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Le systémicien - Page 101

  • Racaille politico-médiatique

    Tant que l’on votera pour des conseillers, maires, députés, présidents pro racaille-islamo-gauchiste, tant que le droit de riposte immédiat restera interdit et nous mènera au contraire à la barre des tribunaux, il ne faudra pas se plaindre.

    La pourriture, y compris « politico-médiatique » doit, à présent, recevoir ce qu’elle mérite.

    Mais en raison de nos votes depuis 50 ans, ne nous plaignons pas. Un peuple qui se laisse détruire, massacrer, violenté et remplacé n’a que ce qu’il mérite.

    Pour « nos » politichiens, et médias à la botte du pouvoir, la réponse c’est le tribunal populaire.

    Quand à la racaille, la seule solution, c’est la rémigration : familiale, immédiate, irréversible.

    Pas de prison, le bled, à vie.

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    21 05 20

     

  • La « communication » du système.

    Il n’y a pas, de communication sans « info-retour » ! Sans rétroaction sur l’info c’est tout simplement de la « propagande »

    Les citoyens-moutons habitués à baver devant les chaînes de désinformation en continu et prisonniers du confinement y sont restés subjugués encore plus longtemps avec le covid 19 qui est devenu un nouvel « outil » du pouvoir pour nous rendre encore plus dociles.

    Une suite logique s’impose :  un effort pédagogique encore plus grand des « lanceurs d’alertes » et de « nos » médias dit de réinformation pour décortiquer les manœuvres, méthodes et stratégies des médias du système et la loi AVIA ne va pas arranger les choses… !

    A vos claviers !

    20 05 20 

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Haine et mépris de soi

    Il n’est pire haine que la haine de soi ! La préférence systématique pour l’autre, que veulent imposer les médias de gauche avec un zèle suspect, est inséparable du mépris de soi et de ses racines.

    L’homme blanc se considère déchu et il a honte de lui-même. Son temps est révolu, il doit désormais se frapper la poitrine et céder la place aux indigénistes racistes décomplexés anti-blancs évoluant dans nos universités et dans tous nos médias.

    Conséquence logique : les activistes du djihad se sentent en position de force ! Et au sommet de l’État, on leur donne raison en trouvant des excuses aux individus qui caillassent les policiers dans les quartiers que l’on dit populaires « pour ne pas les stigmatiser ».

    Les quartiers islamisés, bien que privilégiés par les pouvoirs publics, se considèrent comme des victimes de l’anti-islam et se sentent légitimes au moment d’affronter les forces de l’ordre.

    Alors « on » fait quoi ?

    Gilles-William Goldnadel pour Valeurs actuelles.

    http://semanticien.blogspirit.com/
    Francis-claude Neri
    14 05 20