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Nouvel Ordre Mondial - Page 23

  • 1984

    J’ai profité de ma nouvelle suspension d’un mois, sur le réseau Facebook pour relire une nouvelle fois 1984. J’en sors toujours profondément déprimé.

    Bien heureusement je m’occupe d’autant plus de mon jardin, de mes fleurs et de mes tomates çà permet de s’accrocher au réel.

    Un réel dont le dispositif médiatique du régime diversitaire, véritable machine de propagande, manipule le sens pour le traduire dans son propre système idéologique. A mon avis c’est très exactement cela une « fake new ».
    Je pense que la prochaine étape suscitée par cette peur du régime diversitaire devant la montée de ce qu’il qualifie de populisme ou de conservatisme sera d’étendre le domaine de la criminalisation de la pensée, de renoncer à convaincre et de préférer contraindre.
    Il suffit d’écouter une certaine Marlène Schiappa pour s’en convaincre.

       
    Il y a aussi notre « infogroupe » (penser global mais agir local) qui s’occupe (et m’occupe de plus en plus) de problématiques locales  et qui progresse au point que nous envisageons de nous constituer en association.

    Déjà, en 1948, George Orwell nous dit : «Celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur. Celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé» C'est un des slogans les plus glaçants de 1984, son chef-d'œuvre visionnaire  .

    On s'aperçoit de plus en plus souvent, presque à chaque instant, que les mécanismes totalitaires décrit dans ce roman sont parfaitement repérables dans le fonctionnement de nos sociétés, aujourd'hui même.

    La conjuration est en marche et George Orwell finira, comme nous tous, par connaître le sort de ses personnages que le pouvoir voulait effacer, définitivement: « Des gens disparaissaient, simplement, toujours pendant la nuit. Leurs noms étaient supprimés des registres, tout souvenir de leurs actes était effacé, leur existence était niée, puis oubliée. Ils étaient abolis, rendus au néant. Vaporisés, comme on disait.»

    Nombre de NOS ami(e)s … et non des moindre ont disparus de facebook. QUI s’en préoccupe, QUI a remarqué que depuis deux mois  (avec une interruption de 5 jours) je fus également interdit ?

    Tout ce que dénonçait l’auteur britannique dans son chef d’œuvre 1984 se révèle d’une effrayante actualité.

    Comme Orwell le prédisait, le politiquement correct et sa novlangue produisent un réel officiellement certifié.

    Les dernières élections Européennes nous démontrent à quel point « Big Brother » nous tient, est en nous. C’est désespérant à dire, mais il n’y a pas de « solution de continuité » ; du moins de notre part, car « nous » ne savons même plus « QUI » nous sommes.

    Mille excuses à mes ami(e)s à qui je n’ai pu répondre et échanger. C’était l’objectif : me faire taire.

    Le plus comique dans l’histoire c’est que çà n’a servit à rien ; nous sommes revenu à la case départ après un passage en prison.

    Comme le chantait Moustaki : passe, passe le temps, il n’y en à plus pour très longtemps !      

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

     

    22 06 19

  • Macron est le véritable vainqueur de ces élections !

    Macron est le véritable vainqueur de ces élections !

    Le vote utile s'est transformé en vote stérile...

    Les Français ne veulent plus d'augmentation d'impôts et de taxes, la solution de Macron est de nous imposer une prétendue "transition écologique" par laquelle il va nous racketter davantage, et nous ne pourrons contester son bilan puisque les projets écologiques s'étalent sur 10 ou 20 ans minimum.

    Et qui arrive 3ème ?
    Europe Écologie Les Verts qui signera des deux mains les propositions de LREM au Parlement européen.

    LREM + EELV = 34%

    Les perdants sont les Français identitaires car aucun Eurodéputé ne représente leurs revendications.
    Ne seront jamais abordées les thématiques existentielles de la France :

    - remplacement de la population
    - islamisation
    - inversion des flux migratoires

    Félicitations au système !!!

