de mille façons.

    La France qui s’est alliée au « diable » musulman pour peupler son territoire et se faire accepter par l’Europe libérale, doit retourner à sa mission universelle pour exister en commençant par reconquérir SON propre territoire.

    La France est incapable de se réaliser dans l’UE.

    D’une manière ou d’une autre, la France et l’Allemagne s’éloignent l’une de l’autre, les nationalismes renaissent en force.

    Alors reprenons notre place de numéro un en Europe sur laquelle De Gaulle nous avait installé.

    L’Angleterre a repris le large, alors cherchons comme par le passé l’alliance avec la Russie. Retour à la normale, profitions de la faiblesse toute provisoire des USA qui nous imposent LEUR Europe depuis les années 60 !

    Comme l’exprime si bien Eric Zemmour, la guerre des masses est revenue, seuls nous ne faisons pas le poids face aux mastodontes américains, Chinois ainsi qu’à l’Oumma rassembleuse des peuples arabo-musulmans et d’Afrique noire.

    Pendant ce temps là, en Chine, en Russie, en Israël, le nationalisme s’installe partout alors que nous nous installons dans le sordide des Césars et, comme au temps de Rome, nous laissons aux oies et aux barbares le soin de sauver la France.

    Seuls les mondes arabo-musulmans et Africains demeurent étrangers au renouveau du nationalisme.

    Mais c’est l’Oumma islamiste des frères musulmans qui, chez eux, reprend le dessus et, l’Iran, puis la Turquie s’efforcent de réunir les masses arabes ET d’Afrique Noire par l’égrégore de la tradition islamiste et la puissance nucléaire.

    Terrible alliance de la tradition et de la modernité.

    Il y a là deux forces en présence et l’on peut se poser la question de savoir laquelle à terme va l’emporter.

    Avec Donald Trump, l’Amérique renouvelait avec le modèle patriotique, la frontière, rappelant à l’ordre l’Iran et la chine.

    Avec le retour de la gauche collaboratrice, du « pays profond » au pouvoir avec Jo Biden, les cérémonies des Césars vont se multiplier ici et là , les Blacks-Maters reprendre le dessus ainsi que les babas cool et à « faites l’amour pas la guerre », le « potager des malfaiteurs ayant échappés à la pendaison » de nouveau cultivé.

    Peut être une chance pour la France et l’Europe de se débarrasser de « l’inutile » et de se reconstruire.

    Les petites phrases du général

    La parole est timidement en train de se libérer, ici et là, du politiquement correct qui impose, immobilisme et conservatisme.

    Pour avoir décrit «la France qui tombe» en 2003, Nicolas Baverez aura été soupçonné, par les beaux esprits, des pires influences populistes et défaitistes.

    Il est temps de sortir de ce carcan idéologique.

    Participons de cette reconstruction, orientons l’opinion sur la base d’informations que nous nous efforçons de relater et d’analyser consciencieusement, élaborons des arguments, faisons des choix et recommandons des solutions.

    C’est le « projet » Cygne Noir !

    17 03 21

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

     

  • L’UE n'est pas l'Europe

    Le dossier "sortir de l'UE" et non pas de l'Europe progresse …la confusion entre UE et Europe EST dramatique et cette confusion EST voulue.

    Mais l'UE n'est pas l'Europe ...loin s'en faut Il faut sortir de l'UE car cette UE n'est PAS réformable et cela aussi c'est voulu.
    Le fameux "effet cliquet" dont parlait Jean Monnet et Robert Schumann, la politique du « fait accompli. Les soi disant pères de l'Europe qui ne furent que des "soldats" à la solde de l'Amérique.

    Ils  passèrent leur temps à TRAHIR De Gaulle et la France pour la jeter avec l'Europe dans les bras de la mondialisation économique, financière, culturelle, gauchiste, multiculturaliste, islamiste …etc.

     

    De Gaulle et Adenauer ont combattus jusqu'au bout, en vain.

     

    Après la mort d'Adenauer De Gaulle était seul et en 1969 en faisant tomber De Gaulle les agents américains comme Pompidou et VGE avaient quartier libre, ce qui explique parfaitement pour quelles raisons la France DEPUIS est dans cet état !

     

    Alors oui notre premier devoir une fois au pouvoir c’est de sortir de l'UE ...de l'UE pas de l'Europe c'est pour la France une question de vie ou de mort !

     

    11 04 21

    Francis-Claude Neri

    Cygne Noir

    https://cygnenoir.vienouvelle.fr/

     

     

  • Le choc des civilisations est un combat identitaire.

