Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mondialisation - Page 62

  • A la recherche de la Nation.

    « Les chefs d’Etat et de gouvernement ont des comptes à rendre à leur peuple. Les hauts fonctionnaires nommés à Bruxelles ou à Francfort ne connaissent pas les affres de l’élection. Ils n’ont pas la légitimité démocratique. Ils se parent des vertus de l’intérêt général européen en dénigrant les égoïsmes nationaux, mais ces égoïsmes nationaux sont sanctifiés par le suffrage universel qui est la base de nos régimes démocratiques. Cette querelle est aussi vieille que l’Europe, mais elle a pris une nouvelle ampleur depuis le milieu des années 80 et l’acte unique européen.

    L’idéologie libérale du moins d’Etat en vogue dans le monde entier est devenue le dogme bruxellois qui a fait reculer la politique au profit d’une régulation par le droit et le marché. Ce dogme libéral a explosé au soir de la crise de 2008

    Les Etats ont semblé reprendre la main.

    Et puis les mois ont passé. Bruxelles a repris du poil de la bête au nom des grands principes et des grands sentiments. La commission a tancé Paris pour sa politique d’expulsion des Roms. Les Français ont fulminé, ont sorti l’étendard mité de leur souveraineté nationale, mais ont cédé. Ils ont modifié la circulaire sur les Roms, qui sont revenus. Les partisans des principes et des droits européens ont triomphé. Mais les Etats ont montré une fois encore au peuple leur incapacité à protéger leurs citoyens. En des temps lointains ou le Marxisme était une idéologie à la mode, on n’ignorait point que le droit n’était souvent que le reflet de rapports de force d’un moment historique. »

    Eric Zemmour
    Le bûcher des vaniteux
    5 janvier 2011

    Petite synthèse

    Les chefs d’Etat et de gouvernement ont des comptes à rendre à leur peuple.

    Les hauts fonctionnaires nommés à Bruxelles ou à Francfort n’ont pas la légitimité démocratique

    Le suffrage universel est la base de nos régimes démocratiques. L’acte unique Européen.

    Les Etats ont montré une fois encore au peuple leur incapacité à protéger leurs citoyens

    Le dogme bruxellois a fait reculer la politique au profit d’une régulation par le droit et le marché

    Et observations

    La régulation par le droit et le marché est un rêve pour les innocents et une escroquerie pour les marchands. Je dirai plutôt qu’il s’agit d’auto régulation par les prédateurs du marché et les contrevenants au droit. Et l’auto régulation çà ne marche pas surtout celle ci, qui n’obéit à aucune forme d’éthique, ni au droit des peuples à disposer d’eux mêmes.

    Il faut donc retrouver notre souveraineté, nos frontières, redonner le pouvoir au peuple, modifier le modèle républicain et donc la constitution …à nous de dire comment et avec qui !

    Francis NERI

    19 01 15

     

  • Abandon

    Revisitons ce que nous avons  abandonné car nous n’avons pas correctement appréhendé ce qu’était l’approche systémique et surtout la « finalité » de ce groupe qui est de sortir de 40 ans d’abandon et de renoncement par ceux qui dirigent la France.

    Nous avons fait un  travail de débroussaillage et compte tenu du contexte passé, il n’était pas possible de faire mieux … la prise de conscience n’était pas dans l’atmosphère !

    Le beau temps  reviendra !

    Tout ce que nous avions pu faire c’était sensibiliser et corriger certaines dérives, un positionnement anti Juifs, anti Sionistes, anti globaliste de certains… par exemple !  Il faut donc se recentrer sur la ligne directrice initiale.

    Revoir par exemple ce que signifient l’approche systémique, la notion de complexité, d’organisation, de régulation, de rétroaction, de contrôle et de remédiation, le principe de subsidiarité, et revoir notre positionnement sur les questions métaphysiques.
    La question principale consiste à appréhender correctement l’idée que deux projets se font face :

    1) Le Dieu de l’Islam doit faire régner sa loi sur la terre entière, soumettre les hommes ou disparaître.
    2) L’Homme doit devenir son propre Dieu où disparaître en tant qu’individu raisonnable et agissant pour son propre compte.

