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Régulation, contrôle, sanction - Page 35

  • Une base de discussion(s)

    La pandémie Covid a bouleversé l'échiquier politique mondial avec l'islam soudainement éparpillé là-dedans comme un cheveu sur la soupe...

    Rien n'est plus pareil, tout est à reprendre, à refaire, à reconstituer...

    Chaque État revendique sa souveraineté mais on ne peut se désolidariser entièrement du reste du monde, c'est sur ce point qu'il faudra agir, construire une nouvelle politique adaptée car désormais rien ne peut plus être comme avant...

    Que chaque État reprenne le pouvoir chez lui, y nettoie la place et relance son économie...

    L'Europe doit rester un bloc mondial puissant avec les États-Unis rétablis dans leur unité nationale, pas la gabegie actuelle semblable à la nôtre en Europe...

    Faire bloc avec la Russie de Poutine, tenir la Chine menaçante en respect, en finir avec un islam anachronique qui parasite notre société et la ramène en arrière avec ses mœurs d'un autre temps...

    - L'Europe doit rester un bloc mondial puissant 

    - Que chaque État reprenne le pouvoir chez lui

    - Y nettoie la place et relance son économie...

    - Faire bloc avec la Russie de Poutine

    - Tenir la Chine menaçante en respect

    - En finir avec un islam anachronique

    Daniele Hoô-Alluin
    Pour Cygne Noir
    19 01 21

     

  • Les enjeux de la crise américaine

    Les enjeux de la crise américaine

    Publié par Sidney Touati le 16 janvier 2021

    Le monde a les yeux braqués sur les événements qui secouent l’Amérique. La situation est très grave et très préoccupante. Elle est l’expression d’une crise générale dont la caractéristique majeure est de rendre antagoniques les deux camps en présence.

    Cependant, il importe de préciser qu’il n’y a ni victimes, ni bourreaux. Il y a deux parties ayant des conceptions opposées et irréconciliables, qui s’affrontent dans un combat où tous les coups sont permis.

    Trump pendant son mandat a pu gouverner tout en ayant à affronter non l’opposition du camp adverse, mais sa haine. Il a pu réaliser son programme car il représente l’Amérique traditionnelle. Son électorat est relativement homogène.

    La situation Joe Biden est différente. Même s’il accède au pouvoir en ayant fait usage de la fraude, il ne pourra pas gouverner, tout simplement parce qu’il représente un ensemble hétérogène de groupuscules agressifs et d’une masse de rêveurs persuadés que « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. »

    S’il applique vraiment son programme, il ne fera qu’accroître les antagonismes qui menacent de faire éclater la société américaine. S’il ne l’applique que partiellement, il provoquera comme son homologue Obama, la désillusion d’une grande partie de son camp.

    La crise générale est due à la révolution du numérique et de l’Intelligence Artificielle qui est en train de modifier de fond en comble, non seulement les secteurs de la production et des échanges, mais également celui des relations interindividuelles.

    La caractéristique majeure de ce processus de changement de paradigme sociétal est l’extreme concentration de la propriété de ces nouveaux outils dans quelques mains. Les géants du Web, au nombre de cinq, possèdent les secteurs clés de la révolution numérique et de l’intelligence artificielle.

    C’est un peu comme si, lors de la première révolution industrielle, cinq personnes étaient propriétaires de toutes les machines à vapeur du monde.

    Trump a pour lui le peuple mais contre lui ces cinq mastodontes, ces cinq monstres, ces faiseurs de roi, qui dominent toute la communication planétaire. Il a pu une fois, par surprise, les utiliser pour prendre le pouvoir. Mais la deuxième fois, les géants ont mobilisé leurs immenses moyens pour l’abattre.

    Que faire ? Comment poursuivre le combat ?

    Comment se sont battus nos aînés pour éviter que la première révolution industrielle ne détruise toute la civilisation, comme elle a pu le faire, çà et là ?

    Nos aînés ne se sont pas battus contre l’extension du machinisme, ni contre l’inexorable avancée du rail.

    Ils se sont battus pour la culture, pour la sauvegarde du patrimoine culturel, pour la diffusion des Lumières…pour l’Instruction en général, pour rendre accessible au plus grands nombres les géants de la littérature et des Arts.

    En sauvant l’héritage culturel, ils ont sauvegardé l’humanité de l’homme. Ils ont ainsi évité que la brutale course au profit ne dégénère en violence. Ils ont su, comme leurs lointains ancêtres de la Renaissance, intégrer l’avancée de la technologie et les bouleversements qu’elle génère, dans l’espace culturel né de la révélation biblique.

    Ce combat contre les « élites incultes et barbares » est difficile. La situation se dégrade rapidement.

    Voir « Autant on emporte le vent » est aujourd’hui impossible en France. Demain, lire Victor Hugo ou Maupassant…deviendra-t-il un délit ?

    Sauver la Culture.

    Ce défit est aujourd’hui le nôtre.

    Notre soubassement culturel, appelé humanisme, pourra-t-il intégrer sans se détruire, la nouvelle révolution numérique ?

    Les nouveaux maîtres du monde aspirent à cette grande et immense destruction culturelle, ( ce que d’aucun appelle le « grand reset ») à réaliser le rêve (ou cauchemar ?) claironné par l’Internationale: « du passé faisons table rase)! Ils peuvent effectivement, en prenant appui sur les revendications des minorités agressives, censurer l’essentiel du patrimoine culturel, rende difficile voire impossible sa transmission.

    Il ne faut pas les laisser étendre à toute la planète, cette « révolution culturelle »de type maoïste, dont les nouveaux Garde-Rouges ont pour nom, E. Macron, Joe Biden, Xi-Jinping, Zuckerberg…

    Défendons notre magnifique héritage culturel.

    Il ne nous est pas permis d’échouer, car notre échec signifiera le triomphe de la barbarie liée au règne brutale de la domination technologique et donc à la fin de l’humanité de l’homme.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.

    Francis-claude Neri 
    http://semanticien.blogspirit.com/ 
    17 01 21

  • Le langage

    « Ce n'est pas un hasard. Démolir le langage fait partie des moyens de rendre plus ardue la pensée claire. »

    Le mot "républicain" existe déjà dans le dictionnaire pour désigner celui qui lutte pour :

    - la liberté, que refuse l'islam,

    - l'égalité, que refuse l'islam

    - la fraternité, que refuse l'islam

    - les droits de l'homme, incompatibles avec le coran

    - et accessoirement la simple morale, contredite par les prescriptions du coran

    Le mot "islamophobe", créé par un certain Khomeyni https://fr.wikipedia.org/wiki/Rouhollah_Khomeini du temps qu’il était encore simple ayatollah, n'a pas la moindre raison d'être. "Républicain" suffit.

    "Islamophobe" est un mot bâtard à base d'arabe et de grec"

    Certes, mais "sociologie" a été le premier mot bâtard, fait pour sa part d'un préfixe latin et d'un suffixe grec, "automobile" ayant fait le contraire. Est-ce que ça choque ?

    "On dit anglophobe, francophobe - qui sont le pendant négatif d'anglophile, francophile, etc. "

    Parce que ce sont des mots utilisés afin de combler un besoin de communication, pas de propagande comme "islamophobie".

    Nous avons un autre mot en "phobe" qui a été forgé de la même façon et qui n'est pas le contraire du mot en "phile" : "homophobe" n'est pas le contraire d'"homophile".

    Frédéric D'Aubert
    07 01 21