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Régulation, contrôle, sanction - Page 33

  • Etat providence quelles frontières ?

    Démographie.jpgLes citoyens européens sont très attachés à leurs systèmes de protection sociale, et reprochent à l'Europe de ne pas se préoccuper assez de social
    Il convient de  faire le point sur les relations entre politiques sociales et intégration européenne, et analyser dans quelle mesure la construction européenne a remis en cause les frontières et la nature même des États providence nationaux.

    L'État providence s'est construit à partir de la délimitation d'une frontière nationale qui détermine qui peut être bénéficiaire de droits sociaux et qui ne le peut pas. Or la construction européenne a contribué à brouiller ces frontières nationales, et à remettre ainsi en cause l’un des fondements de l’État providence, sans parvenir pour autant à définir au niveau européen de nouveaux droits sociaux.

    Étudier les relations entre citoyenneté sociale et citoyenneté européenne, entre la crise de l’État providence et la construction européenne, les problèmes liés à l’immigration incontrôlée, permet de mieux comprendre le système de gouvernement à plusieurs niveaux qui s’est mit en place en Europe en matière de politiques sociales.

    Deux sujets provoquent de nos jours des émotions très fortes : le maintien ou la réforme de l’État-providence et la question des migrants.
    Dans notre pays, les deux sont associés à la question de notre identité et, dès lors, difficiles à aborder uniquement par le biais d’une argumentation rationnelle, chiffrée et factuelle.
    Comme si cela ne suffisait pas, les deux peuvent être fort liés, accroissant ainsi la complexité du débat.

    Au cœur de ce débat, on constate parfois une forme d’alliance entre des positions anti-migrations et le souhait de préserver notre système social : les migrants seraient un poids trop lourd pour lui, et le mettraient en danger, par exemple en pesant davantage sur les prestations familiales car ils tendent à avoir plus d’enfants que les familles installées de longue date.

    Par ailleurs, notre État-providence a atteint la limite de ce qui est finançable et durable ; y ajouter à ce stade davantage de charges et de déséquilibres nous précipite dans une crise de plus en plus profonde.

    Dès lors, en réponse à ces deux questions une approche pertinente serait d’interroger l’accès à notre État-providence à tout nouvel arrivant.

    La question est extrêmement sulfureuse dans l’état actuel du débat politique, car elle se résume en deux mots : préférence nationale.
    Mais derrière cette question s’en cache une autre : est-il réellement pertinent d’être favorable au maintien de notre système social ?
    Autrement dit, est-il profitable pour les individus et peut on réserver notre système social à des individus sélectionnés et selon quels critères ?

    L'immigration constitue aujourd'hui une préoccupation centrale des électorats occidentaux. Bon gré mal gré, les forces politiques tâchant d'attirer leurs suffrages ont dû se positionner sur la question. L'exclusion de ce thème lors du grand débat national suffit toutefois à démontrer le malaise que continue de susciter son évocation. Dans un rapport récent intitulé «Immigration et préférences pour la redistribution en Europe», l'IZA (un institut de recherche allemand spécialisé dans l'économie du travail) est parvenu à établir que le rejet de l'État-providence est plus élevé dans les régions où les immigrants se trouvent en plus grand nombre.

    Il n’y a pas à hésiter il faut stopper l’immigration pendant au moins 5 ans et ensuite, la réguler et la contrôler Afin de recevoir chez nous ceux que nous souhaitons recevoir et rien d’autre !

    05 08 21

    Francis-Claude Neri
    Cygne Noir
    www.facebook.com/groups/horizon2022/

     

  • Moratoire sur l’immigration

    Mais quelles mesures pourraient VRAIMENT tarir les flux migratoires ?

    Dans une tribune publiée dans Le Figaro, l'ancien ministre et ex-négociateur du Brexit, Michel Barnier, plaide pour un moratoire afin de geler l’immigration en France sur une période de trois à cinq ans. Quelles mesures sont vraiment efficaces sur la question des flux migratoires ?

