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immigration - Page 7

  • Universalité une illusion

    Le « programme » d’un groupe culturel exige une stricte intégration des unités structurelles qui le composent. En particulier si ce groupe se recompose en terre d’immigration.

    Un groupe culturel, et d’autant plus cultuel, minoritaire au sein d’un groupe culturel plus vaste n’a pas vocation à imposer sa différence. Il peut la vivre sans trop de dommages dans la mesure où il en accepte l’expression en privé.

    La recherche publique de confrontation ne peut que desservir la minorité, à moins que la majorité n’ait d’une manière ou d’une autre, renoncée à son hégémonie.
    Dans ce cas, ou dans celui où la minorité agissante parvienne à un équilibre démographique qui lui serait plus favorables, les confrontations se transforment vite en affrontements guerriers si un équilibre culturel nouveau n’est pas réalisé autour de l’aménagement du contexte commun.

    La diversité, la variabilité des programmes culturels n’est pas problématique dés que les conditions de l’intégration/assimilation sont réunies : consensus culturel et cultuel, économie en développement, démographie acceptable (régulation et contrôle), niveau éducatif et socialisant performant.

    Le défaut d’intégration/assimilation n’est acceptable que si le migrant renonce à pérenniser sa présence au-delà d’un strict besoin économique et un retour vers son pays d’origine dés que ce besoin est satisfait.

    Dans le cas contraire, ce qui s’est produit en France en raison du regroupement familial et de l’immigration clandestine maintes fois régularisée, les programmes culturels et cultuels antagonistes se transmettent à la génération suivante sans qu’il ya ait eu évolution adaptative.
    Hors, les programmes prescrivent la forme de toutes les attitudes et de tous les comportements.

    Nous sommes en période de récession, voulue d’une part et subie d’autre part, et de crise économico financière mondiale et durable. Dans ce cas, les amortisseurs économiques défaillants, l’ascenseur social en panne, la cohésion sociale introuvable, rendent les frustrations incontrôlables.

    Les comportements agressifs justifiés par des conflits religieux ou idéologiques, conduisent les minorités aux pires extrémités auxquelles leurs programmes culturels et cultuels, que des leaders fanatiques exacerbent, peuvent les conduire.

    La conjonction de tous ces facteurs en interactions, que les pouvoirs ont laissés se développer au nom du Nouvel Ordre Mondial, accélère les processus de causalité qui forment une boucle à présent impossible à ouvrir sans mesures extrêmes (police, armée) nécessaires à la prévention des épouvantables crises sociales, ethniques et religieuses qui se préparent.

    La précédente crise, celle de 29 s’est terminé par un conflit planétaire. Il est prévisible que le conflit qui se prépare sera d’une toute autre dimension.

    Francis NERI

     

  • Immigration

    Il faut se méfier des immigrants d'hier et de demain.

    Si nous renonçons à les acculturer, à les assimiler, à leur faire adopter nos codes, nos lois et nos valeurs, nous devons craindre qu'ils ne nous remplacent.

    Loin de chercher à se fondre dans la civilisation des pays d'Occident, ils s’organiseront en minorités pour développer leur culture et maintenir leur identité, car ils auront cessé d’être fascinés par les valeurs du Nord.

    Comment alors se comprendront et se comporteront les sociétés jeunes issues du Tiers monde et les sociétés mûres, âgées de l’Occident avec en souvenir leurs siècles de progrès ininterrompus. 

    Nous trouverons d’un coté des sociétés violentes, passionnées, possédées par leurs religions et leurs religieux, se disant incomprises et depuis trop longtemps exploitées. 
    Les autres, et en face, sceptiques, techniciennes, éprises de sécurité et de confort, individualistes, centrées sur leurs possessions matérielles. 

    Ces dernières sauront t’elles engendrer une foi dans l’avenir qui permette un meilleur partage et une plus grande paix entre hommes de bonne volonté ?

    Francis NERI
    (Les chemins de l’avenir. 1984)

  • Les années terribles !

    Nous sommes toujours en 1788 et la Terreur est de retour !

    Vous avez sans doute déjà vu ce genre de titres pour des articles ou vidéos, mais je veux vous proposer ma version courte:

    En 1788, les possédants dont le train de vie du roi ne tenait qu'aux prêts qu'ils lui accordaient ont décidé qu'il n'y avait aucune raison qu'ils ne prennent pas aussi le pouvoir sur lui.

    C'était des industriels, même si l'industrie était encore très loin de ce qu'elle est aujourd'hui, des riches commerçants ou propriétaires terriens.

    Ils décidèrent donc de renverser le roi afin d'assumer le pouvoir à sa place.
    Évidemment, il leur fallait une légitimité pour faire une telle chose, alors après avoir forcé le roi, via la dette, à abandonner sa prérogative de fixer le prix du grain, ils en firent s'envoler les cours.

    Le peuple, affamé par un pain désormais trop cher pour lui, se retourna contre son "chef", le roi.

    C'était la "Révolution Française", qui n'a jamais rien eu de populaire et n'a jamais eu la moindre envie de liberté, d'égalité ou encore mieux de fraternité.

    Aujourd'hui, les possédants de zéros sur des écrans, de l'autre bout de la planète et riches de planches à billets réelles ou fictives, ne voient pas de raison de ne pas prendre le pouvoir, puisqu'ils tiennent la dette.

    Ce ne sont pas des industriels, des commerçants ou des propriétaires terriens: Ils se moquent de dévaster des pays entiers car leur revenu ne provient ni de la terre ni du travail. Une France réduite à une flaque polluée ne les dérange pas. Ils nous démontrent quotidiennement qu'elle ne les émeut pas non plus...

    Ils décident donc, après avoir pris à nouveau l'aval par la dette, de faire monter les cours afin que les peuples, poussés par la misère, s'occupent de les mettre indirectement au pouvoir.

    Cette "nouvelle révolution", qui ne manque pas de se parer du discours "des lumières" et "du progrès" malgré ses pratiques abjectes, prédatrices, sa  décadence et le retour en arrière radical qu'elle promet, va vers ce qui promet d'être la pire dictature jamais imaginée tant elle fait fi de toute écologie, y compris humaine.

    Elle n'hésite pas à faire avancer l'islam radical ou à polluer les nappes phréatiques en "fraquant" [1]pour des gaz de vent boursier, à ruiner des industries et des peuples entiers pour une petit % de "rendement" en plus.

    L'histoire s'écrit. Elle n'attend pas qu'on choisisse d'avoir envie d'en faire partie ou pas.
    La question que nous devons tous nous poser, désormais, c'est celle du rôle que nous voulons jouer dans une telle page de l'histoire car nos petites décisions personnelles sont le seul rempart restant...

    Jean Luc Potier

    27 12 13



    [1] "le fracking", méthode utilisée pour les gaz de schistes.