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mondialisation - Page 90

  • Economie et systémique

     

    Merci à Gidmoz  et ASSANI  qui posent un commentaire et une question qu’il est bon de partager.

    Très bien votre définition du "système" Gidmoz , mais vous en faites une représentation et un usage limitée à l'économique et à la finance. Vous pourriez élargir, complexifier.

    Je serai bref par nécessité et donc nécessairement réducteur, ce qu’il ne faut surtout pas faire en « systémique ». Vous voudrez bien me le pardonner.

    Ce que vous exprimez ne me parait pas correspondre à ce que la nouvelle économie émergente aspire (réfléchir à la notion d'émergence Assani ! Notion qui avec l'organisation et le contexte est une des clés de l'approche systémique). 

    L’application de l’approche systémique, en « nouvelle économie », ne peut se faire que dans un système ouvert dont les nœuds et la chaine des causalités essentielles sont orientés, régulés et contrôlés.

    C’est un peu le principe de la prévision auto-réalisatrice que les spéculateurs ne se gênent pas d’utiliser.

    Actuellement, notre système économique « Occidental » est basé sur l’auto-régulation et nous voyons bien que çà ne marche pas !

    C’est un peu l’histoire du renard libre dans un poulailler libre. Et actuellement le renard libre est parfaitement représenté par la Chine et bientôt par quelques autres « zones » encore en gestation.

    Les renards font des petits et ils ont faim !

    La porte de sortie possible serait de fermer le système (sur un territoire, une culture, un contexte, une bulle temporelle) faute d’établir des règles communes et globales  (universelles) de régulation négatives qui compensent ou conduisent à l’équilibre.

    Des règles qui organisent la production, l’utilisation et la juste répartition des richesses (si l’on veut se limiter à l’économie ce qui me semble réducteur).

    Ce pourrait être le rôle de l’Organisation Mondiale de Commerce, mais nous voyons bien que ce « machin » n’a pas la moindre intention d’y procéder.

    C’est la raison pour laquelle certains proposent de revenir au protectionnisme et à la fermeture des frontières. En France par exemple c’est le cas de Marine Le Pen qui ne fait que constater que l’Europe et la mondialisation sont en panne et que le dépanneur refuse d’intervenir car çà ne fait pas son affaire.

    Il n’est pas nécessaire d’être grand clerc en "géopoliticoéconomie", de "modéliser", d’examiner les détails de la chaine des causalités économiques, sociales, écologiques, et je ne sais plus trop encore, pour savoir ce qui va se passer. La Chine qui peut réguler, contrôler et sanctionner comme bon lui semble, le Japon qui n’a pas une démographie galopante à nourrir se referment sur leur marché intérieur …et sur la planche à billets …en attendant que çà passe et que les « autres » suivent…

    Mais suivre, c’est une autre histoire et elle ne se fera pas sans une vision globale, le sens de la complexité et la méthode systémique.

    Pour cela, créons des réseaux interdépendants de compétences  dont les objectifs sont d’aider (par l’éducation et la socialisation si c’est encore possible)  à « s’élever pour mieux voir, relier pour mieux comprendre et situer pour mieux agir » (Joël De Rosnay)

    Bref apprendre à penser et agir en Systémicien, ce que notre "système" scolaire et universitaire se garde bien de faire.

    C’est l’objectif de l’Institut Européen de Systémique Expérimentale (IESE).       

     Francis NERI

     

     

     

  • Islam

    « L’islam n’est pas une religion, c’est un système politico-religieux qui sanctifie la violence et la guerre pour glorifier Allah et son Envoyé 

     Parler d’assimilation à un musulman, c’est comme lui demander de devenir un apostat  (un   mourtad)L’apostasie est un crime impardonnable en islam ; elle est pire que la mécréance, alors ce n’est pas demain que l’assimilation à la française serait admise par les musulmans de France.

    L’islam est guerrier et conquérant, il le demeurera tant qu’une ferme résistance et un coup d’arrêt ne soit donné à son expansion.

    Il impose son idéologie lorsqu’il est minoritaire en jouant sur la victimisation, surtout en Europe où les sociétés d’accueil sont trop conciliantes à son égard, car elles veulent ignorer sa dangerosité ». 

