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europe

  • Un projet

    Un projet

    La satisfaction de vie se mesure à l'aune d'un projet de vie, mais aussi à la qualité de chaque instant qui passe, des joies, des peines, des souffrances qui colorent notre existence, de nos relations aux autres.
    Elle s'évalue en outre par la nature des conditions extérieures et par la manière dont notre esprit traduit ces conditions en bien être ou en mal être.

    Il semble que nous soyons d’accord pour dire que ces conditions nous déplaisent et que nous voulons en changer.

    Chacun de nous doit prendre conscience de notre interdépendance si nous voulons que notre "monde" change ...rien de tel que de travailler ensemble sur un projet commun : faire élire Marion Maréchal par exemple.

    Nous pouvons le faire !

    Plus est en nous
    FCN

  • La foule c’est le mensonge !

    La foule c’est le mensonge !
    Kierkegaard

    Nous sommes au milieu d’un troupeau que l’on cherche à abuser, à exploiter voire à sauver. C’est la médiocrité des masses qui pousse certains à vouloir faire des grandes choses. Mais la plupart de nos « élites » sont trop bien au chaud au milieu du troupeau pour s’engager à ce niveau.
    Peut-on encore, en rationalistes sceptiques, redonner statut à la raison en rationalisant nos méthodes et nos pratiques par la dynamique de la passion à partir de petits groupes émérites ?
    Rechercher les similarités entre attitudes, pensées et comportements, chasser l’anomie ou l’absence de normes !?
    Un siècle de révolution en matière d’instruction n’a qu’à peine abordé le problème de la crédulité des masses. Elle fut cultivée de tout temps, mais le bon sens sceptique dans la meilleure tradition du siècle des Lumières, n’a pas fait d’adeptes à l’échelle des masses.
    Ces masses indifférentes vont probablement sentir l’impact de la « bombe » qui explosera sur leurs têtes. 

    Un temps nous avons pu penser que le droit de vote et l’amélioration, des moyens d’éducation pouvaient stimuler l’engagement et la responsabilité des couches populaires dans la société ; mais c’est devenu un instrument à la disposition des élites pour manipuler la foule à une échelle inconnue jusque-là.
    Les classes moyennes ont fait le postulat que leur labeur et l’épargne les préserveraient.
    Ce n’est pas le c as, au contraire, les classes moyennes rejoignent les couches populaires. Il n’y a plus d’ascenseur social.

    Les deux « classes » sauront t’elles se mobiliser et canaliser des solidarités de groupe ?  Le libéralisme peut-il forger un foyer d’attraction à partir d’un « Egrégore » puissant, la recherche d’une référence commune, d’une identité, d’une appartenance, compenser la crise d’autorité religieuse ?
    Notre processus d’adaptation rationnelle est mis en péril, de l’intérieur comme de l’extérieur. Le déclin de la foi dans la valeur de la raison, de notre culture avec le reste du monde, notre attitude d’auto humiliation est inadmissible.

    Il existe une approche plus raisonnable de l’histoire de la pensée et des comportements européens. Mettre en balance la longue succession des triomphes et des échecs et peut être conclure en déclarant qu’aucun autre continent n’a encore produit de tels trésors de sagesse et de folie.

    Plus est en nous !

    Francis Claude Néri
    16 12 23
     
     

  • Dans la cours de Fresnes

    Fillon est un européiste convaincu, contrairement à son « mentor », Philippe Seguin qui fut – et il suffit de réécouter ses discours- le chantre de l’anti-européisme-. Ce constat discrédite totalement Fillon à mes yeux. Et ce n’est pas la seule raison, car à défaut d’être « populiste » en novlangue, la vraie droite nationale est populaire, et s’affranchit, dans son idéologie, tout à la fois des supranationalités, et des invasions migratoires. Les Français d’abord, par le sang et pas autrement, dans un pacte social qui chasse les vautours de l’oligarchie financière et sait comprendre les enjeux qui amènent à la dette inextinguible, alors que le plus pâle des économistes sait que depuis janvier 1973, tout ceci fut orchestré pour asservir, petit à petit le peuple français. Il n’y a de dette que celle créée par nos dirigeants depuis plus de 40 ans. Il n’y a pas d’auteurs nationalistes qui n’aient eu l’amour du peuple mais aussi son dégout qu’il fut si prompte à se laisser mener dans des aventures guerrières ou économiques qui le dépassaient. Fillon n’est qu’un Laval socialiste maquillé en leurre « d’identité », le thuriféraire de la soumission acceptable à l’Union européenne, le fumeur de joints roulés dans la misère de l’euro consommés en cônes pour le bonheur de ses patrons de Bruxelles. La retraite par répartition transformée en chaine de Ponzi pour les actifs par Fillon, je n’en veux pas, à moins qu’on me verse mon million € cotisé depuis le début de carrière qui a en fait servi à entretenir les allocations des strates migratoires plutôt que de me permettre de vivre dignement en attendant ma retraite. On ne change pas les règles en cours route ! C’est cet égalitarisme jacobin d’obédience maçonnique qui tue notre peuple, et cette révolution que nous fêtons si bruyamment le 14 juillet, ne fut que l’acte déclencheur de la déréliction qui nous oppresse aujourd’hui. « Le baquet breneux de la fange égalitaire » comme l’écrivait Rebatet… Il ne connaissait pas alors la justesse de son propos ! Non voyez-vous, je suis un homme affable, j’aime et je souris, mais selon moi, les traitres à la nation ont un destin commun, tôt le matin, dans la cours de Fresnes.

    Patrick Escudie

    08 03 17