    Jean-Michel Jacquemin Raffestin

    La carte n’est pas le territoire et les mots ne sont pas la « chose » qu’ils désignent !

    Puisque le langage n'est pas la réalité, faisons des mots une réalité libre et indépendante qui dans son propre espace intérieur rejoindra peut-être magiquement le nôtre et les symboles intemporels.

    A défaut de se superposer, qu’ils se rejoignent !

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Civilisation

    Une  nébuleuse de planètes idéologiques.

    Une civilisation avance et se maintient selon une dynamique de renouvellement, sinon elle stagne, se sclérose et dans un environnement en évolution, elle devient tributaire, parasite ou se condamne à disparaître à terme.
    Le renouvellement est un double processus à la fois cyclique et concomitant, pour partie réversible, pour partie irréversible, de destruction-construction, pour partie planifié intelligemment pour partie totalement hasardeux, arbitraire et erroné!
    Il faut supposer qu'il existe une fourchette de ratios maximaux et minimaux de (auto-)destruction et construction à l'intérieur de laquelle une civilisation évolue dans la continuité et se maintient. L'histoire occidentale a laissé la trace de ruptures voire de révolution, mais un certain nombre de continuitéS l'ont accompagnée jusqu'à il y a peu.

    La plus grande, la plus évidente, de ces continuité est biologique, le peuplement européen est un bassin génétique très stable au moins depuis l'aube de la civilisation, jusqu'aux premiers flux migratoires au début des années cinquante du vingtième siècle avec l'arrivée massive d'antillais en Angleterre.
    Sur ce point et sur une toute une série d'autres, il semble que les ratios de destruction et de construction ait quitté la fourchette. Il semble par exemple que l'immigration de masse un projet de construction d'une société nouvelle multiethnique, multiculturelle, construise trop, trop vite, trop différent et évidemment détruise trop pour s'intégrer dans la civilisation occidentale européenne (il faudrait inclure les États Unis et le Canada), sans la désintégrer.

    Il semble qu'on pourrait également dire la même chose de l'idéologie d'accompagnement de ce phénomène et de beaucoup d'autres composant la nébuleuse de planètes idéologiques, postmodernes, politiquement correct, antiraciste, anti spéciste, islamo-compatible, théorie du genre etc., gravitant autour du trou noir intellectuel, le relativisme absolu, avec son rayonnement gamma l'opinion-isme.
    On peut observer bien d'autres domaines, dans lesquels il semble que la civilisation occidentale (européenne) ait enclenché le processus de sa propre auto destruction. Je ne saurais à ce propos dire s'il s'agit d'un syndrome d'auto satisfaction destructrice, phénomène qu'on décrit quelques fois avec un mot désuet, la "décadence", que certains historiens ont cru avoir déjà observé et que certains vont même jusqu'à y voir un déterminisme condamnant à terme toute entreprise de civilisation.

    Peut-être péchant par excès d'optimisme suis-je victime d'un biais cognitif, toujours est-il que je suis sceptique sur ces deux derniers points.
    Les exemples ne manqueraient pas en dehors du Grand Remplacement, si l'on voulait illustrer la thèse de la fin de l'Occident et des valeurs sur lesquelles reposait sa Civilisation, tellement brillante qu'en à peine deux siècles elle avait réussi à éclipser définitivement toutes les autres haut la main, dans TOUS les domaines.

    On pourrait parler des chaînes de solidarité brisée en tenaille, par le haut avec l'hyper richesse défiscalisée et par le bas avec les cohortes de parasites en provenance du monde entier s'agglutinant et s'ajoutant aux éléments locaux, sans compter par le milieu avec les parasites du milieu, les fonctionnaires inutiles du public et leurs équivalents du privé, bref la liste est longue mais passons au plus grave l'environnement.

    Il n'y a rien dire à des gens qui ne veulent pas voir ce qui a été perdu, chacun prendra la mesure de l'auto destruction et se demandera à quoi et dans quelle mesure il a lui même collaboré à la destruction de son monde.

    François Amsallem

    28 05 19