    Il n’y a pas, il n’y aura jamais de conciliation ni de négociation possible avec l’Islam. Ce sera donc lui ou nous. 

    Mais l’occupation de nos territoires par l’Islam est une conséquence, celle de la collusion et de la collaboration de nos élites, et plus généralement de la gauche « tiers mondiste », avec cette nouvelle forme de Fascisme. 

    Il ne sert donc à rien de nous en prendre aux musulmans de base qui sont sur nos territoires ; ce serait contre productif. Par contre il ne faut pas montrer la moindre faiblesse envers leurs représentants, leurs institutions religieuses, leurs établissements cultuels ou culturels.

    Les islamistes veulent terroriser le peuple de France. Nous devons changer la donne. Nous avons  le devoir d’installer l’inquiétude dans leurs esprits et la panique dans ceux des collaborateurs de droite ou de gauche qui sont à l’origine du problème et dont il faut s’occuper en premier car : « On ne résout pas un problème avec les modes de pensées qui l’ont engendré ». Et ceux qui sont la cause du problème ne peuvent participer à sa solution » 

    Enfin, il serait suicidaire et sans efficacité réelle si nous ne prenions conscience que la complexité du monde  a envahi toute notre sphère du réel.  

    La chaine des causalités est sans indulgences. Elle n’attend pas et notre horizon s’obscurcit de jours en jours et de plus en plus vite.

    « En majorité les Français n'ont plus envie de défendre leur pays et encore moins ses traditions, ses valeurs et son histoire. La conscience de l'interconnexion des causes est très peu répandue. » Nous dit Charles DALGER . Qui rajoute pourtant : « Formons donc, ce camp des patriotes ! Défendons les valeurs que nous partageons. Ne laissons pas les collabos nous vendre aux nazislamistes. Unis nous vaincrons ! 

    Il a raison ! Peu d’entre nous savent « relier » mariage homo, islamisation, mondialisation, crise financière, sociale, économique, écologique etc… Et pris conscience qu’il fallait non seulement nous unir mais penser aussi à « réunir » les causes et les moyens d’action pour mieux agir.   

    Quel nouveau mode de gouvernance pour faire face à ces défis multiples et convergents ? 

    Penser le monde fini et répondre à des évènements  nouveaux avec des solutions dépassées est un constat d’échec que la complexité nie en proposant une autre alternative : la révolte de la pensée systémique. 

    Il nous faut bien constater que notre forme actuelle de « résistance » est dépassée, inefficace, ne sert à rien. Les blogs « résistants », les coups de force identitaires, les manifestations contre l’islamisation dela France, les conférences et les débats télévisés de nos intellectuels aussi bons soient t-ils… comme Eric Zemour. La voie électorale avec la désastreuse élection de François Hollande, les marches contre le mariage homo, le suicide emblématique de Dominique Venner etc.… Tout cela n’est pas d’une efficacité suffisante et nous conduit dans une impasse. Bref le printemps Français se fait attendre.

    Je suis certain que comme moi, vous avez fait ce constat d’impuissance… et pourtant. « Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer » 

    Et comme il faut bien commencer par quelque chose, eh bien je considère que nous avons deux axes à privilégier et à mener de concert :

    Nous débarrasser au plus vite de François Hollande et de ses affidés  si possible par la voix électorale…je dis bien si possible ! Sinon faisons confiance et aidons ceux de ces jeunes révolutionnaires que j’ai rencontré le 26 au soir à Paris après la manif contre le mariage homo. Ils m’ont gentiment « protégé » et « évacué » vers un coin tranquille lors de la charge des forces de l’ordre.

    Enfin pour ce qui concerne le « péril islamiste » notre « violence » doit s’exercer sans violence physique. Mais pour cela je fais confiance à l’imagination des Français, et les jeunes « Gaulois » auxquels je pense n’en manquent pas !   