    Ce qui est très mal parti, pensent les « Savants » musulmans, c’est l’idéologie fondée sur l’autonomie de l’homme et le pouvoir de la raison ; idéologie débutée avec le protestantisme, atteignant son apogée au siècle des Lumières et aboutissant à la Révolution.
    Jean Baudrillard l’explique très bien à partir de sa notion de « singularité » et il nous averti depuis bien longtemps du danger que cela représente pour les nations occidentales. Tout en s’y soumettant. « La seule manière de résister au mondialisme, écrit t-il (en 1973) c’est de pratiquer la singularité de l’islam. Né en 1929 après la première grande crise de la modernité, j’espère vivre assez longtemps pour assister à son tournant catastrophique avant la fin du siècle ». Il pense au XX eme bien sur !

    Cette défaite en cours de la pensée encore dominante est-elle effective ? Là est la question ! Je considère que sur le sujet, s’accrocher à ses opinions personnelles ne sert à rien et c’est gênant car çà nous empêche d’appréhender l’opinion des autres correctement. Et si nous la « comprenons »  correctement il nous est possible d’en déceler les contradictions et de l’influencer.

    La démocratie directe, qui à mon sens va se positionner très vite en opposition à la démocratie participative  ne peut s’exprimer qu’à cette condition. C’est une piste qu’il convient d’explorer rapidement et qui passe par les réseaux sociaux, des groupes et des pages comme les nôtres.

    Il y a un suicide général qui est celui de l’Occident. Suicide économique, démographique et surtout spirituel ; et c’est ce dernier qui ne passe pas dans les nouvelles générations qui ont plus que jamais besoin de sens. Un sens qu’ils ne trouvent plus dans l’Humanisme laïc qui, il faut bien le dire, ne fait pas beaucoup d’effort de « communication » et de prosélytisme contrairement à l’Islam. Les Chrétiens redressent bien la tête en ce moment, mais il semble qu’il soit un peu tard et que les autorités religieuses hésitent à engager le combat contre l’Islam sur ce terrain.  

    Que pouvons-nous faire ?

    Cesser de prendre l’effet pour la cause, inverser ou rompre le déroulement rationnel des choses, car il n’y a plus de causalité, il y a un brouillage des connections et il faut les « débrouiller ».
    Retrouver une pensée radicale qui n’est plus critique et rationnelle, qui égare et déstabilise notre jugement.
    Constater que l’islam est associé avec la gauche multiculturaliste malgré des différences idéologiques profondes comme par exemple l’avortement, le mariage gay, la place des femmes. Ce rapprochement est donc stratégique et il faut espérer que la gauche se réveille et prenne enfin conscience du danger… ce n’est pas gagné !
    Constater également que le libéralisme mondialiste économique, guerrier, financier est aussi en cohérence avec l’Islam des Saoudiens, des Qatari etc…et que leurs objectifs se rejoignent au sommet de la pyramide…les deux n’ont déjà pratiquement plus besoin des « masses ». Seulement de chercheurs, d’universitaires, de quelques techniciens de très haut niveau,  d’artistes et  d’artisans géniaux capables de leur fabriquer des objets uniques. Et pour un temps de quelques domestiques, le temps que la robotisation intelligente  de leurs demeures et de leurs objets se généralise.
    Constatons enfin que le projet Islamiste est en mesure de se réaliser et qu’il faut lui barrer la route, se soumettre ou disparaître.
    Considérons notre groupe comme un cerveau dont nous sommes les neurones et faisons en sorte que ce cerveau (cette gestalt) soit en relation avec d’autres cerveaux et construise avec eux un univers relationnel conscient de sa relation, agissant et efficace.

    Nous pouvons, sans passer nécessairement par la case d’un Dieu unificateur antagoniste du Dieu de l’Islam ...Chrétien, Juif, etc…  reconnaître que l’Islam s’adresse avant tout à un public d’humanistes athées, agnostiques ou écologistes. Envers eux, l’Islam a un discours bien rodé. Pas nous ! Nous sommes Chrétiens, Juifs, Athées et autres, confus, divisés et inefficaces. Constamment en train de nous « tirer dans les pattes !

