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Le systémicien - Page 143

  • Brexit

    Voici ce qu’écrit dans les « dernières nouvelles d’Alsace » un « journaliste bien-pensant » Pascal COQIS dans son « éditorial » concernant le brexit :

    « Comme le dit Michel Barnier, l’un des négociateurs de l’Europe, « on n’a pas besoin de plus de temps, on a besoin d’une décision. »

    « Chacun sachant que la seule qui réglerait tout une bonne fois pour toutes serait un nouveau référendum avec, cette fois, des électeurs votant en toute conscience et toute connaissance de cause. On n’y est pas encore, mais on s’en approche un peu plus chaque jour. L’Angleterre de 2019 n’est plus celle qui, en 2016, votait pour la sortie de l’union. Le pays a changé, son avenir aussi. ».

    Et voilà ! Les Anglais ont mal voté …il faut recommencer …çà ne vous rappelle rien ? Voyez Sarkozy …c’est y pas de la démocratie çà ? Du peuple souverain qui vote mal ?

    Changeons donc de peuple !

    Francis-claude Neri
    01 03 19

  • Régulation et contrôle

    Comment la colère des gilets-jaunes se terminera-t-elle ?
    Ma tribune de ce jour sur Riposte Laïque. Bien amicalement.

    Bertrand du Boullay est avec Anne Bornet et 92 autres personnes.

    19 février, 13:37 ·

    Bonne question ...j'y donnerais la même réponse que celle de notre ami Maurice Gosseaume : "Ce mouvement ne s’épuisera pas... Il répartira car il correspond aux souffrances de 6 millions de chômeurs, 9 millions de pauvres, et 15 millions qui s’appauvrissent chaque jour

    Donc c’est devenu vital"

    ...tout en essayant de remonter à la cause des causes ... qui est avant tout sociologique, car si nous reconnaissons ici que le peuple souffre nous ne savons pas vraiment dire de quoi et pour quoi !

    Je sais que comparaison n'est pas raison, mais nous sommes en France encore loin d'avoir atteint le fond comme certains pays y compris européens ...donc, la VRAIE révolte populaire n'est pas pour demain et nous trouverons bien une "solution de continuité" pour ne pas nous effondrer ; comme toujours, c'est affaire de régulation interne et pour cela Macron semble n’y pas parvenir ...hélas !

    Le caractère particulier du problème de l’autonomie dans une société de masse tient à la façon dont s’exerce l’influence de la société.
    Jusqu’à une date récente, la régulation s’opérait de façon hautement personnalisée par l’intervention d’autres êtres humains, parents, professeurs, prêtres. 

    La connaissance intime et de proximité de personnes permettait à l’individu de s’identifier à elles pendant la période d’adolescence et de transition jusqu’à ce que la régulation, intériorisée fasse partie de la personnalité de l’individu.
    Aujourd’hui comme hier, les régulations internes ne peuvent s’identifier que sur le fondement de relations personnelles et non pas en obéissant aux exigences de la société. Nous ne pouvons les intérioriser qu’autant que nous nous identifions à des personnes que nous aimons, que nous respectons ou que nous admirons, qui ont elles mêmes adopté ces régulations en s’identifiant à des personnes qu’elles respectaient…
    Depuis en gros mai 68 l’école, la famille et la cité ne font plus « régulation » et ne contrôlent plus rien.
    C’est avant tout de cela que nous souffrons !  

    La réponse technique est donc relativement simple à trouver …la réponse sociologique est plus ardue mais passe tout de même par plus de régulation, de contrôle ET de remédiation …mais contrôler la démographie, la finance, l’économie, l’immigration ce devrait être le travail de l’Etat …et laissons les citoyens trouver eux mêmes leurs méthodes de régulation, de contrôle ET de remédiation.

    Leurs pratiques vielles d'au moins 2000 ans en valent bien d'autres !    

    Francis-claude Neri

    28 02 19

  • Comment tuer le peuple Français ?

    En 2014, je propose qu'on arrête de mentir aux jeunes, de leur dire qu'un master de sociologie est une bonne affaire et que les cours de théâtre mènent à tout : la sociologie, ça ne sert à rien pour gagner sa croute, et le théâtre, quand c'est bien, ce qui est rare, c'est magnifique, mais dans les deux cas il ne faudra pas venir se plaindre si aucun salaire ne tombe en fin de mois et accuser l'État ou les riches de ses propres turpitudes.

    Le peuple a encore le sentiment d'appartenir à une même collectivité il faut donc, dans l’esprit des élites politico-médiatiques et économico-financières, très vite dissoudre ce désir d’unité, prendre le risque  d'un creusement entre les classes sociales, d'un accroissement des écarts de revenus, d'une dissolution de l'unité du peuple, du sentiment, qu'il a encore, d'appartenir à une même collectivité.

    Le capitalisme débridé a apporté dans le monde son lot de malheurs, d'injustices, et surtout de brutalités. Les pays qui s'y livrent délaissent leurs pauvres et leurs faibles, laissant les forts tout écraser au nom de l'autorégulation du marché et des vertus de ce système, mais cela n’a rien à voir avec les Juifs, les Chrétiens, les Musulmans ou les Sionistes 

    Je réfute l'idée que notre pays soit mort. J'espère, je n'en suis pas certain, que la France n'est pas morte. Psychologiquement, il parait que rien n'aide plus que d’être au pied du mur, de se dire que c'est maintenant ou jamais.

    Aux armes donc citoyens !

    Francis NERI

    01 01 14

    Y a t'il quelque-chose à changer en mai 19 ?