Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

robert manard maire de béziers

  • Trump vainqueur à nouveau

    "Le discours de Trump a duré deux heures et a été une fois de plus une performance extraordinaire. Il n’existe pas aujourd’hui dans le monde occidental un orateur de la trempe de Trump.

    Il a une puissance sans égale. Il sait alterner le comique féroce avec les propos sérieux et émouvants. Il ne pratique pas la langue de bois et parle de manière directe et tranchée, ce qui déplait aux adeptes de la langue de bois.

    Il est redoutable d’être son adversaire. On comprend en le regardant et en l’écoutant parler pourquoi il a gagné en 2016 (il était le seul à pouvoir battre Hillary Clinton, je le redis), et pourquoi, sauf cataclysme majeur ou tricherie, il gagnera encore cette année.

    Il a énoncé le bilan de ses trois années et demi à la Maison Blanche et c’est un bilan remarquable sur tous les plans, y compris pendant la période du coronavirus (ceux qui ne comprennent rien aux Etats-Unis oublient volontiers que le Président peut superviser, mais pas agir au sein des 50 Etats où l’action relève des décisions du gouverneur).

    J’ai traité de nombreuses fois de ce bilan, et je n’y reviendrai pas ici. Il a souligné ce qui lui restait à faire. Il a parlé de la situation actuelle aux Etats-Unis et a dénoncé le comportement des maires gauchistes des plus grandes villes américaines, qui ont laissé saccager leurs propres villes et détruire des statues sur un mode totalitaire. Il a dénoncé le Parti Démocrate, qui se fait complice de saccages et de destructions. Il a rappelé que les vingt villes américaines où les chiffres du crime et de la pauvreté sont les plus élevés sont toutes des villes démocrates. Il a souligné qu’il ne pouvait intervenir dans les villes touchées par les émeutes, car le Président n’a pas le pouvoir de le faire, sauf s’il décide d’envoyer l’armée. Il a attaqué le programme démocrate et dit, a juste titre qu’il serait ruineux pour les Etats-Unis.

    Il a souligné le rôle que des gauchistes tels Alexandria Ocasio Cortez et des islamistes comme Ilhan Omar jouent dans la campagne de Joe Biden, et il a dit non seulement que Joe Biden était très diminué mentalement (ce que les journalistes de gauche ne pourront cacher indéfiniment), mais qu’il était très corrompu, et qu’il avait un passé raciste très lourd, affirmations qu’il a détaillées et qui sont tout à fait exactes. Il a expliqué ses positions vis -à-vis de la Chine, de l’Iran, de l’Union Européenne, de l’Allemagne, de manière précise et magistrale. Son discours était imprégné de force, de fraternité, et d’un amour visible de l’Amérique et du peuple américain. Il y avait beaucoup de noirs dans la salle, tous très enthousiastes, et j’ai voulu y voir un signe. Si les Démocrates perdent l’électorat noir, ils courent au désastre. Je pense que c’est pour cela qu’ils ont actionné Black lives Matter et suscité les émeutes."

    https://www.dreuz.info/2020/06/22/trump-repart-en-campagne-pour-sauver-lamerique/?fbclid=IwAR0JZ2pLR3MOLycBr3vMMZDf3AgvfIeVrayAQxosj63UEsmJ9wTDk2MVYFk

    Claude Rostagnat
    25 06 20
    http://semanticien.blogspirit.com/
    Francis-claude Neri

  • Fractale et subsidiarité

    Fractale :

    «  La structure et l’organisation d’un système ne changent pas quelle que soit l’échelle »

    Ce terme, créé par le mathématicien français Benoît Mandelbrot en 1969, s'applique à toute forme ou structure qui reste identique à elle même quel que soit le niveau auquel on l'observe.

    Un cristal de neige par exemple ressemble à la plus petite des structures cristallines qui le compose.

    Une structure fractale reste fine à tous les niveaux d'observation.

    Pour ma part, je mets en œuvre une forme de communication fractale : plutôt qu'un discours linéaire et séquentiel faisant se succéder les arguments dans l'ordre arbitraire de l'exposé, je cherche à communiquer mes idées par des séries de modules organisés sous forme fractale. De chaque mot peut naître un concept et de chaque concept, une nouvelle proposition d’organisation économique, sociale, politique etc.
    Alors que la démarche linéaire traditionnelle cherche à éviter les répétitions, je ne les crains pas. Tel thème sera repris plus loin, développé, éclairé dans un autre contexte.

    Les formes de communication fractales (managériale, pédagogique, thérapeutique) sont emboîtées les unes dans les autres. Une simple phrase peut contenir la totalité d’une approche sur une problématique donnée et les redondances inévitables enrichir une proposition déjà discutée dans un autre contexte.
    On peut générer des formes fractales d'une grande complexité à partir de règles simples et répétitives.
    La complexité émerge de la simplicité partagée. C'est une des grandes lois de la nature.

