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Nouvel Ordre Mondial - Page 6

  • Coupables ?

    Nous sommes, nous occidentaux avec les américains en tête infiniment plus coupable que Poutine que nous avons placé délibérément dans la position de devoir réagir.
    Ce n'est pourtant pas faute d'avoir prévenu, et à de nombreuses, très nombreuses reprises que l'extension de l'OTAN pouvait constituer un casus belli.

    Ce n'est pas faute d'après prévenu, suite à la mise en place en 2014 d'un gouvernement ukrainien totalement favorable aux américains et un gouvernement totalement corrompu depuis Porochenko. D'ailleurs, Victoria Nuland numéro 1 du State Department US ne s'en est même pas cachée !

    Et cette guerre a bien commencé en 2014 dans le Donbass à l'égard de population russophones par les autorités ukrainiennes. Et l'on s'étonne que la Russie réagisse? Je m'étonne seulement de sa réaction tardive.
    Il suffit d'ailleurs de relire Machiavel pour comprendre que c'est bien celui ou ceux qui a ou ont permis cette situation qui en portent la responsabilité.
    Français et allemands ayant leur part pour ne pas avoir respecté et délibérément les accords de Minsk! Pour ne pas avoir respecté la parole donnée.
    Et bien sûr au premier chef, les américains et l'OTAN, organisation défensive lors de sa création et devenue offensive depuis les guerres de Yougoslavie.

    Cela est extrêmement frappant et la Russie s'en souvient !

    La responsabilité est dès lors, totalement occidentale.

    Yves Chauvel

  • Qui dirige le monde

    Le monde actuel est gouverné par de puissantes organisations qui servent toutes le même objectif : imposer un ordre basé sur un système libéral aux profits de quelques-uns. Elles s'appuient sur des structures dont le but est d'établir le pouvoir des classes dirigeantes sur les classes moyennes et populaires.

    Parmi ces structures, le fonctionnement de l'économie, dominée essentiellement par la finance, a un rôle prépondérant, renforcé par des facteurs psychologiques comme la peur et l'insécurité. Viennent ensuite l'idéologie - à travers les médias, l'information et le marketing - et enfin la fonction répressive sous différentes formes...

    Nous pourrions penser que diriger le monde est affaire de régulation et de contrôle, qu’il suffirait de poser des thermostats sur chacun des systèmes concernés qui interagissent les uns sur les autres et d’intervenir lorsque l’alarme se déclenche sur l’une des problématiques (sur Cygne Noir nous en avons identifié 7).

    A mon sens celle qui devient extrêmement dangereuse (avec la problématique « migratoire ») c’est la surpopulation.
    Vous parliez de l’Inde et de quelques indiens faisant partie de ces « puissants », que le balancier se tourne vers l’Asie, mais l’Inde, comme d’ailleurs bien des pays asiatiques et africains, est à l’agonie.
    Les personnes que vous citez ne sont plus des « indiens » ; ils sont TOUS de ces « organisations » citées ci-dessus.

    Nous avons perdu la partie (du contrôle global) et nous dirigeons à toute vitesse vers l’affrontement et l’effondrement global.
    Actuellement la seule réponse possible c’est le retrait sur le LOCAL, les solidarités familiales, l’entraide et les solutions de proximité quelles que soient les « problématiques » rencontrées.

    Se préparer à la « crise » qui vient va demander du courage, de la détermination de la volonté pour la recréation d’un lien social solide et durable sans se réfugier dans l’isolement communautariste. Il va falloir ENSEMBLE chercher des solutions de continuité.
    Ce pourrait être de NOTRE objectif Nicole …Qu’en pensez-vous ?

    Francis Claude NERI

    26 11 22      

  • Entrer en résistance

    Ma survie personnelle passe par la prise de conscience qu’il me faut m’organiser pour résister à un processus individuel de désintégration. Processus en particulier affectif. Bref il me faut combiner le cœur et la raison, le cortex et le thalamus.

    Un processus qui rejoint celui du collectif ! Le triple échec d’Éric Zemmour a profondément affecté ses soutiens, et la confiance dans un avenir possible avec lui à leur tête est largement remise en question.

    Devant le danger actuel de l’adaptation rapide et passive des « citoyens » au nouveau totalitarisme « social » et « sociétal » développé par le pouvoir actuel, il faut apprendre à lutter contre un enchaînement de faits dans le temps aboutissant à un mouvement collectif de désintégration sociale, culturelle, économique etc.
    Il nous faut, entre autres, dire comment s’en défendre, se protéger, comment passer à l’action, avec qui et quels moyens.

    Face aux empiètements croissants de l’Etat, et des pouvoirs qui lui sont inféodés, sur notre autonomie, à la mise en « fiches » de plus en plus générale et à la considérable diminution de la liberté d’action et de pensée, il y a possibilité et urgence à réagir.

    D’abord comprendre. Il ne s’agit pas de se faire tuer en descendant dans la rue au nom de la liberté – çà c’est l’élan du cœur – il faut que chacun de nous analyse, réfléchisse à la façon dont le mécanisme fonctionne et décide de partager ses convictions pour les inscrire ensuite dans l’action conjointe.

    Dans une société de masse à intégration poussée, dont le principal danger est l’adaptation des individus aux demandes d’un pouvoir central de plus en plus fort, et de mieux en mieux armé pour nous gérer, nous surveiller, nous contrôler et nous les imposer, il nous faut en retour, individuellement et collectivement, nous organiser pour résister. Ne pas laisser l’Etat cloisonner les individus et affaiblir la solidarité collective.
    Pour cela, il nous faut renforcer nos liens de solidarité, d’amitié entre les individus, retrouver et redonner sens aux valeurs, aux codes sociaux qui sont nôtres et qui renforcent la mémoire de ce que nous sommes, de nos identités.
    Il nous faut prendre collectivement conscience de la réalité des dangers et employer les mesures encore possibles pour organiser la défense et la survie dispersée de chacun.
    Nous devons nous méfier de « l’autisme de groupe », rester ouverts, ne plus jamais dissocier le cœur et la raison.

    Ne pas oublier de maintenir en soi ce que Bruno Bettelheim considérait comme la plus grande liberté de l’homme : « choisir son attitude et son comportement face aux circonstances ».

    Je vous invite à y réfléchir et si vous le voulez bien y adhérer !

    « Plus est en nous »

    Francis-Claude Néri
    Président de l’IESE