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Le systémicien - Page 272

  • Islam et complexité

    Si vous voulez étudier un individu, un groupe, étudiez le dans son milieu, son contexte.
    Si vous voulez vraiment comprendre un musulman (il semble hélas que ce soit à nouveau nécessaire de comprendre son ennemi afin de mieux le combattre) voyez comment il se comporte en Algérie, au Maroc, en Syrie, en Lybie, en Arabie Saoudite etc.
    Chez lui il est authentique. Il est dans son environnement économique, territorial, cultuel, social, celui qui l’a déterminé.
    Il en est dépendant et, c’est cet environnement, cultuel en particulier, qu’il voudra reproduire dans les moindres détails chez nous, maintenant qu’il croit nécessaire de quitter son monde, qu’à l’exemple de ses sauterelles il croit avoir détruit avec l’aide de quelques prédateurs occidentaux.
    Il ne voit même pas, cet islam d’une époque définitivement révolue, que son monde regorge de richesses qu’il ne saura jamais exploiter de lui même.
    Il faudra bien à un moment donné en finir avec leur religion, la mettre sous tutelle et revenir mettre de l’ordre dans leur fourmilière humaine, les réguler et les contrôler.

    Mais en attendant, comme le musulman est par nature inassimilable en tant que tel, sa présence deviendra bientôt absolument indésirable et, par rétroaction notre système autonome et ouvert se fermera afin de préserver son individualité et son originalité !
    Alors, le musulman succombera en raison de son incapacité à s’adapter à un nouvel environnement.

    L’idée de remigration fait son chemin ! C’est une bonne chose mais d’une grande complexité, car elle pose la question de l’origine des causes et des responsabilités individuelles et collectives.
    « L’effet revient de façon causale sur la cause qui le produit » (Norbert Wiener) et il faut se demander si l’islam est produit ou producteur et donc cause de NOS problèmes ?

    Qui et comment faut il « remigrer » ? Les islamistes ou ceux qui les produisent ? Et par lesquels faut-il commencer ?

    Francis NERI
    04 08 15

     

  • Agnostique et athée

    Un ami facedebouc me reproche mon « athéisme ». Un ami dont je respecte la croyance du moment qu’il ne vienne pas m’importuner avec.

    Il est vrai que j’aime bien me référer à Prévert qui l’est :

    Absolument
    Totalement
    Hermétiquement
    Etonnamment
    Entièrement


    Il suffit de lire « Parole » pour s’en convaincre.

    Pour ma part, je suis plutôt (si l’on veut vraiment m’enfermer dans un tiroir) plutôt agnostique.
    L’athéisme suppose une franche affirmation de l’inexistence des dieux. L’agnostisme, c’est ne pouvoir rien conclure, ni en leur existence, ni en leur inexistence.
    Par contre ce qui m’indiffère et que je trouve à présent mortellement dangereux ce sont les religions, et ceux qui les utilisent pour nous dominer et nous combattre.
    Je conçois que d’autres s’y soumettent, c’est leur affaire et si çà apaise leurs peurs et leur rend supportable la pression de la « fourmilière » humaine pourquoi pas, du moment qu’ils ne m’indisposent pas avec, ne me traitent pas de dangereux « mécréant » et ne souhaitent pas au plus vite m’exposer à l’égorgement.
    C’est aussi la raison pour laquelle je me dresserais si elle était revisitée, comme certains le souhaitent, contre la révision de la loi de 1905.
    Il faut garder cette loi en l’état, rien que la loi, toute la loi et…l’appliquer, cesser de la contourner, y compris en Alsace-Lorraine.

    Francis NERI

    31 07 15
           

  • Évoluer

    Notre évolution se fait dans un processus cyclique de plus en plus complexe et de moins en moins maitrisé.
    Nous formons le postulat que la « nature » établirait après chaque évolution signifiante une position d’équilibre.
    Il semblerait que ce n’est plus le cas. Il est probable qu’il est de la responsabilité de l’Homme de rétablir l’homéostasie du système après chaque bouleversement.
    Bref l’Homme serait responsable de son avenir. La « Nature » aurait passé la main, à moins qu’elle n’ait décidé, comme pour les dinosaures de mettre fin, à un moment donné, à l’existence d’une espèce par trop invasive.
    « Au delà de cette limite votre ticket n’est plus valable », dégagez « on » repart à zéro !

    Soyons honnête, le projet de « fourmilière humaine » des apprentis sorcier qui nous « dirigent » est suicidaire ! Nous n’y survivrons pas.
    Il serait temps de penser à nous réguler et à nous contrôler, à, donner ou redonner une finalité à l’espèce,  une finalité qui dépasse le concept : « croissez et multipliez »

    Nous avons devant nous un certain nombre de défis auxquels nous avons à faire face ; le défi démographique est probablement le plus considérable et malheureusement le plus ignoré, pour de simples raisons culturelles, cultuelles, financières, économiques et le tout à la fois !

    Cela constitue ce que j’appelle la « culture du Fellah ». Elle intéresse l’Afrique en général et les musulmans en particulier.
    Cette culture fait évidemment l’affaire de nos « élites » mondialisées, de nos multinationales et de nos structures financiarisées.

    Faire trop d’enfants tue la planète disait un ami  « écologiste » Faire trop d’enfants africains et musulmans la tue absolument !

    Nous savons donc ce qui nous reste à faire !

    Francis NERI

    28 07 15