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Union Européenne - Page 6

  • Le changement

    Les réformes économiques permettant de redresser la France donnent lieu à un malentendu.

    Des hommes de bonne volonté pensent que nos élites politiques sont égarées, qu'elles ne savent pas ce qu'il faut faire, et proposent des mesures permettant de se remettre sur une bonne trajectoire. Ils pensent de bonne foi que la question est de leur ouvrir les yeux.

    Or je pense que le problème n'est pas du tout là. Si je critique souvent de façon lapidaire nos élites, je ne les sous-estime pas.

    La haute fonction publique française est constituée de personnes fort intelligentes, qui savent parfaitement ce qu'il faut faire et l'ont compris depuis longtemps.

    En résumé, trois axes d'action sont nécessaires : 1. Une réduction des dépenses publiques et du millefeuille réglementaire. 2. Une reprise de souveraineté sur les secteurs stratégiques, particulièrement lorsqu'ils utilisent des hautes technologies. 3. Une reprise de souveraineté monétaire.

    Mais nous sommes dans une situation bien connue des écoles de management : tout le monde sait pertinemment ce qu'il faut faire, pourtant personne ne le fait.

    Pourquoi ? Parce que celui qui engagerait l'action aurait trop à y perdre personnellement en termes de risques pris et de privilèges personnels.

    Les mesures à mener ne demandent pas une si grande intelligence mais beaucoup de courage. Celui de se confronter à la caste de ses pairs hauts fonctionnaires et d'entamer une nouvelle lutte contre les privilèges. Trop de forteresses, de baronnies, de noyaux durs seraient à briser. Il faut également le courage de heurter de front l'union européenne.

    Nos élites ne manquent pas de capacité de réflexion, mais leur cynisme surpasse très nettement leur intelligence.

    Le problème n'est donc pas de savoir quoi faire, mais de savoir comment changer profondément les hommes et leur mode de fonctionnement pour mettre en œuvre des actions que tout le monde reconnaît comme nécessaires depuis longtemps, mais à titre privé.

    Marc Rameaux

    A mon avis vouloir changer les hommes prendrait trop de temps ...2 ou trois mille ans n'y suffirai pas !

    La réponse est d'ordre cybernétique si j'ose ! Ce ne sont pas les hommes qu'il faut changer Il faut introduire plus de régulation, plus de contrôles, plus de remédiations au sein des "systèmes". Il faut arrêter de pérenniser les tâches, les fonctions afin d'assurer l’efficacité de l'action.

    Réaliser un programme d'action n'exige pas la spécification détaillée des agents d'exécution

    Une fonction peut être assurée par n'importe quel agent et l'action s'organiser à partir de valeurs simplement objectives et ce pour au moins 90 % des tâches

    N'est ce pas ainsi que fonctionne un organisme humain et ...une usine robotisée ?

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/

    20 08 20

  • Les racailles

    Les racailles

    Depuis 1981 (en gros) c'est la RACAILLE islamogauchiste qui tient LES leviers de commande -y compris le plus signifiant : le LEVIER culturel-  et la racaille de droite ne fit que suivre ...hélas !
    Quand à la racaille issue du bled elle devrait y retourner puisque, pour la plupart, cette "racaille" conchie la France ...et JE ne fais pas d'amalgame avec les innocents ; je parle de RACAILLE... Pour moi l'altruisme EST réciproque et l'amour de l'autre à des limites, celles que lui même m'oppose.

    Bientôt le deuxième tour des municipales. Le rétrovirus sera dans le rétroviseur. Ce sera le moment de voir si les Français  ont compris où se trouve leur(s) intérêt(s) et si ils sont enfin en mesure de commencer à faire le ménage au sein de la « racaille » politicienne, économique et médiatique.

    Agir local, penser global ! L’aller retour entre les deux en les mettant en convergence c’est reprendre le pouvoir des mains de l’UE et des mondialistes.


    C’est de la base que tout repartira, alors faisons confiance à des personnalités de notre bord, qui en sont conscients, à l’exemple de Robert MENARD et surtout faisons tout ce qui nous est possible pour éliminer la « racaille » au(x) pouvoir(s).  

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/
    25 05 20

  • Frexit vite !

    A l’heure de la sortie de l’UE des Anglais, et non pas de l’Europe, comme certains en font l’amalgame, il est intéressant d’écouter ce que peuvent en dire les philosophes de la « diversité » A noter qu’ils ne parlent jamais de l’UE mais de l’Europe …c’est tout dire !
    Vivement que l’on reparle du Frexit !
    La langue de l’Europe c’est la traduction …moi je veux bien, mais il y a une langue « méditerranéenne » que je ne VEUX pas traduire c’est l’Arabe, cette langue, pour moi, ne fait pas partie et ne fera jamais partie de l’Europe !

    Par contre je suis prêt à y inclure l’Hébreux, langue de ce petit pays « occidental » qui lutte encore et toujours contre l’envahisseur islamiste qui veut sa mort !
    L’Europe c’est une culture et elle vaut la peine d’être préservée …qu’on se le dise en haut lieu ; cette culture est composite, gréco-romaine, judéo-chrétienne, matinée des lumières, revisitée par la « complexité » ; mais la culture islamiste n’en fait pas partie et ne doit jamais l’être !

    Et j’en terminerai avec une réflexion de Boris Johnson :
    « Le dieu des musulmans et un dieu sans cœur, sans tendresse, sans empathie, qui ne pardonne qu’à ceux qui rampent devant lui. Aux antipodes du dieu chrétien, qui considère chaque homme comme son fils et, depuis Jésus, comme un frère.


    Le premier tabou à faire tomber, c’est que l’islam est le problème. Oui, l’islam est le problème. »

    Merci Boris !
    02 02 20
    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/

    https://www.youtube.com/watch…