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Le systémicien - Page 335

  • Immigration

    Immigration 

    Facteur d’insécurité économique et sociale.   

    Toutes nos espérances, tous nos efforts, en matière économique, financière, pour l’emploi, ayant trait au lien social, au maintien de nos institutions, à l’éducation, à la socialisation et à l’assimilation des migrants comme à ceux devenus Français souvent malgré nous, vont devenir impossibles, conflictuels et nous allons tout droit vers la guerre civile si nous ne stoppons pas l’immigration et ne revoyons pas très vite les conditions de son maintien sur notre territoire et en particulier le « droit du sol ».     

    Alors que la pression migratoire s’accentue en France, les éloignements d’illégaux diminuent en 2013 !

    Le droit d’asile conduit à ce que 40 000 déboutés par an viennent amplifier le volume des clandestins.

    L’affaire Léonarda à mis l’accent sur l’incroyable complicité des associations dites « humanitaires » dont c’est  le fond de commerce et qui comme le dit Terra Nova l’immigration permettra à la gauche de gagner des nouveaux électeurs ! 

    70 % des Français estiment qu’il y a trop d’étrangers dans notre pays  (enquête février 2013 : le monde).

    Ces implantations représentent à présent un danger de plus en plus apparent et prégnant car les populations de quelque origine qu’elles soient ont tendance, à défaut de pouvoir s’intégrer et s’assimiler, à se coaliser autour des mouvements Islamistes qui agissent de plus en plus comme des sectes et qui recrutent au sein de toutes les ethnies et de toutes les cultures. La nature ayant toujours horreur du vide, ils s’emparent de celui laissé par nos valeurs et nos cultes. 

    Les chiffres nationaux des éloignements de clandestins sont en baisse de 23 % en 2013.

    Malgré les discours offensifs de Manuel VALLS, la PAF (Police de l’Air et des Frontières) signale que les démantèlements de camps de Roms ou de Bulgares n’ont fait que déplacer le problème. Ils se sont tout simplement installés ailleurs !

    Et d’autres ont « récupéré » l’emplacement comme par exemple le camp de la Porte de la Chapelle à Paris.   

    Le gouvernement prend il acte de ce désaveu des Français inquiets pour leur sécurité, leur emploi, le maintien de la qualité des services publics etc ? 

    Bien sur que non !

    La coupe est pleine et le pouvoir UMPS  responsable et coupable depuis 40 ans de cet état de fait doit à présent payer son incurie et sa malveillance sans plus tarder.

    Nous n’avons plus de temps à perdre c’est à présent au peuple de France de parler et d’agir avant qu’il ne disparaisse sous une avalanche migratoire que nous sommes de plus en plus nombreux à dénoncer, mais que nos politiciens même les plus audacieux hésitent à s’emparer.

    Seule Marine le Pen peut encore le faire ici et maintenant et à l’occasion des municipales montrer le chemin…il est grand temps !

    Francis NERI

    23 01 14    

     

  • Au nom de la démocratie.

    Petite réflexion complémentaire à la "crise" dite "Dieudonné sur la "liberté d'expression" et la "démocratie".

    Dans un environnement complexe, le décryptage de l’information est devenu un processus et un impératif de survie démocratique.

    La société civile des citoyens ordinaires, revenus de leurs illusions de détenir un possible pouvoir révolutionnaire ou tout simplement un changement de « système », n’ont plus grand-chose à découvrir avec les progrès de la mondialisation de l’information.

    Mais comme pour les blogueurs revenus du front anti-autoritaire, le chemin de la réalité est aussi pavé d’embûches. Non que ceux qui forment la base de  la « société civile » aient tout à découvrir. Avec les progrès des chaînes satellitaires et internet, ils ont les moyens de  réfléchir à l’uniformisation des modes de pensée qui en découle.

    Simplement, pour qui a toujours vécu en démocratie, dans un environnement politique pluraliste, ou la laïcité est un dogme libertaire, rompre avec la liberté d’expression et celle du « faire ce que je dis », demande un travail sur soi considérable. Passer du choix et du travail des idées, ou tout peut faire débat, à l’ingestion forcée de dogmes préfabriquées ne va pas de soi. Et des dogmes le pouvoir « Hollandais » nous en fabrique au quotidien.

    C’est pourtant ce que l’on nous « propose » et que nous sommes souvent obligés d’avaler comme une mauvaise soupe, parce que nous avons faim.

    C’est que depuis l’inversion des valeurs  de mai 68 (cette révolution des us et coutumes) la mise en relation des idées, la liberté d’expression, les rapports sociaux n'ont fait que de se dégrader. La perversion des mœurs, des attitudes et des comportements individuels, a prit progressivement et “légitimement” sa place dans la société car, encouragée, entre autre, par les partis et certaines associations de « l'Establissement ».

    Tout laisse à penser que l'on veut nous inculquer des idées et éthiques glauques, immorales et perverses, et de surcroit mêlées au pouvoir de l'argent !