    Si nous ne défendons pas notre identité nous serons submergés par une civilisation étrangère qui va purement et simplement remplacer la nôtre. Tout ce qui peut favoriser une identité étrangère sur notre sol est dangereux et il faut à tout prix l’empêcher. 

    Autrefois le monde était structuré par deux antagonismes, deux entités antagonistes : le monde dit « libre » comme on l’appelait, c’est-à-dire l’Occident en gros, et puis le monde communiste, d’ailleurs les deux étant structurés par des Européens et présents en Europe. Mais le fond culturel était le même. Il y avait un antagonisme idéologique, le monde était structuré par le conflit entre le communisme et le libéralisme. Cela, c’est terminé.

    Aujourd’hui la Chine est devenue la première puissance mondiale d’ores et déjà ; l’émergence de l’Inde ; et l’émergence de la composante islamique. L’Europe n’est plus dominante, l’Europe est sur la défensive et l’Europe subit un choc des civilisations qui se traduit par une guerre commerciale, une guerre économique vis-à-vis de la Chine ; une guerre culturelle vis-à-vis de l’islam.
    Mais aussi une guerre avec le terrorisme islamique.
    Ainsi qu’une invasion migratoire qui ne pose pas seulement un problème par rapport à l’islam mais pose aussi un problème ethnique par rapport aux populations provenant de pays africains et de pays hors de l’Europe et qui mettent en cause notre identité non seulement sur le plan culturel, mais aussi sur le plan religieux et ethnique.

    On est passé d’un système représentatif, électoral, démocratique, à un gouvernement des juges.
    Il ne s’agit plus que le droit soit un cadre défini par le peuple et voté par les élus, notamment par les députés et les sénateurs. L’Etat de droit est un corpus idéologique qui s’impose au peuple, qui s’impose à ses représentants, et qui est gardé par les structures judiciaires et tout particulièrement par le Conseil constitutionnel. C’est très concret.

    Le problème est que la Ve république a été sapée dans ses fondements mêmes par la montée en puissance du Conseil constitutionnel.

    Le Conseil constitutionnel avait pour seul but de vérifier que les articles de la constitution étaient respectés.

    Puis il y a eu une espèce de coup d’Etat institutionnel orchestré directement par les membres du Conseil constitutionnel, qui ont commencé à juger, non plus seulement en fonction des articles de la constitution, mais aussi en fonction du Préambule et même de l’interprétation qu’ils faisaient du Préambule. Or le Préambule a été enrichi au fil des années de textes innombrables qui donnent finalement au Conseil constitutionnel la possibilité de juger de tout par référence à cette espèce de catéchisme politiquement correct.

    On voit bien ce qui se passe. Plus on enrichit ce Préambule de textes politiquement orientés, plus vous donnez de pouvoir au Conseil constitutionnel, plus vous augmentez les possibilités de saisine du Conseil constitutionnel, en annonçant aux Français que ce sera une façon de garantir leurs droits, et plus en réalité vous les diminuez puisque, plus le Conseil constitutionnel a des possibilités de saisine, plus il va étendre son pouvoir et avoir ainsi la possibilité de censurer comme c’est le cas maintenant.

    Le véritable patron français ce n’est pas le président de la république, c’est monsieur Fabius, président du Conseil constitutionnel.
     Je pense qu’on peut dire cela. Je fais référence à un propos tenu par monsieur Debré qui était l’ancien président du Conseil constitutionnel, quand on lui parlait du danger que représentait éventuellement l’arrivée au pouvoir du Front National, répondait :
    « Ne nous inquiétez pas, on tient tout ».

    Je voudrais ajouter qu’il y a le Conseil constitutionnel, mais derrière, il y a tout le système judiciaire parce que toutes les juridictions ont maintenant cette démarche de s’ériger en pouvoirs de contrôle et finalement en pouvoirs politiques suprêmes. Par exemple lorsque François Hollande était président, il avait été décidé de démanteler un camp de réfugiés à Calais. Une procédure a été engagée pour annuler la décision gouvernementale de ce démantèlement (qui au demeurant ne servait à rien) et l’on a vu une petite juge du tribunal administratif venir sur place pour voir ce qu’il y avait lieu de faire et pour décider si, oui ou non, le gouvernement pouvait procéder au démantèlement. On sait aussi que les juges empêchent systématiquement l’expulsion des clandestins.

    C’est tout le système judiciaire qu’il faut remettre au pas et rétablir l’équilibre des pouvoirs entre le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire, sans oublier le pouvoir médiatique.

     

    Faut-il le Frexit pour y parvenir ?

    La question EST posée !

    Bruno Megret !