    Dans le Figaro, l’ancien ministre Michel Barnier, propose de mettre en place un véritable moratoire sur l’immigration pour agir sur celle-ci. Les mesures évoquées dans cette publication sont-elles inédites et pourraient-elles permettre de réduire réellement les flux migratoires ?
    Atlantico

    Dans cette tribune, on ne retrouve aucune mesure claire. Cette tribune a pour seul but d’attirer un électorat ciblé sans pour autant fournir de contenu. En voulant mettre en place un moratoire sur l’immigration, il ne se demande pas comment cela est possible juridiquement. Vouloir mettre en place un moratoire sur l’immigration sans évoquer la question européenne est une gageure impossible.
    Laurent Chalard
     

    Par Le Parisien avec AFP 

    Le 9 mai 2021 à 18h49

    Michel Barnier, dont évoque l’ambition présidentielle, se positionne déjà sur l’un des sujets qui risquent de marquer la campagne de 2022. L’ancien négociateur pour le Brexit (LR) a suggéré dimanche « un moratoire » de trois à cinq ans sur l’immigration. « Il faut décider dans ce pays un moratoire en matière d’immigration », de « trois à cinq ans », pour « prendre le temps de vérifier, d’évaluer, le cas échéant de changer, les procédures et les pratiques », a déclaré l’ancien ministre au Grand Jury pour RTL, LCI et Le Figaro.

    « Il y a des liens » entre l’immigration et « les réseaux terroristes qui utilisent les flux migratoires, qui les infiltrent », a-t-il fait valoir, même s’il ne « pense pas que tous les immigrés, et notamment ceux qui essaient de traverser la Méditerranée pour rejoindre un avenir meilleur, sont des terroristes en puissance ou des délinquants en puissance ».

    Il a également précisé sur l’immigration « qu’il faudra à la fin changer la Constitution sur certains points, notamment pour avoir plus de marge par rapport à des textes ou des règlements européens » sans toutefois rentrer dans les détails.

    Pour autant, « on va toujours accueillir des étudiants » et « nous devons respecter » le droit d’asile, a précisé l’ancien ministre (Agriculture et Affaires étrangères) de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.

    Ce moratoire est devenu un leitmotiv du côté de la droite française. Le président des Républicains Christian Jacob avait lui proposé à l’automne un « moratoire » de trois à six mois sur l’immigration, le temps pour Emmanuel Macron de consulter l’ensemble des « familles politiques » sur ce sujet… Michel Barnier a aussi jugé qu’il y avait « des risques d’explosions » sociales en France et que « ce qui est dit » dans une récente tribune de militaires « méritait de l’attention », « parce qu’il y a de réelles et graves fractures notamment sur la question de l’immigration ».

    Il est amusant Michel Barnier Il sait qu’il faut parler pour ne rien dire afin d’être prit au sérieux
    Entre le Covid et le passe sanitaire, l’immigration, l’islamisation à marche forcée, l’effondrement économique et financier, les Woke et la cancel culture, oui il y a « risques d’explosion sociale ».

    Il va faire chaud en septembre mais l’hiver sera très rigoureux Les hivers sont très durs durant les périodes de guerre !

    Francis-Claude Neri
    Cygne Noir
    www.facebook.com/groups/horizon2022/

     

     

  • Possible le démontage de l’euro ?

    Pourquoi démonter la monnaie unique ?

    Tout d’abord, parce qu’elle ne fonctionne pas, et surtout qu’elle ne pourra jamais fonctionner, quelles que soient les réformes qui pourront être entreprises.
    Tout ceci s’appuie sur les travaux de nombreux économistes, dont pas moins de 5 « prix Nobel d’économie », de tous les horizons idéologique, Maurice Allais, Milton Friedmann, Amartya Sen, Paul Krugmann et Joseph Stiglitz qui ont tous dénoncé les limites de l’Euro.

    L’Euro n ‘aurait qu’une seule utilité selon Attali : le passage à marche forcée au fédéralisme !

    Les remèdes fédéraux ne résoudraient rien puisqu’ils reviennent seulement à financer les déficits des uns par les excédents des autres sans permettre aux premiers de relancer leur économie, comme nous le vîmes en Grèce, en Italie, en Espagne et en France.

    L’Euro est donc facteur de récession nous demanderons à Eric Zemmour de le démonter une fois au pouvoir.
    https://www.dailymotion.com/video/xx3pwo

    Francis-Claude Neri
    http://www.cygnenoir.ovh/

    www.facebook.com/groups/horizon2022/