    Tout cela bien évidemment facilite le travail de destruction, dans l’esprit des jeunes générations, de nos identités et de nos valeurs mémorielles dont les idéologues de gauche comme de droite veulent la disparition afin de promouvoir l’idée qu’il faut tout uniformiser pour mieux maitriser, y compris et surtout la culture.

    Nous avions construit une société démocratique fondée sur la libre et pacifique confrontation des opinions. Certains n’en veulent plus. Pour eux nos sociétés doivent redevenir « autoritaires ». La démocratie serait devenue un luxe parce que des humains  sont à présent trop nombreux à vouloir avoir accès aux « richesses » et consommer comme l’Occidental moyen.

    Un luxe que les communautarismes, les clans, les religions, les sectes et les mafias ne permettent plus car ils revendiquent un pouvoir que ceux qui le détiennent ne peuvent leur accorder.

    Pour ce qui nous concerne en tant qu’européens, au nom de l’internationalisation des échanges,  nous avons voulu la disparition de nos nations et de nos souverainetés pour une nation et une souveraineté Européenne.

    Pour cela, il fallait que meurent nos identités. Eh bien « ils » ont réussi à tuer l’idée de la nation et de l’identité Française, mais ils ne l’ont pas pour autant remplacé par une « nation » européenne capable de fédérer au moins une politique économique.

    Contrairement à ce qu’ils avaient promis, ils n’ont pas favorisé, en même temps que l’euro, l’émergence d’une nouvelle identité économique, sociale et culturelle, une identité englobante qui nous mettrait en mesure de faire face à nos concurrents mondiaux. Bref ils ont servi leurs intérêts et ceux des spéculateurs ; ils ont mis la France en faillite et nous devons payer l’addition.

    Bien sur ils ont vu venir la crise en 2008 et ils avaient les moyens de la prévenir.

    Bien sur ils savaient que la dette, le déficit de notre commerce extérieur et l’immigration feraient de la France un pays du tiers monde.

    Bien sur ils n’ont rien voulu faire car ils savaient que, de ce désastre,  ils tireraient des profits supplémentaires et justifierait une reprise en main autoritaire que la « crise» expliquerait.

    Voila pour quelles raisons la liberté de penser, de dialoguer, d’échanger des informations, de débattre, de porter sur les évènements « son » regard et « sa » main est pour le moins en perte de vitesse. Le prêt à penser a prit sa place et ceux qui insistent pour exprimer leurs différences sont trainés devant les tribunaux.

    Bref à défaut d’auto-régulation, les peuples sont comme les financiers, il faut, semble t-il, les réguler d’autorité, leur poser un thermostat.

    Le modèle social français d’intégration n’y a pas résisté. Notre modèle civilisationnel va-t-il sombrer à son tour ??

    Si on ne badine pas avec la démocratie, entre son invocation magique et sa mise en pratique, se glisse l’abîme de tous les possibles…

    La démocratie c'est le respect des minorités. En son nom nous donnons, fort naïvement, énormément de droits et de privilèges aux populations de l'immigration encore en minorité, mais pour combien de temps ? Droits et privilèges généralement sans contreparties.

    Mais la démocratie c'est également la loi du nombre. Les leaders politico-religieux de ces populations, en particulier musulmanes et africaines, de plus en plus nombreuses, revendiquent des privilèges au nom de la démocratie…qu’ils aboliront le jour où ils seront suffisamment forts pour le faire. C’est du moins ce qu’ils prétendent entreprendre ouvertement puisqu’elle n’est pas compatible avec leurs préceptes religieux.

    Ce processus pervers n’échappe pas à nos « élites » mais pour eux, ce qui importe, c’est le consommateur et le producteur. De quelque culture qu’il soit, ce qu’ils veulent c’est qu’il consomme et si le « Gaulois » ne consomme plus eh bien qu’il disparaisse !

    Sur 7 milliards d’humains, dont il ne faut surtout pas réduire le nombre mais bien au contraire l’augmenter, d’autres se lèveront, en Chine, Afrique, en Argentine ou ailleurs, pour remplacer ce dernier rejeton de la culture occidentale.    

    D’autre part, cette approche, idéologique et universaliste, permet l’internationalisation immédiate des conflits à des fins, officiellement, d’ingérences humanitaires. Pour les complexes « militaro-industriels » c’est une question de survie.

    C’est la position de l’ONU, à l’exception de la Chine et de la Russie, si l’on prend l’exemple Syrien.

    On ne badinerait pas avec la démocratie, devenue l’impératif catégorique de notre temps. Mais entre son invocation magique et sa mise en pratique, se glisse l’abîme de tous les possibles…ferons nous la guerre au nom de la démocratie ?

