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Régulation, contrôle, sanction - Page 10

  • Lassitude et renoncement

    Un vent de lassitude et de renoncement souffle sur l’actualité. La guerre en Ukraine, l’inflation, l’insécurité, l’immigration massive, sont autant de voyants au rouge qui pourraient nous décourager. Et pourtant les combats continuent car les victoires décisives s’obtiennent dans le temps long.

    Si le monde occidental contemporain est frappé de nombreuses tares et que des sommets de dégénérescence semblent être sans cesse atteints, il convient néanmoins de prendre du recul et appréhender au plus près ce qui va vraiment déterminer la société et donc ce à quoi il faut se préparer.
    Et même à considérer le pire pour demain, ce pire n’est ni certain, ni intégral et il nous revient de créer nos isolats et de nous apparier sélectivement.
    Nos communautés (Église, écoles, associations de l’agir local et la vie de quartier…) sont le lieu d’expression d’une vitalité dans le chaos et doivent être des citadelles pour permettre aux générations à venir de se construire. Il convient de développer, d’animer, d’entretenir et de protéger ces lieux de vie pour se reconstruire.


    Le lien Ecole, Famille, Cité est notre trait d’union !

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    06 06 23 

  • La réalité

    Comment passer de la dure réalité perçue par la raison dans le monde dit matériel à la douce réalité dans laquelle l'amour nous invite à baigner?
    Je suppose que la réponse est déjà dans la question...

    Je ne sais pas si comme moi vous avez quelques fois eu le sentiment de boucler une boucle, d'arriver à sinon résoudre du moins vous êtes parvenus au stade où on commence à avoir l'impression de conclure une dichotomie, en tout cas au niveau de sentir que vous vous approchez d'une conclusion satisfaisante, c'est à dire d'un modus vivendi avec vous-même asez agréable, relativement plaisant, presque apaisant, à toucher du doigt l'harmonie et la plénitude, fût-ce de manière fugace, assez souvent pour être satisfait, infiniment heureux de vivre, conscient d'exister !
    Personnellement cette dichotomie essentielle et permanente chez moi, mon champ de bataille interne, c'est banalement celle universelle, celle j'imagine de tout un chacun, entre la partie de soi-même qui prétend se soumettre à la raison, à un âge dit de raison (pour moi au plus tard vers sept ans), c'est-à-dire cette partie de soi appelée l'Égo, qui en réalité veut surtout soumettre le monde à sa propre raison et la partie de soi-même, qu'on appelle aussi la conscience, qui considère quelques fois être le vrai sujet, voire le vrai moi, celle qui se présente sous couvert de l'intuition et du "... plus fort que soi...", comme en amour (et au poker, au billard, au tennis, sur un coup-franc au football, au tir à l'arc, etc.) , précisément cette partie là de soi-même qui défie la raison, comme s'il s'agissait de sa raison d'être et l'entendement comme si les lois du monde étaient son défi, cette partie rebelle à laquelle il arrive dans certaines circonstances particulières, comme dans un rêve, comme sur un pont entre ce réel et une autre de ses dimensions, de percevoir le temps et l'espace ainsi que soi-même, les limites de son corps et de son esprit d'une manière tout à fait incompatible avec la raison, la science, le bon sens et tout ce que le matérialisme, rationalisme, le domaine des contraintes et la dure réalité du monde, nous imposent.

    François Amsallem
    14 05 23

     

     
  • Prospective

    On ne peut entrevoir notre futur si on ne connaît pas notre histoire : même le président Erdoğan l'a compris...
    Et Éric Zemmour aussi !
    Nos enfants connaissent mal notre histoire de France et nos petits-enfants n'en connaissent pas grand-chose : l'Education nationale est à refondre complètement.
    Les citoyens ne croient plus en rien et ne font plus confiance ni aux politiciens, ni aux religieux : la corruption, la pédocriminalité et les trafics de drogue sont les trois cancers à éradiquer de toute urgence.
    Si nous observons les pays du monde entier, nous retrouvons les mêmes maux !
    Les pays musulmans insistent auprès des jeunes générations sur le passé historique de leur pays (ex. la Turquie).
    A l'inverse, les occidentaux ne connaissent plus leur histoire : en France, elle est plutôt remplacée par une éducation sexuelle dès le plus jeune âge. Notre Chef de l'église est pro-migrants et ferme les yeux sur les dérives de ses responsables religieux. Les églises sont transformées en restaurants ou salles pour de l'événementiel et pendant ce temps, la construction de nouvelles mosquées se développe et les imams font du prosélytisme.
    Les dirigeants corrompus se servent de la corruption pour manipuler leur peuple et certains, de la religion pour attiser leur ferveur.
    Le "grand remplacement" poursuit son ras de marée mais le plus urgent me semble-t-il serait de changer de gouvernement afin de changer nos méthodes d'enseignement(s) et redonner de l'espoir à un peuple désespéré.
    Ce désespoir se traduit par la formation de groupes terroristes qui s'élèvent contre toutes ces dérives qui favorisent une idéologie "anti-blancs"...
    Que se passe-t-il au juste ?
    La guerre civile gronde dans chaque pays en raison de la corruption des dirigeants qui vivent comme des nababs et contre leur peuple étouffé par des impôts et taxes démentiels.
    En France, nous n'avons pas de véritable opposition. Celle qui manifeste, qu'elles que soient ses opinions, n'a plus qu'un objectif : destituer E. Macron. Utilisons cette "majorité" pour agir et se débarrasser de ce personnage maléfique qui ne cesse de nous trahir et déshonore la France... pendant que nous nous "occupons" de l'islam.
    Commençons par soigner les causes !

    Nicole Held
    08 05 23