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Régulation, contrôle, sanction - Page 42

  • Têtes de nœuds

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    "Small is beautiful", on le sait depuis le début des années 1970, non ?

    Frédéric D'Aubert

    Nous savons pas mal de choses depuis les années 70 et même avant.

    Nous savons que les grands ensembles ne créent pas la paix sociale et qu'y être confiné favorise le clanisme et l'affrontement racial.

    Nous savons que les actions individuelles sont noyées dans la masse et ajoutent au chaos, et que plus nous serons nombreux, plus nous aurons besoin de nous entretuer.

    Nous savons aussi par Ilya Prigogine, prix Nobel de chimie en 1977 que dans le cas d'un système ouvert, c'est à dire recevant ou fournissant de l'énergie à son environnement, qu'une petite perturbation suffit pour que le système s'auto-organise différemment, les actions individuelles se propager de proche en proche…et qu’un « catalyseur" peut modifier la probabilité pour qu’une action (de résistance ) se fasse enfin.

    Il nous apprend que le "système" rétroagit sur lui même, qu'il faut le considérer comme un réseau et que les réseaux humains sont constitués de nœuds, que c'est sur ces "nœuds" que le système s'appuie pour contrôler, réguler et corriger son évolution.
    Mais ces « régulateurs » le font ils dans l’intérêt global d’un système donné, le « système France » par exemple ?

    Nous nous faisons avoir par des "têtes de nœuds" qui eux savent très bien utiliser le système au détriment de ceux qui en constituent la toile, et à leur bénéfice exclusif, quitte à le détruire pour l’exploiter jusqu’au bout.

    Mais comment  le faire comprendre à des individus (éléments du système) pour qu'ils réagissent et perturbent LE système que  ces « prédateurs » ont élaboré patiemment depuis au moins 40 ans !

    C'est Sisyphe poussant son rocher !

    Il y a une chose au moins que nous pouvons faire sur Facebook : choisir judicieusement les nœuds "amis" parmi les plus connectés et constituer NOS graphes à NOUS ...!

    Un graphe est un ensemble de liens qui relient des éléments entre eux ...consolidons et gérons NOS liens !

    David Duquesne, Marc Rameau, Christian Vaneste sont, par exemple, des « nœuds » de réseau qu’il me semble nécessaire d’aider à cette construction de « l’agir local ».

    Nous pouvons pour le moins favoriser leur « interaction » 

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    11 07 20

     

  • Le racisme systémique

    Si le racisme est une idéologie postulant une hiérarchie des races.il peut s'agir d'un phénomène systémique faisant partie d'une culture très lointaine dont certains n'arrivent pas à se débarrasser comme le mythe de la supériorité masculine

    Yvi Marlin

    Rien à voir avec la systémique !

    Le racisme systémique c'est encore une invention des racistes anti blancs ?

    La supériorité masculine n'est pas un mythe ...je considère que les hommes sont supérieurs aux femmes dans certains domaines ...les femmes dans d'autres ...parlons de complémentarité ...c'est mieux !

    Parlons plutôt de « dominance ». Il y a des hommes dominants et des femmes dominantes et les luttes de pouvoir sont impitoyables aussi bien pour les hommes que pour les femmes.

    Quand aux races bien sur qu'il y a une hiérarchie ...nous sommes déterminés par nos gènes, notre culture ET notre environnement ...ce n'est pas niable !

    Et il n'y a pas d'égalité dans cette affaire ! 


    Francis-claude Neri

    01 07 20

     

  • L’enjeu

    Il n'y a en fait qu'une seule question vraiment politique.
    D’ailleurs d'un point de vue historique et philosophique, cette question est si totalement et globalement politique qu'elle évince toutes les autres et sur ce point les identitaires, les antifas et les indigènistes ont tous ensemble parfaitement raison d'en faire un dilemme, le pivot du destin, la croisée des chemins pour les générations futures.

    C'est cette question à laquelle répondent les électeurs à chaque élection présidentielle (notoirement la seule qui compte), depuis 1988 et cette question est systématiquement maladroitement peut-être, implicitement sûrement, mais qu'importe, posée par un représentant de la famille Le Pen.

    D'ailleurs peu importe également qui la pose cette question, vu l'importance de l'enjeu.