    Pour cela, les arguments des Islamo-gauchistes sont grosso modo les mêmes que ceux utilisés naguère par les pacifistes des années 4O, avec un risque de guerre civile accru du fait de la nature devenue multiconfessionnelle du pays et que ces confessions, en particulier l’Islam, s’expriment avec de plus en plus de radicalisation et d’exigences agressives 

    Ceux qui nous conduisent vers cet effondrement  sollicitent nos suffrages afin de continuer cette œuvre de mort. Mais la « crise » qui ne nous laisse aucune marge de manœuvre ne nous permet aucune erreur d’appréciation, ni aucune indulgence.

    Pouvons encore confier notre destin à ceux qui sont les promoteurs de ce système infernal ? Pouvons nous croire une seconde qu’ils aient changés, qu’ils ont compris et qu’à présent ils ne se tromperaient plus ?

    Alors ! Allons nous encore nous laisser conduire en silence à l’abattoir comme des agneaux nous y faire égorger ?

     Francis NERI

    21 01 14

  • Analyse systémique et communication II

    L'analyse systémique[1] est caractérisée par les préceptes suivants :

    • La pertinence : seuls les éléments considérés comme significatifs dans le cadre de l'analyse en cours sont pris en compte.
    • Les relations : l'analyse systémique traite des relations entre les éléments analysés.
    • La téléologie : la téléologie est l'étude de la finalité du système[2], c'est-à-dire quel but doit être atteint pour considérer l'action entreprise par le système comme valide.
    • La sélectivité : l'analyse systémique sélectionne les éléments à analyser en fonction de leur signifiance, c'est-à-dire de la nature et de la valeur de l'information apportée dans le système pour lui permettre d'atteindre son but. Les éléments sans influence sur le comportement du système dans sa recherche du but à atteindre sont ignorés car ils ne sont pas signifiants.

    Grâce à sa capacité à examiner un système ou une situation comme un tout, cette analyse fournit une vision précise incluant tous les éléments pertinents du système ou de la situation examinée. L'analyse systémique examine les relations entre les objets et capture toute la complexité d'une situation dans un même ensemble.

    Une méthode prospective

    L'action de l'analyse systémique est par essence prospective, elle est orientée vers le but à atteindre. L'analyse systémique est dynamique, elle favorise la modélisation des comportements possibles et elle intègre tous les éléments nécessaires à l'atteinte du but préalablement fixé. Elle ne cherche pas à connaître la genèse d'une situation donnée mais elle s'appuie sur la situation existante pour atteindre sa cible.

    Une vision dynamique

    Contrairement à l'analyse cartésienne qui définit les caractéristiques de l'objet analysé, l'analyse systémique se focalise sur le comportement de l'objet dont les caractéristiques sont, par définition, considérées comme inconnues, c'est-à-dire qu'il n'y a nul besoin de connaître les caractéristiques de l'objet pour en modéliser le comportement.

    Seule la transformation subie par l'input qui y est injecté pour devenir l'outputaux caractéristiques conformes à la définition du concept est importante.

    L'analyse travaille uniquement sur le comportement, modélisé par les relations liant les constituants du système entre eux.

    Son champ d'étude est dynamique; avec un point de départ, la situation actuelle jugée comme insatisfaisante; un point d'arrivée, la situation idéale à atteindre; et des modifications à apporter au comportement des éléments du système pour que le but soit atteint.

    L'analyse systémique ne prend pas en compte les caractéristiques de l'objet de la même manière que l'analyse cartésienne.

     Aux yeux d'un systémicien, un système est une boite noire qui est définie par ses relations avec son environnement. Il ne lui est pas nécessaire de connaître le contenu de la boite noire. Seules les relations, les interactions et les rétroactions l’intéressent (effet rétroagissant sur la cause) 

    Par contre, le fait que l'analyse systémique mette en évidence des valeurs haute et basse pour définir la relation entre deux systèmes permet de prévoir le comportement de l'ensemble.[3] L'observation des modifications qui se produisent au sein de la relation, les actions et les rétroactions résultant de ces modifications sont donc consubstantielles à la mise en œuvre de l'analyse systémique.

    A suivre !

    21 01 14

    Francis NERI

     



    [1]Systémique : méthode de régulation, de communication, de contrôle et de mise en cohérence  (homéostasie) des systèmes. Y compris les systèmes humains.

    L’expression est due à Joël de Rosnay un cybernéticien. C’est la jonction de deux mots : système et cybernétique

    [2] Système : « Ensemble d’éléments interagissant entre eux ». Un système est  un ensemble d'éléments interagissant entre eux selon certains principes ou règles.

    Un système est déterminé par :

    • la nature de ses éléments constitutifs ;
    • les interactions entre ces derniers ;
    • sa frontière, c'est-à-dire le critère d'appartenance au système (déterminant si une entité appartient au système ou fait au contraire partie de son environnement).

    Un système peut être ouvert ou fermé dans tel ou tel domaine, selon qu'il interagit ou non directement avec son environnement

    [3] Jeu des rétroactions : Positive (qui amplifie le phénomène) Négative (qui soulage la pression) Thermostat.