Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Education et socialisation - Page 17

  • Universalité

    Danièle Obono a du mal à dire «vive la France» mais signe des tribunes pour défendre ceux pour qui «niquer» la France est le summum de la conscience politique. Cette proche du parti des indigènes de la République est de ceux qui, un mois après les massacres de Charlie et de l’hypercacher appelaient, non à combattre le terrorisme et son versant politique, l’islamisme, mais à lutter contre «l’islamophobie et le racisme d’État». Cette proche d’Houria Bouteldja est une de ces figures gauchistes qui n’envisagent les relations humaines que par le prisme de la domination et de la race, tout en se défendant d’être raciste et essentialiste.

    Certes le personnage est pour le moins déroutant pour qui pense que l’universalisme, c’est s’appuyer sur ce qui rassemble et que partagent tous les hommes, l’égalité en droit n’étant que la traduction dans la loi de notre humanité commune, mais la liberté d’expression c’est aussi accepter parfois des formes de pensées archaïques, caricaturales voire proche du nauséabond. Ceux qui font des différences de couleur de peau ou d’origine des particularités indépassables, qui cultivent une identité de victime pour justifier leur haine et leur violence et cherchent des boucs émissaires à qui faire endosser leur mal-être, ne se trouvent pas qu’à l’extrême-droite, les gauchistes ont aussi réussi à produire une variété de racismes extrêmement vivace et tout aussi dangereuse qui s’épanouit dans le mépris d’une France décrite comme colonialiste et oppressive.

    Céline Pina

    Danièle Obono aurait, comme bien d'autres, besoin d'être ré-éduquée, re-socialisée, régulée et contrôlée, si elle était dans un régime "gauchiste" qu'elle semble appeler de ces vœux. Bien entendu après un passage par une cure psychiatrique spécialisée dans le reconditionnement cérébral.

    Francis-claude Neri

    24 06 17
     

  • La revanche de Dieu

    Le moteur de l’Economie Réelle Occidentale a subi des dégâts structurels considérables. Le carburant des liquidités monétaires va continuer d’inonder le marché, procurant aux foules encore quelques années d’illusions de « richesse »  permettant aux derniers Etats providences comme la France de financer la croissance de leur endettement. 

    La « nouvelle économie »  fait que les sociétés n’ont plus besoin de faire des profits ; il leur suffit de s’endetter. La spéculation est devenue un mode de raisonnement. Les banques centrales ne contrôlent plus rien, et le pouvoir politique encore moins. 

    Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’existe pas un seul exemple ou une illusion collective ne soit pas allée jusqu’à l’effondrement final.
    Le « système » global étant hors contrôle nous y allons donc gaiement. Les politiques de transferts sociaux mises en œuvre au cours des 50 dernières années n’y résisteront pas. L’Etat va devoir accroitre considérablement ses budgets policiers et militaires pour faire face à la montée générale des tensions sociales et de l’insécurité intérieure et extérieure. Insécurité accrue par les millions d’immigrés économiques, climatiques et venant des zones de guerre qu’il ne sera plus possible d’aider par les transferts sociaux déjà restreints pour les « nationaux ».
    La crise de 29 porta Hitler au pouvoir …Celle de 2008, combinée à l’attaque Américaine sur l’Irak fit tomber les appareils d’Etat arabo-musulmans sous la coupe des intégristes islamistes. Les réseaux intégristes sont à présent fin prêts. Les fantasmagories concernant « le complot judéo-américain » ont prit possession de l’imaginaire collectif musulman…le mal est fait.
    L’occident des croisés et des juifs est le bouc émissaire utilisé par le totalitarisme islamique pour regrouper les foules autour du « djihad » la guerre sainte …et la nouvelle grande déferlante islamiste. Les soldats occidentaux doivent combattre à présent au milieu des civils en Irak, en Syrie, en Libye. Ils participent à de durs combats de rue. Les dommages collatéraux sont considérables. Des documents filmés circulent dans le monde entier et montrent des femmes et des enfants déchiquetés par le tir des armées et des armes occidentales.

    Les intégristes islamistes n’ont plus qu’à tirer les marrons du feu. La haine antioccidentale ainsi catalysée fera bifurquer l’histoire dans la direction opposée à celle prévue par les stratèges occidentaux. Ce n’est pas la démocratie qui risque de remporter la victoire, mais l’intégrisme islamiste. 

    C’est dans le contexte de la « revanche de Dieu » que la « religion » reprend vie partout dans le monde depuis le début des années 70. Un slogan fait fureur de partout, y compris au sein des citées françaises : « L’islam est la solution ». La solution à tout : la quête d’identité, de puissance et d’espoir.
    Il s’agit simplement de prendre à son compte la modernité apportée par l’Occident et de la retourner contre lui : les sciences, la technologie et son « humanisme ». Il leur faut, bien entendu, rejeter la culture occidentale en renouant avec l’islam comme guide de vie dans le monde moderne.
    Nous pouvons comparer avec la réforme protestante : une réaction à la stagnation et à la corruption des institutions en place et à la trahison des élites. L’ayatollah Khomeiny comme Calvin défend une vision plus pure et plus exigeante de la religion, prêche le travail, la soumission à Dieu, l’ordre et la discipline, et s’adresse à des populations,  dynamiques (prolifiques) …

    Le constat une fois fait, nous voyons bien que faire la guerre aux islamistes n’y suffira pas, mais que nous avons un impératif vital qui est celui de revenir à nos fondamentaux, à nos cultures, nos identités, nos héritages. Nous avons à rééduquer et resocialiser notre peuple, à redonner sens à nos vies et c’est dans ce combat que nous trouverons la force de sortir du piège que nous avons nous même fabriqué.

    Francis NERI

    09 06 17
    http://semanticien.blogspirit.com/

                     

  • L’Islam n'a pas d'Histoire

    Ce qu'il faut affirmer, et ce n'est pas un prosélytisme gratuit, c'est, qu'avant toute donnée d'humanisme, quand un homme, ou une femme, n'est ni un partisan religieux ni un partisan politique monocorde et autosuggestionné, quel qu'il soit, il devient intelligent et c'est alors sa conscience qui parle et non sa peur. et cela vaut pour toutes les couleurs de pensées, toutes les couleurs de peau.

    L’Islam n'a pas d'Histoire, il se récite. Il se perpétue sans avancer, sans progresser, l'Islam est un glaçon perpétuel. l'Islam pense que n'ayant pas d'Histoire il peut effacer celle des autres en mettant des lettres arabiques de 8 métres de haut et des citations de sa propre prose. l'Islam est une non-culture car , de prime constat, il a été promulgué par des sans-cultures pour des analphabètes. Il ne pouvait être ni perspicace ni philosophe.

    L'Islam ressemble aux gens habillés et vêtus qui hurlent contre l'infâmie des nudistes en oubliant qu'ils sont aussi, nus, eux, dessous leurs vêtements .

    On n'efface pas le corps humain en lui posant des textiles sur la peau.
    On efface pas Constantinople en posant des minarets autour d'une cathédrale.
    On efface pas le judaïsme en voulant effacer Sion tout comme Athènes n'a pas effacé Socrate en voulant le mettre hors les murs. Tout comme on n’efface pas le nazisme avec un Nuremberg.

    Lorsque l'homme ne cite pas les raisons fondées du bien ou du mal, il ne fait que le proroger.

    Jean-Luc de Cabrières 

    18 03 17