    Organisation fractale de la société :

    Une organisation fractale de la société est non seulement possible mais il est urgent d’y souscrire. Les religions, les idéologies, les systèmes politiques contraignants ne sont plus suffisants pour faire avancer les hommes dans les directions souhaitées ou promises.

    Le principe d’organisation des structures, économiques, politiques, sociales sous forme fractale sont courantes en matière d’entreprise et elles ont prouvé leur efficacité.

    Il s’agit d’une part que l’organisation et la structure ne changent pas, quelle que soit l’échelle, et d’autre part, que le principe de subsidiarité lui soit appliqué.

    Plutôt que de rester enfermé dans des emboitements successifs au sein de structures pyramidales, le principe d’organisation fractale mis en convergence avec celui de subsidiarité nous permet, par exemple en tant que nation, de nous situer comme intégré dans l’ensemble Européen, sans nous perdre dans un plus grand que nous, tout en bénéficiant des avantages que procure le fait que le tout (L’Europe) est plus grand que la somme des parties (les nations).

    Le principe de subsidiarité :

    C’est à dire l’application d’une maxime politique et sociale selon laquelle la responsabilité d'une action publique, lorsqu'elle est nécessaire, revient à l'entité compétente la plus proche de ceux qui sont directement concernés par cette action. Ainsi, lorsque des situations excèdent les compétences d'une entité donnée responsable de l'action publique, cette compétence est transmise à l'entité d'un échelon hiérarchique supérieur et ainsi de suite. Le principe de subsidiarité veille à ne pas déconnecter la prise de décision publique de ceux qui devront la respecter. C'est en somme la recherche du niveau hiérarchique pertinent auquel doit être conçue une action publique.

    Sur les pratiques : sociales, économiques, financières, démographiques, immigrationistes etc.
    En nous apprenant à dissocier toute chose, la formation actuelle par disciplines nous a fait perdre l’aptitude à RELIER.
    Du coup, nous ne savons plus penser les problèmes fondamentaux et globaux. L’égocentrisme, l’hyper-spécialisation, l’hyper individualisme, la perte des solidarités expliquent l’absence de réactions du peuple de France face aux contraintes que lui impose la mondialisation « ultra libérale ».

    Sans « lunettes systémiques » mettant en convergence la notion de subsidiarité avec le principe d’organisation fractale, nous croyons être face à des faits isolés sans aucun lien logique.

    Mettre ses lunettes systémiques, c’est relier des faits dispersés et leur donner sens.
    C’est aussi faciliter les interactions directes et indirectes entre les individus, entre les groupes, et avec l’environnement proche. Ces interactions remplacent les « plans d’action » des élites technocratiques.

    Si nous observons la nature, nous constatons que depuis toujours elle procède par autocatalyse, auto sélection et exclusion compétitive …nous avons cru pouvoir faire autrement et parier sur la possibilité d’imposer au monde entier l’universalité des « valeurs occidentales » …il nous faut déchanter et revenir à ces principes premiers, sous peine de disparition sous la pression des « nouveaux barbares » financiers, religieux ou idéologiques.

    Les infogroupes :

    Plus une société est vaste et complexe, plus elle a besoin d’être structurée et organisée. Mais elle a d’autant plus besoin de subsidiarité et de structures en responsabilité au plus prés du terrain. C’est ce que nous proposons dans notre « Projet Infogroupes » lancé au moment ou Robert Menard Maire de Béziers proposa le projet « Oz ta droite » qui échoua à rassembler les droites.

    Nous avons également échoué une première fois et probablement pour les mêmes raisons : la participation démocratique EST la question vitale et nouvelle qui nous est posée.

    Le projet « infogroupes » se voulait rassembleur à partir du local vers le global et en dehors des appareils politiques et des institutions dans lesquels les Français n’ont plus la moindre confiance.

    C’est exactement ce que nous devons proposer à nouveau car c’est le moment de le faire.

    Notre objectif : s’interconnecter sur NOS réseaux sociaux. Faire des nœuds locaux de communication. Mettre nos cerveaux en réseau. Un réseau neuronal « analogique » pour traiter aussi bien des variables et des interactions locales que nationales.
    Anticiper et intervenir avant tout le monde, dans un domaine déterminé (éducation, économie, culture, démographie, immigrations, actions terroristes etc.) Ainsi que sur les rétroactions positives qui amplifient et détruisent les structures aussi vite qu’elles se constituent (exemple de NDDL, l’aéroport)
     
    Reconstruire une « animation » à partir de la base et d’une notion « girondine » de l’Etat, c’est à dire décentralisée et ne plus penser à une fusion des appareils politiques, çà n’arrivera pas !

    Il y a dans notre pays beaucoup trop de gens pour analyser et surtout expliquer les problèmes et pas assez pour aider à les résoudre…

    Avec les « infogroupes » c’est possible !

    Francis-claude Neri

    22 04 18