    Ils m’ont parlé hier de Dominique Venner dont je rappelle ci dessous ce qui constitue, pour eux, l’essentiel du message : 

    « Les manifestants du 26 mai ne peuvent ignorer cette réalité. Leur combat ne peut se limiter au refus du mariage gay. Le « grand remplacement » de population dela Franceet de l'Europe, dénoncé par l'écrivain Renaud Camus, est un péril autrement catastrophique pour l'avenir.

    Il ne suffira pas d'organiser de gentilles manifestations de rue pour l'empêcher. C'est à une véritable « réforme intellectuelle et morale », comme disait Renan, qu'il faudrait d'abord procéder. Elle devrait permettre une reconquête de la mémoire identitaire française et européenne, dont le besoin n'est pas encore nettement perçu.

    Il faudra certainement des gestes nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines. Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes ».

    Francis NERI

  • Un support « biopolitique »

    Lucien est un des rares universitaires ayant étudié l’approche systémique et surtout qui met en application ses connaissances pour dénoncer cette idéologie mondialiste qui veut réguler et contrôler le monde à sa manière et surtout à son avantage.

    Je l’ai rencontré à Résistance Républicaine au sein duquel nous avons tous deux brièvement milité.

    C’est un authentique résistant, lucide et sans illusions mais qui ne lâche rien sur ses convictions essentielles.

    J’ai choisi de vous communiquer ce texte parmi d’autres de sa production car je trouve  que son analyse  (relationnelle) de l’évènement, qui passe hélas un peu trop inaperçue, s’intègre comme la pièce d’un puzzle dans le projet de ceux qui veulent nous imposer leur vision totalitaire du monde que nous devons denoncer avec la plus extrême vigueur.

    Francis NERI

    A suivre et à diffuser largement !

    http://webmail.numericable.fr/ncn/mail/msg_getattachment.php?mailbox=inbox&uid=149308.inbox&part=2.2 

    Disparition, effacement, de la notion de « race »…

    Il ne s'agit pas seulement d'un simple effacement au profit d'une vision "humaniste", mais, paradoxalement, d'une vision biologiste qui réduit l'être humain à son corps qu'il s'agit certes de préserver ("care") mais en tant que dispositif énergétique interchangeable : c'est-à-dire un support "biopolitique" sans autre identité que celle octroyée par le "champ" traversé à un moment xyz par le "support", vous, "moi" (et le je est seulement un autre).

    En d'autres termes, la notion de "race" est en réalité remplacée par celle de "variété" comme l'on parle de variétés animales et plantaires ; dans ce cas de figure, le support peut voir sa sexualité changer comme il peut lui être implanté des connecteurs divers et variés puisqu'il n'est qu'un substrat ; c'est là la "matrice", même, elle-même, de l'idéologie totalitaire dite "postmoderne" (PM) ; les anciennes identités dans ce cas sont perçues comme les canevas de mondes symboliques anciens qu'il s'agit certes de préserver (officiellement…) comme on le fait des monuments historiques, ou alors de laisser être comme folklore, même si celui-ci peut refuser de mourir, par exemple l'islam, la pensée libérale, l'identité juive, française, tout ce qui peut en fait articuler une culture et une nature et donc constituer un "peuple" dont les racines ne sont pas seulement construites ou seulement organiques mais spécifiques au sens d'être un mixte des deux.

    Or, dans l'idéologie totalitaire du PM ou du NL (néo-léninisme) une telle mixité est éliminée au profit du substrat androgyne dont les pièces de plus en  plus détachables sont remplaçables (vecteurs de la "croissance" à venir) au-delà des frontières, des milieux, bref des "races et des classes" termes synonymes du monde "ancien", celui de la "domination".

    IL s'agit désormais de raisonner de façon éthérée, soft, souple, où la tension le conflit auraient disparu dans le jardin mondialisé des variétés au profit du sourire éternel d'un côté, du total recall, de l'autre : les désirs les passions sont vécues sous un mode mineur, c'est-à-dire dans les sexualités et les paradis artificiels ; le "reste", l'économie, le travail, la santé, la culture, sont des "exceptions" gérées ("care") par l'État mondialisé et ses affidés, gentils animateurs, excroissances holographiques du discours P.C.F contrôlant les réseaux de la "Matrice"….

    Bonjour chez vous.