    La question qui se pose est donc : L’islam est il appelé à dominer le monde et la civilisation Occidentale condamnée ?
    Je disais que l’islam, qui a pour finalité de « purifier le monde »,  comme le communisme, doit être universel ou ne pas être. Il doit être dans notre finalité de l’en empêcher, ensemble et universellement : agir local tout en pensant global comme disent les systémiciens.

    Commençons, ici et maintenant, sur ce groupe, ce blog à créer une relation TOTALE entre tous les opposants au projet « mondialo-islamo-gauchiste ». Nous pouvons créer un « graphe de liaison » entre individus « actifs », « libres » et « responsables », « interagissants » qui ne passe pas nécessairement par Dieu contrairement au projet Islamiste.

    L’approche systémique et le Web 2.0 sont bien les outils qui peuvent nous aider à gagner cette « guerre » qu’il n’est pas nécessaire apparemment de mener uniquement sur les champs de bataille…bien au contraire.

    Je compte sur vous pour critiquer le concept et le développer sur le terrain s’il vous convient.

    Francis NERI

    14 01 15

     

  • Régulation, contrôle, remédiation.

    Nous allons vers une "société de la connaissance" et la seule question qui se pose encore c'est celle du COMMENT et QUI y accédera... pas tous certainement.

    Sans progrès scientifique majeurs y compris en sciences humaines, l’homme ne contrôlera pas sa destinée. Sans avancées significatives le genre humain ne pourra se protéger de sa propre disparition.

    Quelqu’un pourrait il nous fabriquer un algorithme pour réguler et contrôler le "bordel" ? Le monde entier lui en serait reconnaissant.

    Penons l’économie par exemple !

    Sa forme actuelle, dérégulée, financiarisée et mondialisée est fortement « criminalogène ». 
    Le choix politique et idéologique de la déréglementation des marchés, couplés à l’essor des technologies (robotisation par exemple) et l’extension de la mondialisation, ont offert des opportunités aux comportements criminels et aux fraudeurs.

    Ce n’est donc pas la « nature » du système dit libéral qui est en cause, mais bien les pratiques de la plupart des « acteurs » de l’élite politique, économique, financière, sociale, culturelle, médiatique etc. 

    Les comportements criminels se banalisent, deviennent de moins en moins marginaux et sont de plus en plus acceptés comme étant inévitables par les peuples résignés, voire même jalousés par certains qui ne peuvent accéder au pouvoir de se servir au détriment de celui de servir.
    Le crime …de plus en plus et de mieux organisé, bien vendu aux peuples est devenu une dimension du système global lui-même.
    Il faut donc poser le bon diagnostic sur la réalité du fonctionnement du système tel qu’il est devenu.
    Il ne s’agit pas d’un  véritable complot mais plutôt de la convergence d’intérêts et de comportements criminels favorisés par un système devenu progressivement déviant.
    Des parades issues de la société civile se mettent en place (c’est ce que nous faisons sur nos blogs, nos groupes et nos pages). Mais dans le rapport de puissance actuel, seuls les Etats peuvent parvenir à réguler, contrôler les systèmes et sanctionner les acteurs qui dévient.     

    Et il n’y a pas d’autorégulation possible, c’est un vœu pieu. Les mauvais comportements chassent les bons !
    L’Etat doit donc, face à ces pouvoirs transnationaux, rester le siège ultime de la souveraineté et des libertés.
    Si le peuple de France reconquiert cette souveraineté, il pourra imposer l’Etat de droit et de devoir et entreprendre la reconquête « politique, économique, financière, sociale, culturelle, médiatique » etc.

    C’est la raison pour laquelle, sur ce blog, ce groupe et ces pages, nous soutenons le projet de Marine Le PEN car nous croyons encore possible la démocratie élective et l’émergence de la volonté populaire, y compris dans un esprit critique, de participer à son avènement.   

    Francis NERI

    28 12 14