    De fait qu'elle soit posée par une femme traitée de poissonnière incapable de débattre entre les deux tours, par un juif d'Algérie chroniqueur fin bretteur qui ne perd jamais son sang-froid ou par un académicien juif ashkénaze qui le perd tout le temps n'a aucune importance.

    Pas plus que n'a d'importance le fait que celui ou celle qui accèdera à la présidence soit intelligent ou honnête, ait du talent ou pas, que sa filiation soit celle des victimes ou des bourreaux des guerres d'un autre siècle.
    ( A l’exemple de TRUMP aux USA, de Bibi en Israël et de Johnson en Angleterre) Note de F.C.N.  

    En fait il suffit de calibrer l'importance de la véritable question par rapport à la personnalité de celui où celle qui apporte une réponse, quelle qu'elle soit, stop ou encore, pour s'en convaincre.

    Les candidats eux-mêmes n'ont strictement aucune importance vu celle de l'enjeu.

    François Amsallem

    Je suis malheureusement, très malheureusement d'accord avec toi. Le fait même que la France ne puisse considérer Zemmour que comme un juif d'Algérie et Finkel que comme un juif ashkénaze mais Rockaya Diallo ou Sibeth N'Diaye comme des françaises de droit établit que nous sommes hors sujet dans tout, que nos questions sont mal posées parce que la réponse est déjà avancée.

    En aucun cas la question n'est politique, elle ne l'est plus depuis que nous avons perdu les pédales en 1963.

    La question de la survie de la France a déjà obtenue sa réponse lors de l'élection massive de François Mitterrand et de celle de J Chirac 2.

    Jean-Luc de Cabrières

    Au 2e tour de l'élection présidentielle de 2017 les Français ont eu le choix entre l'accélérateur de ce qu'ils avaient vu et connu depuis 40 ans dans tous les domaines et éventuellement le frein.

    Quand bien même le candidat du frein eût été d'une nullité absolue, proportionnellement à l'enjeu la qualité ou l'absence de qualité des candidats était un facteur négligeable.

    Les Français n'avaient le choix qu'entre le frein et l'accélérateur de la descente en enfer, s'ils n'ont pas choisi le frein c'est uniquement parce qu'ils ont plus peur de l'inconnu que de l'enfer annoncé et dans lequel une partie d'entre eux se trouve déjà.

    François Amsallem

    J'aime l'idée que MLP n'avait qu'à appuyer sur le frein et donc ralentir au moins la course folle de la machine ...mais qu'elle n' a pas su ou pas voulu le faire Dans ce cas elle ne ferait pas mieux si nous avions l'idiotie de lui faire à nouveau confiance !

    LA solution à mon sens serait un "changement de niveau deux" c’est à dire qu'il faudra probablement en passer par un affrontement plutôt sérieux entre les deux forces dont vous faites état.

    Mais si l'on laisse encore l'une d'entre elle "proliférer" l'affaire est pliée d’ores et déjà ...c'est l'enjeu immédiat et à très court terme : stopper cette prolifération.
    En conclusion choisissons nous un candidat (n'importe lequel finalement ) qui veuille appuyer sur le Frein, qui dise comment il va faire et qu'il fasse ce qu'il dit avec obligation de moyens ET de résultats ...çà devrait suffire si une BONNE équipe est avec lui !
    Francis-claude Neri

    C'est aux Français qu'il revient de décider, si la situation actuelle peut encore et jusqu'à quel terme (point de non retour) avoir une issue positive pacifique ou si le but est de maintenir quoi qu'il arrive l'illusion dans ce statu quo apparent qui s'effrite plus qu'il ne perdure réellement. Tant bien que mal depuis quarante ans les électeurs font le choix de ne pas choisir, c'est à dire le choix de la continuité relative par peur de la rupture d'une alternance proposée on ne peut guère plus maladroitement par la famille Le Pen.

    En fin de compte si les Français ne décident pas pour eux-mêmes, soit d'autres le feront à leur place, soit les circonstances le feront pour tout le monde.

    En d'autres termes, tant que ça n'ira pas assez mal, rien de décisif n'adviendra.

    François Amsallem

    22 06 20

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/